Sexe et religion : l’islamiste Tariq Ramadan et l’abbé Pierre, ça bande de partout

Abbé Pierre et Tariq Ramadan

On apprend que l’islamiste Tariq Ramadan, l’une des punaises de lit des temps modernes importées de la lointaine Égypte, a finalement été condamné à trois ans de prison, dont deux avec sursis.

Le digne héritier du fondateur des « Frères musulmans », devenu citoyen helvétique par la magie de la couardise européenne, ne va donc connaître qu’un an de prison ferme. Et encore. Il aura peut-être juste un petit bracelet discret autour de la cheville dans un château qui donne sur le lac Leman… Le tout payé par les loyaux citoyens suisses.

Il pourrait même être laissé en liberté avec un minuscule bracelet sur le zizi. Un bracelet qui frétille dès que la zigounette de la star islamiste se met en branle. Et la police qui accourt…

Et l’abbé Pierre dans tout ça ?

Ben oui, le nom de l’abbé Pierre se retrouve associé à celui de Tariq Ramadan. Du moins dans le temps.

L’un et l’autre sont accusés d’agressions sexuelles. Ils n’ont cependant jamais participé ensemble à des orgies. Du moins, à notre connaissance.

L’un est mort et ne pourra plus agresser personne, l’autre végète toujours et est capable d’agresser d’autres personnes.

Qui l’aurait cru ? Henri Grouès, dit l’abbé Pierre, loyal serviteur de Dieu, fervent défenseur des pauvres et des déshérités, est accusé d’agressions sexuelles.

Au même moment où l’islamiste Tariq Ramadan est condamné à un an de prison ferme pour les mêmes motifs.

Cela ne se passe pas au cinéma hollywoodien. Il n’est pas question de Weinstein ou de Polanski. C’est un autre genre de cinéma.

Inimaginable. L’abbé Pierre donnait pourtant l’image de quelqu’un qui ne pouvait pas bander. Qui ne pouvait pas et même s’il pouvait, il ne le devait pas. Il devait se retenir. Désolé de le dire aussi crûment. Je ne sais pas comment le dire autrement. Il me semblait sincèrement qu’il était castré. On ne peut pas être dévoué à Dieu et être soumis à son zizi. L’un peut être jaloux de l’autre. Ça crée un conflit d’intérêts.

Mais, attention, ce ne sont que des accusations. Rien ne prouve leur véracité. On ne pourra jamais appeler l’abbé Pierre à la barre pour répondre de ces accusations.

Il ne faut pas donc pas jeter la pierre au bon l’abbé Pierre.

De l’abbé Pierre, on garde l’image d’un homme avec un béret sur la tête et une bouche presque tordue. Mais il a été un grand gaillard avant de devenir ce vieil homme. Un gaillard qui rime avec une grosse libido.

Le sexe, on s’en sert pour le plaisir, mais il finit toujours par nous rattraper.

Que l’on soit l’abbé Pierre ou le Tariq Ramadan, on finit toujours par se faire enculer.

Désolé pour le langage bio.

Qu’Allah nous preservatife.

Messin’Issa

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6 Commentaires

  1. N’oublions pas qu’Henri Groues, dit l’Abbé Pierre, avait était député, donc politicard. Autrement dit, on tape sur le religieux pour mieux camoufler le laïcard bandard. Quant à ses faits d’armes pendant la Résistance, c’est à voir au microscope. J’apprécie beaucoup cet article pour sa pertinence et son arrogance. On nous dit que le nom de cet abbé frôleur va disparaître des bâtiments et autres rues, mais qu’en est-il des livres à sa gloire? Conclusion: impossible d’oublier l’Abbé dont la libido était de PIERRE… Au vu de des témoignages recueillis, on pourrait, désormais, le surnommer SEIN PIERRE…

  2. L’abbé pierre aurait très bien pu sortir en scooter, comme un autre, pour aller voir ces dames de petite vertu. Je rappelle que les prêtres ne font vœux que de célibat.

    • Oui Marty, mais c’est un miroir à deux faces, car l’église n’autorise pas les relations sexuelles hors mariage ! Encore moins pour des “soldats de dieu”! Mais n’étant pas dupes, on devine très bien pourquoi la bonne du curé doit avoir l’âge canonique (plus de 50 ans). L’hypocrisie étant une “qualité” dont aucune religion n’est dépourvue !

  3. Pour traduire l’idée du grand pêcheur devant l’éternel qu’était Don Juan, se travestir en agneau pour agir en loup en toute liberté est le meilleur moyen d’arriver à ses fins! Depuis lee moyen-âge la recette est connue, dans le roman de Renard, le goupil ne prend t’il pas l’habit de moine pour sévir en toute impunité ? Nous croyons connaître les gens alors que nous ne nous connaissons pas nous même. Cela dit il est inadmissible que l’on attaque quelqu’un après sa mort, mais hélas, c’est la rançon de la gloire!