500 morts d’un coup, dans une  attaque revendiquée par le “Groupe de soutien de l’islam et des musulmans” 

L’idée, comme toujours, est de « semer la terreur chez les ennemis d’Allah » (Coran 8:60) afin qu’ils cessent de résister au djihad.

►Un groupe islamiste massacre plus de 500 personnes et fait des centaines de blessés au Burkina Faso

Femmes, enfants, « tout ce qu’ils pouvaient faire, c’était s’allonger les uns sur les autres. C’était un carnage ».

“Encore un  massacre perpétré par des musulmans. Pas de médias, pas de condamnation mondiale. Pas de protestations. Pas d’émeutes. Parce que, vous le savez, l’islam, c’est la paix. Osez dire le contraire et vous serez détruit, espèce d’islamophobe-raciste-anti-musulman” ( Pamela Geller) :

Islamic Group Slaughters Over 400 DEAD, Hundreds Wounded in Burkina Faso

Women, children, “all they could do was lie down on top of each other. It was carnage,”

Another Islamic mass casualty event by Muslims. No media, no worldwide condemnation. No protests. No riots. Because,… pic.twitter.com/zthMwMjauz

— ?￰ﾟﾇﾸ Pamela Geller ?￰ﾟﾇﾸ ?￰ﾟﾇﾱ (@PamelaGeller) August 28, 2024

Le Burkina Faso a  subi, le week-end dernier , l’attaque islamiste la plus meurtrière de son histoire
Plusieurs centaines de civils, réquisitionnés par la junte au pouvoir pour creuser des tranchées censées les protéger, ont été tués par des djihadistes samedi 24 août à Barsalogho, dans le centre-nord du pays.

A Barsalogho, lundi 26 août, ce sont des femmes qui ont creusé les tombes. Comme la veille. « Il ne reste presque plus qu’elles dans le village. Quasiment tous les hommes ont été tués ou blessés », raconte une personne originaire de cette localité du Centre-Nord qui a perdu huit membres de sa famille samedi 24 août. Ce jour-là, Barsalogho a été le théâtre de l’attaque djihadiste la plus meurtrière de l’histoire du Burkina Faso.

En début de matinée, des dizaines d’assaillants ont mitraillé des centaines d’hommes qui étaient en train de creuser, sur injonction de la junte au pouvoir, une tranchée autour de leur village, censée les protéger des attaques devenues récurrentes. Deux vidéos tournées par les assaillants, visionnées par Le Monde, montrent des tas de corps d’hommes ensanglantés, gisant dans l’excavation, au milieu de pelles et de pioches abandonnées. Autour d’eux, des dizaines de djihadistes tirent. Certains exécutent à bout portant les hommes au sol qui tentaient de fuir.

Selon des sources sécuritaires, humanitaires et locales jointes par Le Monde, plusieurs centaines de civils ont été tués samedi dans cette attaque, revendiquée par le Groupe de soutien de l’islam et des musulmans (GSIM, affilié à Al-Qaida). Sur les extraits vidéos visionnés, qui ne montrent qu’un versant de la tranchée, on dénombre plus de 110 cadavres. Il y en aurait « au moins 400 », selon le Collectif justice pour Barsalgho (CJB), créé au lendemain du drame. Le Monde

Mise à jour  Une source qui a souhaité garder l’anonymat par crainte de représailles a déclaré que le bilan des morts de l’attaque était probablement supérieur à 500. Reuters

►Inde : un religieux a violé 5 fillettes dans une madrassa, il les effrayait avec des histoires de djinns

timesofindia

Un religieux arrêté pour avoir violé des fillettes âgées de 5 à 9 ans en les effrayant avec des histoires de djinns
Un religieux de 34 ans, qui enseignait l’ourdou à de jeunes enfants dans une madrassa [école coranique] de Rudrapur, ville de US Nagar dans l’Uttarakhand, a été arrêté pour avoir violé et agressé sexuellement des fillettes (âgées de 5 à 9 ans) dans sa chambre en les effrayant avec des histoires de djinns et en leur expliquant comment il pouvait nuire à leurs parents en libérant les esprits.

Il emmenait également les filles une par une dans sa chambre et leur faisait regarder du porno sur son téléphone avant de les violer, a déclaré la police.

Dans la plainte, la mère d’une fille a allégué qu’en plus de sa fille, le maulvi (religieux), Shabbir Raja, un résident de Pilibhit, a agressé sexuellement quatre autres filles. Lors de l’instruction de l’affaire, l’ampleur du crime semble s’avérer beaucoup plus importante. La  fillette a déclaré aux policiers qu’il avait violé au moins 5 à 7 filles. Nous soupçonnons que ce nombre est plus élevé. Raja a commis le crime pendant près de deux mois.

Les enfants avaient l’habitude d’assister au cours d’ourdou l’après-midi, après avoir terminé leur scolarité normale. Selon un plan préétabli, Raja battait les élèves masculins les plus âgés sous prétexte qu’ils ne faisaient pas leurs devoirs et les renvoyait chez eux plus tôt que prévu. Quant aux filles plus âgées, il leur donnait beaucoup de devoirs et les renvoyait chez elles, tandis qu’il demandait aux plus jeunes, âgées de 5 à 9 ans, de rester à l’école sous prétexte de cours supplémentaires.

L’incident a été révélé lorsque l’une des mineures a raconté son calvaire à la maison le 16 août, à la suite de quoi sa mère a déposé une plainte contre l’accusé le lendemain. Une affaire a ensuite été enregistrée. Raja a été arrêté.
« Soupçonnant d’autres filles de se manifester dans les jours à venir, nous avons demandé à une commission de protection de l’enfance de conseiller les survivantes et leurs parents », a précisé la police.

►Les talibans exhortent les pays musulmans à imiter leur « système basé sur la charia »

Le porte-parole des talibans, Zabihullah Mujahid, a appelé les nations musulmanes du monde entier à « s’inspirer du système des talibans » et à instaurer ce qu’il décrit comme des « systèmes fondés sur la charia » dans leurs propres pays.

Dans une récente interview accordée à un organe de presse islamique basé au Royaume-Uni, M. Mujahid a qualifié d’ignorants les détracteurs des talibans, affirmant que ceux qui qualifient le groupe d’« oppresseurs et de tyrans » n’ont pas une bonne compréhension de la religion. « Les musulmans doivent d’abord apprendre leur religion », a déclaré M. Mujahid. « Une fois qu’ils auront compris, ils reconnaîtront l’Émirat islamique [les talibans] et ne nous qualifieront plus d’oppresseurs ou de tyrans”. 

https://amu.tv/119431/

►La citation de la semaine : “J’ai le droit de faire ça”.

Crime d’honneur à Berlin : un Libanais tend une embuscade à son ex-femme et la tue à coups de couteau. Pendant l’attaque, il a crié à plusieurs reprises: “J’ai le droit de faire ça”.

L’islam est une religion de…morceaux  (“pieces”/ jeu de mot avec “peace” = paix)

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