La saison 2024 a semble-t-il été exceptionnelle pour les mangues d’Israël, que l’on trouve aisément dans le commerce… malgré les tirs de roquettes qui ont parfois dévasté les vergers…
Puisque nos adversaires organisent des « boycotts » anti-Israël, pourquoi ne pas privilégier ces fruits à ceux importés d’Amérique du Sud, et même de notre Outre-mer ?
En Outre-mer comme ailleurs en France, on vote majoritairement Macron ou LFI… alors pourquoi avoir des scrupules à acheter des fruits importés d’Israël, pays gouverné quant à lui par un gouvernement anti-djihad ?
De même Israël nous fournit abondamment en avocats par exemple…
Israël a besoin de ce soutien car il risque d’avoir du mal à écouler sa production avec la concurrence d’autres pays africains notamment…
Cela devrait peser sur les prix vers la baisse alors pourquoi se priver ? Mangez israélien…
Galilée Export« Les volumes de mangues récoltés en Israël devraient doubler au cours de la saison 2024 »
Les volumes de mangues récoltés en Israël en 2024 sont en hausse, et ce, malgré la chaleur estivale qui a causé quelques dégâts. « Cette année, les quantités de mangues devraient doubler par rapport à l’année dernière », déclare Nir Harel, directeur des ventes chez Galilee Export en Israël.
La récolte israélienne de mangues à destination de l’Europe s’élevait à 11 000 tonnes la saison dernière. Ils s’attendent à une augmentation substantielle d’un peu plus de 72 % vers l’Europe cette saison. « Nous en attendons environ 19 000 au total cette année », note M. Harel.
L’année dernière, les températures extrêmement élevées en Israël ont donné lieu à des mangues très grosses. Le mois de juillet dernier a été le plus chaud de l’histoire du pays, avec plusieurs jours à plus de 40 degrés Celsius, en particulier dans les zones de production de mangues. En Israël, les températures ont déjà dépassé les 40 degrés Celsius au cours des premières semaines de l’été, en juin. M. Harel explique que cette chaleur a entraîné une réduction des quantités, mais qu’il n’y aura pas de répétition des fruits de très grande taille. « Même après les dernières vagues de chaleur, qui ont causé des dégâts et réduit les quantités, les chiffres attendus sont encore très élevés, en particulier pour les variétés Shelly et Keitt. En raison des quantités élevées sur les arbres, la taille des fruits devrait être inférieure à celle de l’année dernière.
Israël s’inquiète du fait qu’un approvisionnement stable en mangues provenant d’autres pays sources sera également disponible sur son principal marché européen cet été. « Comme les quantités en provenance d’autres pays comme l’Espagne, le Brésil, le Pérou, le Sénégal, la Côte d’Ivoire et la République dominicaine devraient être stables, la saison d’exportation d’Israël sera difficile », déclare M. Harel.
Un autre défi est la guerre en cours en Israël et ses effets sur l’industrie des produits frais. Les secteurs des fruits à noyaux, des carottes et d’autres industries en Israël ont dû faire face à une pénurie de main-d’œuvre. Dans certaines exploitations proches de la frontière, des roquettes ont atterri dans les vergers, faisant exploser les fruits des arbres. M. Harel est soulagé que les producteurs de mangues puissent continuer à se préparer pour la récolte. « Pour l’instant, il semble que la guerre n’ait pratiquement aucun effet sur la culture et la production de mangues. Espérons que la situation ne s’aggravera pas et que la saison se déroulera sans entrave. »
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Chaque été, le même problème se pose, les fruits ramassés verts, et vendus en grande surface, sont immangeables.
Cette année, après avoir tenté de consommer un melon, puis des abricots, j’ai fini par tout jeter, et je me prive de fruits tout l’été.
Bien sûr, sur les marchés de Provence, on peut trouver des producteurs qui vendent leurs fruits mûrs à point.
Hier, en faisant mes courses, j’ai vu ces belles mangues d’Israël.
J’en aurais pris volontiers, mais comme tous les autres fruits d’été, elles n’étaient pas arrivées à maturité, elles étaient dures, et quasiment sans odeur, des mangues à cuisiner salées tout au plus.
Non, Il faut les entourer de papier et attendre 48h comme pour les avocats
J’adore les mangues… beaucoup de magasins n’osent plus indiquer les produits venant d’Israel.
A mon LIDL j’achète des mandarines ORI d’Israêl, les meilleures.
Alors là , vous m’avez coupé l’herbe sous le pied !!
J’attends chaque hiver l’arrivée des mandarines d’Israël car elles arrivent bien après celle d’espagne
Elles sont excellentes , juteuses ..un vrai régal
Bienvenue au club !
Et des dattes medjoul, les meilleures.
En plus d’être délicieuses,elles sont très bonnes pour la santé et il vaut mieux ne pas avoir besoin de medecin sous le régime actuel…..
si jen trouve j’en achete… en plus elles sont délicieuses ! j’ai acheté des clementines d’Israel jusqu’à fin juin par solidarité avec ce pays
Eh bien cher Maxime – j’ai un manguier chez moi et cette année spécialement, il m’a donné tant de fruits que j’en ai distribué à tous mes voisins et amis et même au nettoyeur de nos rues. Biologique et sans traitement… J’en mange encore. Vous êtes invité à venir en prendre – je vis en Israël.
Chaque fois que nous le pouvons, mon épouse et moi achetons israélien. Je signale le site de BDS (boycot israel)qui dresse la liste des produits israéliens à ne pas acheter. Ils nous aide beaucoup à faire exactement le contraire: https://www.bdsfrance.org/que-boycotter/#:~:text=Les%20produits%20de%20beaut%C3%A9%20de,%2C%20Curver%2C%20Stanley%20et%20Zag.
Bonjour,
Oui, mon frère, qui est médecin est confronté à des horreurs musulmanes qui ont collé sur leur carte vitale un papillon, « Teva, non merci ! ».
Ces pourritures devraient limiter leur consommation aux produits de leur Oumma : on rigolerait bien !
Idem pour moi gigobleu !
Bonjour,
Oui, bravo Maxime !
J’ai toujours privilégié les pamplemousses de Jaffa :=)
Prompt rétablissement cher Antiislam.
En complément de l’article, je n’achète jamais les produits qui viennent du Maghreb, à l’exception des dattes Mejdoul parce qu’elles sont vraiment délicieuses et je fais exception à ce principe dans ce seul cas précis…
Bonjour,
Merci, Maxime !
Faut bien reconnaître au Maghreb ses apports : à mon avis, après Saint Augustin, ça se limite aux pâtisseries orientales :=)
Mon neveu m’en achetait à « la bague de Kenza » : c’était vraiment délicieux mais peu abordable pour le budget de l’étudiant qu’il était !
Encore faut-il en trouver et chez moi au marché ce n’est pas le cas mais comme chaque hiver on se rattrapera avec les clémentines.