Zelensky est une bête aux abois qui peut mordre encore, mais plus pour longtemps

Comme il est petit avec beaucoup de gueule, l’OTAN le prenait pour un roquet enragé. Capable de s’emparer du Kremlin pour en déloger Poutine. La suite a montré que c’était un loup scrofuleux et podagre, craintif et sournois, planqué dans sa tanière. Tout juste capable de terroriser et de martyriser sa propre meute.
Son meilleur rôle d’histrion : Le loup garou du train fantôme à la fête foraine de Kiev
Absolument remarquable. Le gâteux Biden et le gamin Manu s’y sont laissés prendre. Sortant du tunnel des romanichels, en tremblant de leurs cinq membres. Après s’être pissés dessus de peur. Les vieillards comme les invertis ont parfois du mal à contrôler leurs sphincters.
Monté sur des talonnettes qui lui permettent de frôler le mètre cinquante, le torse bombé à la Mussolini, les joues gonflées à la Staline, et la pilosité conquérante à la Sadamucène, le Zygomyr avait fière allure. Les échotiers des tabloïds prétendaient même que Macrounette en serait tombée amoureuse. Ses regards langoureux et ses papouilles doucereuses entretenaient toutes les supputations.
Rien ne semblait pouvoir menacer Zelensky, loufiat zélé du Pentagone. Ce kapo servile avait supprimé les élections législatives et présidentielles. Interdit les syndicats et partis politiques. Laissant à leurs dirigeants le choix entre l’exil, la prison ou la mort. Un dilemme imposé aussi aux journalistes, artistes et écrivains. Quant aux officiers réticents, il les envoyait se faire dégommer dans des attaques suicides.
Tout roulait pour cette roulure. Sauf que, malgré ses déclarations triomphantes, les Russes grignotent chaque jour du terrain. Démolissant les infrastructures économiques et énergétiques que les pluies d’euros et de dollars ne peuvent plus compenser. Tandis que la possible victoire de Trump risque de lui coûter son job, suivi de quelques désagréments à la Ceausescu.
Mais le pire pour le petit clown sanglant est la lassitude des Ukrainiens qui commencent à se résigner
Malgré un black-out sévère de tous les médias rampants, on savait depuis le début de l’opération de remise en ordre impulsée par Poutine, que des millions d’Ukrainiens avaient esquivé ou fui les champs de bataille.
Entre exilés à l’étranger, touristes qui ne reviennent plus, faux malades et faux infirmes ayant acheté des certificats de complaisance, déserteurs planqués dans des caves et mutins protégés par l’anonymat des villes en ruines, les armées ukronazies se délitaient. Et le recrutement forcé de retraités et de lycéens «shangaïés» tout comme le recours aux mercenaires ne suffisaient plus à combler les vides.
Les sondages ont beau être proscrits en Ukraine pour ne pas contredire les discours victorieux du dictateur, cette interdiction ne vise pas leurs «alliés » Ricains. Protégés par leur ambassade et bénéficiant de l’appui de la CIA, car les huiles du Pentagone et de White House voudraient savoir à quoi s’en tenir exactement sur ces milliards de USD dilapidés sans retour sur investissement.
BlackRock, McKinsey et Goldman Sachs commencent à s’inquiéter pour leurs placements. Dans l’ambiance feutrée des conseils d’administration, il se murmure entre banksters que Poutine est un homme raisonnable avec lequel on pourrait discuter économie et finances. Donnant-donnant bien évidemment.
Après tout, si la neutralisation de l’Ukraine et la réattribution de quelques provinces permettaient aux USA de refaire du business avec la Russie, pourquoi s’entêter à soutenir un bouffon qui leur coûte la peau des fesses ? Et réclame toujours plus de subsides pour envoyer ses troupes se battre en Afrique aux côtés des islamistes au lieu d’affronter les Russes en Europe.
Horresco referens, une majorité de la population serait prête à accepter la paix en échange de concessions territoriales
Ils ne sont pas tous idiots, abrutis par la propagande, ou terrorisés par le SBU (la Gestapo locale). Ceux qui connaissent leur histoire savent que des territoires tels que Galicie, Bessarabie, Novorossia, Crimée, Donetsk et Lougansk, ne sont devenus ukrainiens que par les visées d’Hitler, les appétits de Staline et les faiblesses de Roosevelt. La sclérose de l’empire soviétique a ensuite figé les frontières. Mais le monde a évolué depuis.
Les rescapés du front, éclopés, manchots et unijambistes qui ont encore toute leur tête ont rapporté les carnages subis, le plus souvent sans effet sur le cours des opérations, pour satisfaire l’ego d’officiers incompétents devant leur carrière aux crapules de la nomenklatura. Qui eux-mêmes ont planqué leur progéniture à l’étranger.
On a entretenu trop longtemps les espoirs ukrainiens d’une victoire sur la Russie, comme si un rat d’égout pouvait terrasser un éléphant. La contre-offensive promise a échoué, les armes « miraculeuses » sont détruites les unes après les autres, et la ligne de front bouge lentement. Toujours à l’avantage des Russes.
Contrairement à la désinformation des médias du Nouvel Ordre Mondial, les pertes russes sont dix fois moindres que celles de leurs ennemis. Ces derniers s’acharnent dans des situations sans espoir. Tandis que les Russes esquivent leurs vagues d’assaut et piègent les kamikazes, avant de les frapper de loin avec leurs bombes planantes.
Le moral des Ukronazis est dans leurs chaussettes
Les forces de Kiev sont sur la défensive et leur pays se délite. Monter en épingle des tirs de missiles sur de vieux rafiots en mer noire, dépourvus de moyens de riposte modernes, ou parvenir à frapper en Russie quelques raffineries jusqu’alors non protégées, ne suffira pas à renverser le cours de la guerre.
D’autant que l’incertitude liée aux élections de novembre aux USA a gelé la plupart des dons. La vicieuse Kamala n’est que vice-présidente, elle n’a pas le pouvoir d’engager des dépenses militaires, et Joe le grabataire, s’il bouge encore un peu, vit déjà dans un autre monde. On le booste au modafinil pour lire son prompteur, mais après il a tout oublié.
Quant aux généraux et aux hiérarques US, ils font profil bas en songeant à leur carrière. Pourquoi ruiner des décennies de copinage et de fayotage, en prenant parti pour des losers ? Si ce diable de Donald revenait, ce serait la fin des haricots pour les arrivistes imprudents.
Quant à Kamala, si par fraude elle accédait au pouvoir, les Républicains majoritaires à la Chambre, bloqueraient les nouveaux crédits, comme ils l’ont déjà fait. L’arrogance du Zygomyr qui prétend intervenir dans les élections US s’ajouterait à la rancœur d’un nouveau scrutin truandé.
Sans les milliards de ses sponsors, l’Ukraine s’émietterait
La guerre d’attrition a érodé le moral des Ukrainiens, qui préfèrent encore un État-croupion à plus d’État du tout. Vu que la Pologne, la Roumanie et la Hongrie attendent le bon moment pour récupérer à leur tour des territoires volés. Un armistice sur la ligne de front suivi de discussions sur les nouvelles frontières, validées par référendum, en consultant les habitants russophones favorables à 90%, semble avoir la faveur de Trump. Réaliste et décidé à en finir avec ce gouffre financier.
La victoire de Donald et la chute du Zygomyr signifieraient aussi une évolution de l’économie russe, moins orientée en faveur de l’effort de guerre, et prête à reprendre ses échanges avec l’Occident, là où les deux parties ont à y gagner.
Si une russophobie pathologique s’est développée dans les pays sous tutelle de l’OTAN et des Boches comme la France, une vaste étude du Pew Research Center, un think tank américain à tendance démocrate modérée, montre que les opinions favorables sur la Russie regagnent partout du terrain.
Le matraquage médiatique depuis trente mois prétend formater les microcéphales du Francistan, mais la moitié des sondés s’ils n’osent se dire solidaires des Russes, expriment un ras-le-bol devant tant de gabegie. Un exploit quand on sait à quel point il faut de patientes recherches sur le web pour échapper au broyage de cerveau permanent.
Comme on pouvait s’y attendre, la Russie et Poutine bénéficient d’opinions favorables presque partout en Asie, en Afrique et en Amérique latine. Plus de la moitié des sondés méprisent le Zygomyr et considèrent comme légitimes les efforts de la Russie pour récupérer ses terres historiques.
De quoi donner des sueurs froides au petit clown de Kiev qui sait que s’il perd les faveurs de l’opinion publique mondiale, ses soutiens en Occident hésiteront à le gorger de milliards d’euros et de dollars, de missiles et de canons. Accélérant la défaite inéluctable des Ukronazis.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

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