Erdogan menace d’envahir Israël !

Ce type est un fanatique qui croit qu’Allah est de son côté, et que le pédo-prophète lui parle dans son sommeil. Il se prend pour la réincarnation de  Soliman le Magnifique, conquérant de l’Europe et du Proche-Orient. Cela le rend imprévisible et capable de tous les égarements, comme Sadamucène.

Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israel Katz, a mis en garde dimanche soir le Président turc après son chantage menaçant d’intervenir directement en Israël si ce pays riposte aux attaques terroristes du Hezbollah. « Erdogan suit les traces de Saddam Hussein et menace d’attaquer Israël. Il devrait se rappeler ce qui s’est passé et comment ça s’est terminé », a déclaré Katz.

Il aurait pu ajouter que l’État hébreu dispose d’un petit stock de bombes thermonucléaires et des vecteurs idoines pour les lancer, si jamais son existence était menacée. Ce qui serait le cas face à la déferlante de la piétaille et des blindés turcs dans un petit pays qui ne dispose pas de profondeur stratégique pour permettre un quelconque repli tactique.

Les menaces d’Erdogan ne sont pas que des rodomontades

Bien qu’il ait épuré ses forces armées après le putsch raté de 2016, il dispose de près de 1,7 million de combattants, et de 35 millions de réservistes. Dont une bonne moitié de femmes. Une originalité dans un pays islamique.

S’y ajoutent près de 2000 chars lourds, des Léopard et des Patton, ainsi qu’environ 300 avions de chasse, et 80 navires de surface, plus une douzaine de sous-marins. Des modèles anciens qu’ils auraient “upgradés” mais on ignore à quel point.

Pour le moment, les Turcs sont confrontés à de grosses difficultés pour assurer la maintenance de leur arsenal. Leur longévité au combat dépendrait de la vulnérabilité, de la complaisance et de la lâcheté de leurs fournisseurs et alliés. Mais ils ont pour objectif des usines d’armement opérationnelles d’ici à 2028. Cela devrait être surveillé de près, n’en déplaise à Seb le Cocu, notre innocent ministre des Armées.

D’après les spécialistes, l’armée turque, très forte pour exterminer des groupes de résistants en Arménie ou au Kurdistan, manquerait de compétences dans une guerre moderne de haute intensité. Si les troufions gorgés de nationalisme et de sourates sont très belliqueux, comme tous les mahométans pour mériter leurs houris au paradis, les officiers sont médiocres. On ne les encourage pas à prendre des initiatives car on se défie d’eux. La hiérarchie est d’une extrême rigidité. Et l’état-major, ou ce qu’il en reste après l’épuration, ne serait qu’une assemblée de courtisans que la peur de déplaire au tyran paralyse.

Le principal souci pourrait provenir des 50 missiles nucléaires US B-61 en stand by à Incirlik près d’Adana, à seulement 580 km de Jérusalem. Même si Ankara n’est pas en mesure, théoriquement, de les utiliser sans les passes d’accès gérés par Washington, si l’affaire se gâte, se sera sûrement une cible prioritaire des avions de Tsahal. L’attitude ambiguë des USA permet toutes les suppositions.

Les Israéliens n’ont pas la quantité mais la qualité, comme dans tous les conflits avec les mahométans depuis 1948

170 000 soldats d’active et 465 000 réservistes, cela peut sembler peu comparé aux hordes barbares ottomanes. Mais les Israéliens ont des stratégies élaborées, en perpétuelle amélioration, destinées à frapper l’ennemi par surprise. Ainsi que des unités combattantes quasiment en formation continue. Tandis que les coraniques psalmodient le cul en l’air des prescriptions vieilles de 1400 ans, les Israéliens renforcent une armée de techniciens et d’ingénieurs.

Leurs combattants peuvent utiliser 2600 chars de combat, dont une partie fabriquée sur place. Ainsi que 370 jets, 220 hélicos de combat, 62 navires de surface et 6 sous-marins modernes. Une aviation et une marine pour partie améliorées et reconditionnées sur place. Avec une règle d’or : la parcimonie. Tout matériel détruit, tout soldat tué, doit correspondre à des dommages 10 à 50 fois supérieurs chez les ennemis. Cent fois, c’est mieux quand on peut.

Mais c’est dans le domaine de la technologie militaire qu’Israël dispose d’une supériorité appréciable.         « Elbit Systems » a créé, en 2007, et amélioré depuis avec l’IA son premier robot de combat, le « VIPeR » télécommandé, transportable dans un sac à dos, armé d’un Uzi capable de lancer des grenades, de monter et de descendre des escaliers et d’évoluer sur tout type de terrain… D’autres robots plus confidentiels font merveille dans les souterrains des terroristes à Gaza.

En outre, les militaires disposent de missiles air-sol Popeye-3 d’une portée de 350 km guidés par GPS, de missiles de croisière, de missiles balistiques Jéricho I et 2, et probablement Jéricho 3 encore top secret. Enfin, une unité de haut niveau, spécialisée dans la lutte contre le piratage informatique, complète cette panoplie guerrière.

Le problème pour nous serait la cinquième colonne turque

Notre sort et celui d’Israël sont liés. Les ambitions des Turcs ont toujours été de s’emparer de l’Europe, ainsi que de reconquérir la Palestine au sens large, qui fut pendant des siècles une province vassale de l’empire ottoman. Une aspiration qui n’a cessé de se diffuser en sourdine depuis la fin de la Première Guerre mondiale.

Du fait de leur alliance avec l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie, les Turcs furent privés de territoires conquis entre le XIIIe et le XVe siècle. Mais jamais ils n’ont renoncé à les récupérer. La guerre menée par les terroristes du Hamas et du Hezbollah contre les Israéliens, civils et militaires confondus, leur offre une opportunité. Une fenêtre de tir. Du moins le croient-ils.

Erdogan a oublié son héros Sadamucène se balançant au bout d’une corde. Mais cette fois, il croit tenir la martingale imparable avec la cinquième colonne turque incrustée dans une Europe émasculée qui y regarderait à deux fois avant de se souvenir de son alliance avec Israël.

Des menaces à ne pas prendre à la légère

On sait, au moins depuis l’invasion-annexion de la moitié de Chypre en 1974, que les Turcs procèdent comme les hitlériens. Ils annoncent clairement leurs intentions, en se disant que soit on ne les croira pas et on les laissera faire jusqu’au dernier moment. Soit, on sera tellement terrorisé qu’on acceptera toutes leurs exigences.

Quand Erdogan a déclaré dimanche que la Turquie pourrait intervenir directement en Israël comme elle l’a fait par le passé en Libye, au Kurdistan et au Haut-Karabakh, dans la lâche indifférence de l’Occident, il ne bluffait pas. Puisque la rupture des relations commerciales avec Israël n’avait aucun effet, il a décidé de monter d’un cran. Comptant sur la troublante neutralité des USA, trop empêtrés en Ukraine.

Son discours retransmis sur toutes les chaînes de télé turques, en forme de mobilisation générale, donnait le ton. « Tout comme nous sommes entrés au Karabakh, en Libye et en Syrie, nous pourrions faire la même chose chez les sionistes (…) Il n’y a aucune raison pour que nous ne puissions pas le faire. Nous sommes assez forts pour pouvoir nous engager aux côtés du Hezbollah.»

Abandonnée, la détestation séculaire des Turcs et des Perses, dès lors qu’il s’agit de casser du Juif. Depuis les crimes abominables du 7 octobre, Erdogan a qualifié le Hamas d’organisation de libération. Et dans un discours délirant prononcé au Parlement turc en mai dernier, le despote a carrément déclaré « Israël ne s’arrêtera pas à Gaza et jettera tôt ou tard son dévolu sur toute l’Anatolie. » Bigre !

L’Eurocrature corrompue et collabo est une cible tentante

Les Turcs vaincus sous les murs de Vienne en 1529, puis à nouveau en 1683, se sont maintenus dans les Balkans jusqu’à nos jours, considérant cette zone tampon comme un avant-poste en vue d’assauts futurs. Le dépeçage de la Serbie peut être considéré comme un entraînement sinon comme une répétition générale.

Les visées turques sont facilitées par tous les collabos en Europe, grenouillant dans les gouvernements corrompus de l’Eurocrature, qui ont empoché une partie des milliards de dollars alloués à la Turquie par les excroissances humanitaires de l’ONU.

Erdogan a acheté ces pourris, tout en veillant à ne pas rompre les liens avec ses coreligionnaires, n’hésitant pas à faire assassiner ceux qui s’étaient trop bien intégrés. Il n’y a guère de doute sur l’allégeance des autres. Le jour où ça va barder pour de bon, peu importe qu’ils bénéficient de deux ou trois passeports, on sait quel camp ils choisiront.

En Europe, un seul homme d’État a eu la bonne réaction, Geert Wilders. « L’islamofasciste Erdogan menace d’envahir Israël. Ce type est complètement fou. La Turquie devrait être exclue de l’OTAN. »

Pendant ce temps, les Macronescu transformaient Paris en cage aux folles. C’est autrement plus important pour l’équilibre de la planète.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/erdogan-menace-denvahir-israel.html

 151 total views,  151 views today

image_pdf

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


2 Commentaires

  1. Si la Turquie entre en guerre, l’UE risque de regretter la main tendue de Poutine en son temps.
    Quoique l’UE est d’une telle connerie monumentale, qu’elle ne verra rien venir.
    Et la hyène est bien fichue de soutenir les Turcs.

  2. Bonjour;

    Merci pour cet article très intéressant.

    Bien sûr qu’une priorité est de chasser cet “Etat” colonial monstrueux de l’OTAN mais il bénéficie d’une complicité ahurissante des Etats-Unis …

    Quant à nous, en effet, Macron nous réduit à décompter, compulsivement, les E. coli de la Seine ……