Pourquoi le monde souhaite-t-il que Trump soit élu ?

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Épisode 1

Il faut remonter aux origines de l’histoire depuis la première mandature de Donald Trump en janvier 2017. Les médias US majoritairement anti-Trump qui dictaient leurs narratifs à un Occident collectif dégénéré, lequel suivait sans état d’âme, n’ont cessé de mentir autour du Gargantua-Trump.

Mais pourquoi donc autant de haine virulente ? Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures. C’est tout simplement parce qu’il menaçait la haute fonction publique de Washington de faire le ménage de la concussion et corruption en ses rangs. Son fameux slogan de l’époque, repris par les foules de ses admirateurs à travers l’Amérique : « Drain the swamp » que je traduirai par : « Chasse d’eau sur la fange ». Sans oublier que Hillary dite « Killary » faisait l’objet de ses critiques les plus sévères, jusqu’à recommander qu’elle aille en prison pour escroqueries diverses, crimes, concussion, corruption, l’appelant « Crooked Hillary ». Hillary l’escroc. Les foules hurlaient alors en échos : « Lock her up ! » traduit : « En prison » !

Son malheur, au Donald, c’est qu’il n’avait pas l’expérience du « who is who » de cette haute fonction publique qui se tient les coudes. Cette mafia d’état, à l’intérieur de laquelle il ne connaissait personne et qui n’entendait pas laisser ses postes plus que bien rémunérés, comme ses prérogatives et « affaires en cours » à leur plus grand profit. Il s’agit en particulier des agences de renseignements, comme la CIA ou la NSA, le FBI, le Département d’État (ministère des affaires étrangères), le secrétariat à la Défense, ou le Pentagone (ministère de la Défense), ainsi que le secrétariat à la Justice « ministère de la Justice ».

Je dois expliquer le terme « Killary » qui signifie : Hillary la tueuse en abrégé. Pourquoi « tueuse » ? C’est un journaliste de référence de l’époque, Peter Schweizer, auteur de « THE CLINTON CASH » – LA FORTUNE DES CLINTON, que Steve Banon a ensuite produit en tant que documentaire avec le même titre, montré à Cannes 2016 et bien entendu passé sous silence dans ce festival dominé par la gauche complaisante à Hillary, qui voyait d’un très mauvais œil l’éventuelle arrivée de ce Gargantua qui cassait tous les codes, y compris ceux du politiquement correct en vigueur dans l’occident collectif dégénéré, dont la ville de la Rivera française était la vitrine avec Hollywood bien entendu. Pour les anglophones, voici le lien gratuit du documentaire remarquable qui dénonce le système des Clinton, dont j’ai intitulé un ouvrage jamais publié à l’époque, de crainte de poursuites judiciaires : LES CLINTON, THÉNARDIER DE LA MAISON BLANCHE. En effet, se prétendant fauchée à la fin des deux mandats Clinton, Hillary avait emporté les meubles. On l’entend déclarer très ouvertement dans le docu de Schweizer, comme ils étaient fauchés en quittant la Maison Blanche.

Le documentaire n’est plus visible sur YouTube, pas étonnant, mais le voici sur la plateforme ODYSEE. Bon visionnage.

https://odysee.com/@januszkowalskii1979:e/Clinton-Cash-(Full-Documentary):2

Après avoir été une first lady très controversée, Killary fut choisie par Obama comme Secrétaire d’État, où elle put se refaire une santé, quand son mari, ancien POTUS, se faisait payer des fortunes pour tenir des conférences jugées souvent inutiles sauf pour ses poches profondes, ou celles de sa fondation de triste réputation. A travers la politique, depuis l’Arkansas, jusqu’à la Maison Blanche, les Clinton n’ont cessé de se faire du pognon sur le dos du contribuable, en mode concussion, collusion et corruption, sans aucun état d’âme. Il faut dire que Bill, qui fut d’abord gouverneur de l’Arkansas, nommé par son frère : « l’aspirateur » tant il sniffait, s’adonnait à des orgies sexuelles. De son côté, Hillary avait comme amant Webster Hubbel, avec lequel elle était associée dans le cabinet d’avocats « Rose Law Firm » de Little Rock Arkansas en 1973. Chelsea Clinton, aurait comme père biologique, le fameux Webster Hubble. Une photo de Chelsea et de son père biologique démontre une étonnante ressemblance.

Webster devint sous l’administration Clinton, Procureur Général des États-Unis de 1993-1994, pour ensuite être poursuivi parce qu’impliqué dans la sombre affaire « Whitewater », ce qui lui valut 21 mois fermes, pour conflits d’intérêts.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Scandale_du_Whitewater

Tout cela pour vous donner une image des Clinton, Thénardier de la Maison Blanche. Et une image des démocrates en particulier. Je ne dis pas que les républicains sont meilleurs, mais quand on se dit de gauche, une morale minimum devrait être en vigueur.  Il y eut la parenthèse Bush un peu plus clean, dont la fortune vient du pétrole, mais qui reprit tambour battant sur le dos du contribuable américain sous Obama, avec parenthèse Trump, pour reprendre de manière frénétique avec Biden et fils.

Revenons au Donald.

A peine installé à la Maison Blanche, tous les complots ourdis durant sa campagne par des milliardaires et le House Speaker, Paul Ryan, pour l’empêcher d’arriver sur le trône ayant échoués, les voilà repartis de plus belle pour l’empêcher d’appliquer son programme.

Nous connaissons la suite avec la Russie qui a fait flop, mais qui a tout de même duré plus de la moitié de sa présidence. Présidence durant laquelle il a pu malgré tous ses freins, appliquer une bonne partie de ses promesses, comme remonter économiquement l’Amérique, faire revenir des investisseurs, empêcher d’en faire partir d’autres. Commencer à construire son méga mur contre l’invasion migratoire, faire régner à nouveau l’ordre, avoir des succès diplomatiques avec les accords d’Abraham, la Corée du Nord, la Syrie avec le Président Poutine, avec lequel il souhaitait entretenir de bons rapports, mais empêché par cette procédure Müller sur la Russie. Sous Trump, aucune guerre. Trump est le gars du « deal », ce qui l’intéresse, est faire prospérer l’Amérique et les Américains de quelque couleur que ce soit. Cependant, il importunait les petites affaires lucratives du deep state, il fallait donc empêcher une seconde victoire du Gargantua.

Biden, dont les « défenseurs » organisèrent des fraudes et irrégularités massives dans tout le pays, pour le propulser au pouvoir comme marionnette du deep state. L’ancien vice-président d’Obama montrait déjà des faiblesses physiques et cognitives que feignaient ignorer les médias de l’occident collectif dégénéré, c’est bien la raison pour laquelle il fut ainsi instrumentalisé par ceux qui ont intérêt à ce que leurs turpitudes ne soient jamais découvertes. Ils sont finalement tellement bêtes, imbus d’eux-mêmes et de leur puissance supposée, jusqu’à ignorer le fait que tout se sait toujours.

Cette mafia washingtonienne a volé la seconde élection de Trump. A cette mafia politique, c’est joint la mafia judiciaire qui refusait systématiquement de voir toutes les preuves des fraudes de l’élection de Biden.  Hillary et Obama étaient aux commandes et le sont toujours. Les patrons du deep state, c’est eux. Ce sont eux qui ont à craindre que toutes leurs turpitudes et crimes soient enfin dévoilés au peuple américain.

Comme Donald Trump n’est pas du genre à baisser les bras, le voilà reparti pour son second mandat volé par les démocrates pas si démocrates que çà. Désormais il connaît la machine et ne se laissera plus imposer des figures à des postes clés. Il va être maître de son choix de conseillers et plus proches collaborateurs, comme pour son récemment Vice-Président annoncé :  JD Vance, un jeune homme de 39 ans, avocat, homme politique, écrivain, qui fut d’abord un sévère critique de Trump, pour enfin reconnaître ses qualités et les endosser. Un homme à poigne. Le Donald annonce qu’il sera le Président de tous les Américains sans distinction de couleur de peau. Qu’en sera-t-il du deep state, lorsqu’il sera à nouveau à la Maison Blanche ? Pourquoi, en ce jour du 22 juillet 2024, je peux affirmer avec certitude, que le monde, même ceux qui détestent le personnage souhaite sa prochaine entrée à la Maison Blanche ?

Suite au prochain épisode.

Sylvia Bourdon

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