La gauche a obtenu ce qu’elle voulait : un attentat contre Trump

Coups de feu tirés lors d’un rassemblement, Trump blessé

La gauche obtient ce qu’elle voulait.

La gauche a enfin obtenu ce qu’elle attendait depuis que Donald Trump a annoncé sa première candidature à la présidence en 2015 : un Trump ensanglanté quittant la scène.

Mais elle n’a pas obtenu ce qu’elle voulait avant tout, car il est toujours bien vivant.

Samedi 13 en début de soirée, Donald Trump s’exprimait lors d’un rassemblement de campagne à Butler, en Pennsylvanie, lorsque des coups de feu ont retenti. Trump s’est retourné, s’est saisi l’oreille, puis s’est caché derrière le podium tandis que les agents des services secrets se précipitaient pour le protéger. Quelques instants plus tard, il s’est levé et a été rapidement emmené hors de la scène lorsqu’il a arrêté les agents en disant : « Attendez ! » Puis, le visage ensanglanté, il a levé le poing en signe de défi en criant à la foule : « Battez vous ! »

Conseil judicieux, formulé succinctement. Il est clair que si nous ne nous battons pas maintenant, les forces du mal qui veulent si désespérément détruire Trump nous détruiront également, comme il n’a cessé de le dire depuis longtemps, et la nation sera enveloppée dans des ténèbres autoritaires.

À moins que sa blessure ne soit plus grave qu’il ne le paraissait au premier abord, Trump devrait pouvoir poursuivre sa campagne sans difficulté majeure. Mais rien d’autre ne devrait se dérouler comme d’habitude. Au milieu de tout le tumulte et de la confusion provoqués par cette fusillade, une chose est sûre : les élites politiques et médiatiques ne se poseront aucune question sur la façon dont la rhétorique de gauche et la propagande médiatique ont contribué à créer un climat de haine qui a conduit à cet événement. Mais cette fois-ci, il ne faut pas leur permettre de rejeter la responsabilité de cette fusillade sur Trump lui-même, sur le 6 janvier, sur le changement climatique ou sur toute autre nouvelle idiotie qu’ils pourraient inventer.

Le New York Post affirme que les forces de l’ordre ont identifié le tireur comme étant un républicain de 20 ans, Thomas Matthew Crooks. Si cela est exact, ce sera le seul détail que les médias officiels nous dévoileront sur Crooks. Mais il pourrait s’agir d’une opération psychologique. Le journaliste d’investigation Paul Sperry a noté des informations qui pourraient être plus éclairantes sur l’état d’esprit de Crooks : « La base de données de la FEC (Federal Election Commission)montre qu’un certain Thomas Crooks, du 2506 Milford Dr., à Pittsburgh, en Pennsylvanie, a donné 15 dollars à la plateforme de collecte de fonds démocrate ACTBLUE le 20 janvier 2021. Le don était destiné au « Progressive Turnout Project » qui a soutenu Biden et affirme que « Donald Trump est une menace pour notre démocratie ». Qui a bien pu dégoter une telle idée ?

Pire encore, un témoin oculaire a déclaré avoir signalé le tireur aux services secrets quelques minutes avant que les coups de feu ne retentissent sans que les services secrets n’en tiennent compte. Il s’agit soit d’une négligence grave, soit d’une collusion, mais nous ne saurons peut-être jamais laquelle. Au-delà de cela, il n’y a aucun doute : cette fusillade est le résultat direct et indubitable de la détermination de la gauche à détruire Trump depuis neuf ans. La gauche s’efforce de détruire Trump depuis qu’il a annoncé sa candidature en 2015. La gauche a paralysé sa présidence par de fausses accusations de collusion avec la Russie qui ont gaspillé des dizaines, voire des centaines de millions de dollars des contribuables. Elle l’a destitué à deux reprises sur la base de fausses accusations.

Ils ont même envoyé des agents provocateurs dans la foule au Capitole le 6 janvier 2021 afin de le faire accuser d’une « insurrection » inexistante. Ils ont transformé des délits en crimes et ont divisé une infraction en 34 en l’accusant de chacun de ses éléments constitutifs afin de le charger de fausses condamnations transformant un délit en crime afin de pouvoir hurler qu’il était un « criminel condamné ». Ils ont menti au monde en disant qu’il était un violeur sur la base des affirmations non étayées d’une femme qui ne se souvenait même pas de l’année où l’événement traumatisant aurait eu lieu.

Joe Biden est depuis longtemps l’un des principaux contrevenants. Il a menti à plusieurs reprises sur les déclarations et les positions de Trump, même lors du récent débat. Le 1er septembre 2022, Joe Biden avait averti que « Donald Trump et les républicains MAGA représentaient un extrémisme qui menaçait les fondements mêmes de notre république ». Jamais auparavant un président américain n’avait critiqué son principal adversaire, ainsi que les partisans de cet adversaire, en dehors des limites du discours politique acceptable. Jamais auparavant un président n’avait politisé et utilisé le ministère de la Justice comme une arme pour s’en prendre à son adversaire.

Biden, le fossoyeur de la république, et ses collègues démocrates ont averti à plusieurs reprises que Trump détruirait « notre démocratie », espérant que les Américains oublieraient que Trump était président avant lui et qu’il avait quitté la Maison Blanche volontairement le 20 janvier 2021. Il y a moins de deux semaines, l’équipe de campagne de Biden a une fois de plus affirmé que le 6 janvier 2021, Trump « encourageait une foule violente à attaquer le Capitole ». Et ce, malgré le fait que Trump ait demandé aux manifestants de protester « pacifiquement et patriotiquement ».

Et ainsi de suite. La couverture du numéro de juin 2024 de The New Republic présente un mélange Photoshop de Trump et Hitler. Et depuis le début, les gauchistes rêvent d’en faire plus. Il y a quelques jours à peine, le chroniqueur du New York Times John McWhorter a déclaré : « J’aimerais que quelqu’un tue Donald Trump. » Il n’était que le dernier d’une longue lignée. Souvenez-vous de Kathy Griffin (comédienne américaine)tenant une maquette de la tête coupée de Trump. Souvenez-vous de Madonna disant : « J’ai beaucoup pensé à faire exploser la Maison Blanche. » Souvenez-vous de Johnny Depp demandant : « Quand est-ce qu’un acteur a assassiné un président pour la dernière fois ? »

En mars 2024, James Carville, stratège démocrate de longue date, a déclaré à Anderson Cooper : « Je veux dire, pour être franc, Anderson, le président Biden n’est pas le meilleur politicien d’attaque que j’aie jamais vu de ma vie, et je m’en tiendrai à cela. Mais il y a beaucoup de gens pour faire ce que j’appelle “le sale boulot”. » C’est un euphémisme courant pour un assassinat, et Cooper a donc répondu : « Cela ressemble à un coup de la mafia. » Carville a concédé le point : « Eh bien, c’est un peu le cas, mais c’est de la télévision payante avec des trucs comme ça. Mais oui, c’est un terme de la CIA. Éliminer un type. »

Ce n’est là qu’un exemple en date de la légitimation de la violence politique par la gauche, et plus particulièrement du groupe marxiste Antifa. Antifa est une organisation violente et insurrectionnelle, pas simplement une « idée », comme Biden et d’autres l’ont prétendu. Son principe est que l’on ne peut pas faire confiance au gouvernement pour nous protéger des fascistes de Trump et de la formation de ses membres aux armes et aux stratégies militaires. Antifa est une organisation que le Parti démocrate protège. Lors des émeutes de George Floyd en 2020, les élites politiques et médiatiques ont choyé et même applaudi les émeutiers. Samedi soir, le monde a pu constater le climat que cela a créé.

Lorsque la tentative d’assassinat a eu lieu, Donald Trump était en tête des sondages et – en dehors de la tricherie démocrate – semblait avoir de bonnes chances de revenir à la Maison Blanche le 20 janvier 2025. Totalitaires qu’ils sont, les gauchistes savaient qu’ils avaient une autre option. Samedi, le monde a vu ce qu’il en était.

Il devrait donc être désormais parfaitement clair que malgré tous les discours des médias et du régime Biden sur les « extrémistes de droite », la véritable menace de violence vient de la gauche, et ce depuis toujours. Dans un système politique sain, Joe Biden et bien d’autres seraient accusés d’avoir incité des gens à assassiner Trump. Même s’ils n’en subissaient aucune conséquence, ils en portent néanmoins la responsabilité. L’Amérique doit faire tout ce qui est légalement possible pour éliminer le cancer de la gauche du corps politique, sinon le parasite tuera très certainement son hôte.

Traduction de  Jack pour Résistance républicaine

14 juillet 2024 par Robert Spencer

https://www.frontpagemag.com/shots-fired-at-rally-trump-wounded/

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