Jusqu’à quand et jusqu’où, la folle démesure de Macron ?

L’infâme taulier de l’Elysée, qui persiste à se poser en Jupiter tonnant, n’en a pas fini, jour après jour, de bordéliser tous azimuts la situation politique de la France. Au point que personne n’est plus en mesure (comme lui-même d’ailleurs), de prévoir quelles seront les conséquences néfastes qui ne manqueront pas de surgir, dans les semaines et les mois à venir.

Mais le pire à craindre de la part de ce psychopathe-paranoïaque est qu’il s’aventure dans des postures, mais surtout des actions bouffonnes et insensées pouvant conduire à des conséquences terribles, si ce n’est terrifiantes. 

Cet écœurant personnage, ce malade mental, n’a-t-il pas été ravi d’avoir récemment dit qu’il avait balancé « une grenade dégoupillée dans les jambes des Français » et de s’être moqué « de voir comment ces derniers allaient s’en sortir ». 

Propos et attitudes insensés, immondes, pervers, voire suicidaires, qui ne peuvent qu’aboutir au pire des initiatives de sa part, à tout oser, jusqu’à une possible destruction de notre civilisation européenne, voire même du monde

.

Ce qui m’amène à poser maintenant la question de nos sous-marins nucléaires d’attaque, sujets et objets d’une grave et inquiétante problématique existentielle.

En premier lieu on peut conjecturer que les Russes, qui ont tout leur temps devant eux, n’ont aucune raison d’être les premiers à développer une guerre d’envergure, et donc de s’en prendre à nos sous-marins. Par contre, le malade mental de l’Elysée dispose de la capacité de déployer et de mettre en œuvre ces engins, en toute impunité (car il en a très certainement les codes de lancement) et sans restriction aucune, en sa qualité de « chef des Armées ».

Ces sous-marins sont censés être bien planqués, tapis et muets, dans des endroits situés dans la zone polaire nord, en attente éventuelle d’un ordre de tirer préventivement afin de les annihiler (sauf à ce que les Russes les aient déjà repérés – le faisant savoir à Macron-)

En cas d’un conflit, généralisé ou restreint, les procédures à mettre en œuvre, même avec l’appui d’un solide état-major, doivent être d’une terrible complexité opérationnelle, avec le déploiement de tant de sous-marins à gérer, la mise en place et la gestion de l’harmonisation d’une stratégie d’offensive, qui ne peut qu’être globale et totalement au point. Ce qui pourrait alors déclencher un conflit d’envergure mondiale.

Depuis qu’il a dissous l’Assemblée Nationale et qu’il a fait la démonstration que ses agissements et ses prises de parole étaient devenus désordonnés, voire effarés, que ses facultés mentales n’ont pu qu’en être perturbées, on a le droit de s’inquiéter du fait qu’il ne peut pas faire abstraction totale de la question de cette guerre sous-marine.

A ce propos, je trouve très suspect voire même abject que ce sujet n’ait jamais été abordé officiellement par Macron, qui a dû considérer que cela ne regardait pas les Français, mais seulement lui, seul et de manière très secrète. Quel affront fait à la France !

Ceci dit, peut-on espérer des scénarios “moins pires » ? Je ne suis pas apte à y répondre, (n’étant plus qu’un vieux capitaine de réserve honoraire, simple parachutiste et artilleur, dépassé par la complexité des guerres modernes). Ce qui peut être angoissant est le fait, que toutes sortes d’autres risques sont envisageables, sans qu’aucune « déclaration de guerre » n’ait été préalablement actée.  Il suffirait par exemple du dérapage d’un pacha sous-marinier en perdition, ou d’une simple perte de communication entre Russes et Français qui pourrait les affoler et les pousser à devancer les menaces en « tirant les premiers », sans plus de possibilité de « revenir en arrière ».

A Dieu ne plaise que de telles catastrophes se produisent.

Gladius

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