Réflexion-Esprits libres…
J’entendais ce matin à la radio une personne qui demandait plus de «parité. » Comment, quoi, plus de parité ? La parité hommes-femmes a atteint aujourd’hui des niveaux records qui frisent l’absurde. Et quel en est le résultat, tout va toujours aussi mal et chaque jour davantage.
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Cette espèce de frénésie de parité ne correspond à rien de vraiment utile à notre société déjà bien malade, par ailleurs, pour de nombreuses autres raisons beaucoup plus graves.
Je tiens à détailler mon propos, car je trouve ce sujet assez important.
Je n’ai rien contre le fait que les femmes travaillent, qu’elles aient les mêmes droits que les hommes, qu’elles fassent de la politique, qu’elles accèdent à de hautes fonctions dans l’État, à condition qu’elles aient aussi les mêmes devoirs.
Cela dit, il est clairement démontré que les hommes et les femmes sont légèrement différents, physiquement et psychiquement…
Je pense qu’il est donc important de ne pas imposer ni scruter la parité au microscope lorsqu’elle n’apporte rien et devient même néfaste dans certaines activités.
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D’ailleurs, naturellement, la balance hommes-femmes dans la nature n’est pas tout à fait équilibrée. En 2020, le nombre était de 100 hommes pour 102 femmes.
Mais nous vivons aujourd’hui dans des sociétés stabilisées sur le plan de la santé et de la mortalité. Au début de la vie, il y a plus de garçons que de filles, mais plus de mortalité chez les garçons. Vers le milieu de la vie, le chiffre est à peu près équilibré.
Mais vers la centaine d’années il n’y a plus que 2 hommes pour 8 femmes.
https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/memos-demo/faq/plus-hommes-ou-femmes-sur-terre/
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La nature ne respecte en aucun cas une forme quelconque de parité mâles-femelles et elle a pour cela de bonnes raisons.
En effet, le mâle n’est qu’un inséminateur souvent de passage et la femelle porte et garde les bébés et doit ensuite les élever et les protéger jusqu’à leur adolescence et la capacité d’affronter seuls la vie. Le vrai chef de famille est et ne peut-être que la femme pour la stabilité et la pérennité de la famille et pour des raisons culturelles.
D’ailleurs, le judaïsme a depuis longtemps adopté le matriarcat comme socle culturel, moral et juridique de la famille.
C’était aussi le cas pour beaucoup de nos ancêtres préhistoriques.
Dans nos sociétés contemporaines, la parité a été légalisée et donc imposée arbitrairement et sans subtilité.
Or, la femme a toujours la situation possible d’être enceinte, de donner la vie et d’être parfois moins disponible, au moins pour un temps, ce qui fragilise son égalité avec les hommes, notamment dans le monde du travail.
Et dans une société déviante qui veut moins d’enfant et où les hommes ne veulent plus les élever, les choses deviennent encore plus difficiles à gérer.
La loi n’a rien changé :
« Depuis 1946, l’égalité femmes-hommes est un principe constitutionnel. La loi garantit aux femmes dans tous les domaines des droits égaux à ceux des hommes. Malgré un important corpus législatif pour l’égalité professionnelle, la situation des femmes sur le marché du travail reste plus fragile que celle des hommes. » https://www.vie-publique.fr/eclairage/19602-droits-des-femmes-ou-en-est-legalite-professionnelle
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Selon la loi, la parité signifie que chaque sexe est représenté à égalité dans les institutions. Il faudrait donc forcer ceux qui sont en sous-nombre ? Ridicule !
On ne peut pas forcer les gens à être égaux.
Cela irait contre la nature des êtres.
Il y a des activités, des loisirs, des études ou des métiers qui attirent plus les femmes que les hommes et inversement…
https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1296
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Cela dit, quel est le résultat réel de la parité ou plus précisément égalité ?
Est-ce que le monde va mieux avec des femmes au pouvoir ?
Est-ce qu’un grand patron homme ou femme est meilleur l’un que l’autre ?
Est-ce qu’un homme ou une femme politique, à la même fonction, est meilleur l’un que l’autre ?
En fait, non ! Pas du tout. Les résultats sont là !
Globalement, les femmes ne sont ni pires ni meilleurs que les hommes.
Par contre, on retrouve dans le monde du travail autant de malhonnêteté, de cupidité, de corruption, de trahisons, de manipulations, de persécutions, de maltraitances et d’abus chez les femmes que chez les hommes.
Non, il sont tous aussi bons ou aussi mauvais.
Et souvent les femmes sont plus âpres à réussir pour affirmer leurs compétences et leurs qualités (y compris entre elles) dans un monde de compétition où les hommes les méprisent, les dominent et les écrasent.
Et cela ne changera jamais. C’est dans la nature humaine.
J’en suis désolé.
Les hommes violent les femmes, mais la réciproque est très rare…
Par contre, des femmes violentes battent parfois leur mari.
On a imposé la parité sans réfléchir un instant à comment l’organiser.
Les femmes ont voulu être les égales des hommes, mais en même temps elles n’acceptent plus d’être considérées comme des femmes.
Dans les discours des personnages publics, j’entends souvent prononcer « celles et ceux », vestige d’un temps passé où, par courtoisie, on plaçait la femme avant l’homme, comme on lui tenait la porte ouverte…
Alors, pourquoi différencier ? Ou pourquoi ne pas dire aussi ceux et celles, à tour de rôle ?
Pourquoi la femme en premier si elle veut l’égalité ?
C’est amusant, parce qu’auparavant on utilisait le « pluriel neutre » en disant, par exemple, « tous ceux qui sont d’accord lèvent la main… » et tout le monde était content, à part quelques mauvaises joueuses aigries et frustrées.
Ou alors, il faudrait trouver un néologisme commun pour les deux genres…
Mais je vous laisse le trouver… ! J’ai autre chose à faire… !
Aujourd’hui, paraît-il, il est aussi très mal perçu par les jeunes filles ou jeunes femmes (enfin, les plus stupides) qu’on les appelle « Mademoiselle. »
Pour les garçons c’était « Jeune homme. »
Où est le problème ? C’était plutôt sympa.
Si on n’était pas sûr, on disait « Madame », mais certaines n’appréciaient pas non plus.
La subtilité était parfois trop… subtile. Une jeune fille adolescente ou très jeune adulte pouvait être perçue, sans alliance, comme un demoiselle.
Mais une femme plus mûre pouvait encore ne pas être mariée.
Et maintenant la moitié vivent en couple libre ou en alternance ou en PACS.
Difficile de s’y retrouver. Plus d’alliance à l’annulaire gauche…
Alors, on dit bonjour… Au revoir… Salut…
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Grâce à la gauche, on a simplifié et altéré le langage social.
Tant pis.
De toute façon c’est toute la société qui est devenue vulgaire, grossière et sans retenue dans un langage agressif et insultant.
Les garçons comme les filles n’ont plus de limites.
Signe des temps.
On est loin de l’amour courtois.
Si un homme ou un garçon bien élevé dit gentiment et poliment à une jeune fille ou à une femme qu’elle est belle ou jolie, il se prend une gifle et un procès au cul pour harcèlement sexuel…
Cela ne donne plus trop envie de s’approcher d’une femme…
Alors, si les filles ou femmes ne sont plus respectées, mais au contraire harcelées, persécutées et parfois victimes de la mauvaise éducation des garçons ou des hommes et de propos ou d’actes sexuels, qu’elles ne viennent pas pleurnicher.
La gauche leur a donné l’égalité !
Et si elles s’habillent de façon très provocante pour attirer le regard des hommes, tout en leur crachant à la gueule, et attiser leur virilité, elles ne peuvent s’en prendre qu’à elles, car aujourd’hui les choses ont changé et on a donné beaucoup trop de libertés à tout le monde.
Une société en bonne santé est une société où des règles et des limites sont fixées et posées dans tous les domaines. Cela s’appelle le socle éducatif.
Dans les années 50, 60 à 70, la politesse, le respect et la courtoisie étaient encore de mise, même à Alger, Kaboul ou Téhéran où les femmes pouvaient sortir tard le soir entre amies sans être importunées.
Mais tout est différent aujourd’hui.
Les femmes françaises ne se rendent même pas compte de la chance incroyable qu’elles avaient. Aujourd’hui, certains hommes d’une certaine religion, en France, enferment leurs propres femmes sous des bâches et au fond des cuisines en leur interdisant de sortir, tandis qu’eux traînent la nuit dans des quartiers sombres pour guetter des filles ou des femmes attardées dans la nuit (travail ou soirée entre amis) pour les violer.
Laurent DROIT
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Quant à l’accession des femmes à certaines professions, il me revient en mémoire avec beaucoup d’amusement le récit d’un de mes amis Brigadier-Chef responsable « Police-Secours » dans un Ciat d’Arrt de Marseille et du sentiment de « très grande solitude » qu’il avait éprouvé en intervenant une nuit dans un bar où une bagarre avait éclatée mettant en oeuvre 1000 à 1200 kg de viande saoule. Ses seuls équipiers étaient deux jeunes femmes de 1,60m et de 55 kg!
Il y a tellement de manières de mettre les femmes « en majesté, sans qu’il soit besoin par pure idéologie de les envoyer dans des galères où elles n’ont pas leur place.
Frédéric Dard rappelait que ‘il y a de la modestie de leur part à réclamer l’égalité, elles qui nous sont tellement supérieures’…
MDR !
Voilà deux descriptions, une des femmes faites par un homme et une autre des hommes faites par une femme.
Aucune n’est tout à fait fausse… hum hum
càd tellement vraie pour certains.
Je n’en dirais pas plus, mais les rats sont de sortie en ville, le soir, pour le casse-croute.
Aaaah !…ben voilà !…merci pour ce bon moment d’hystéro-féministe !…au fait, je ne ressemble pas du tout, mais alors paaaaas du tout à la description péjorative de ma personne faite plus bas, j’ai beaucoup ris !…malgré tout ces aboiements, je confirme ma description, qui d’ailleurs est très souvent partagée !…allez Mesdames, retournez regarder « les feux de l’amour » ou « marié au premier regard »… :o)
simon cussonet nous ne sommes pas toutes des cruches les prog cites sont bons pour celles qui n ont rien à faire
ce qui est sur c’est que vous etes un goujat ; je ne pensais pas a avoir a utiliser ce terme en 2024
Re :Je n’ai peur ni des souris,ni des trous d’air « turbulences » .Ils y a des femmes très capables qui réussissent bien à droite.Mais les gauchistes femmes détruisent tout.Par contre toutes les femmes n’ont pas la même resistance physique……..
La pire erreur, c’est d’avoir donné l’éligibilité des femmes en politique (entre autre)…la décadence de notre société occidentale est fortement liée !…les femmes sont à 80% de « gauche », et souvent bi-nationale, elles fonctionnent à l’émotionnel, la peur, l’humanisme, la sensibilité, sans pragmatisme ni raisonnement à long terme !…des trous d’air dans un avion ?…elles hurlent !…elles regardent « Titanic » ou « Pretty Wooman » ?…elles pleurent !….une petite souris dans le salon ?…elles sont pendue au lustre complètement hystérique !…et ça veut diriger le monde ?..en Suisse, toutes les ministres (conseillère fédérale) de droite (rare) et de gauche (la quasi totalité) TOUTES ont été ou sont des catastrophes incompétente !
En l’occurrence le trou d’air dans le cerveau c’est le vôtre. Une misogynie pareille, j’espère pour vous que c’est une simple provocation. Vous vous croyez au XIX ème siècle où les femmes étaient sous la coupe des curés, des maris et n’avaient pas le droit de vote ? Par ailleurs des centaines d’années sans que les femmes dirigent, des centaines d’années avec des guerres, des bûchers, l’Inquisition, l’Etat islamique, les pays musulmans, les trahisons, la guerre de Cent ans et autres fariboles… où étaient les femmes au pouvoir ? Combien de femmes responsables et coupables ? Celui qui pense et écrit cela m’a tout l’air d’être pas fini mais je ne généraliserais pas en disant que c’est normal parce que c’est un homme, MOI ! Quand je pense que vous votez j’en ai les cheveux qui se hérissent !
Je crois sincèrement que votre cul sonne lorsqu’il vous prend des envies de réflexion. L’expression « Pet au casque » vous sied à ravir.
Pauvre Simon à première vue vous n’avez pas la lumière à tous les étages. Quoi, vous avez la tronche en biais, les cheveux graisseux, vous puez du bec et des pieds, vous vous mettez les doigts dans le nez, vous pétez et rotez en public, vous attendez qu’on cautionne les énormités triviales toutes plus débiles que les autres sur les gonzesses en vous grattant le nombril en infligeant à vos semblables votre rire gras et épais de fumeur de gitanes et de troncheur de pastis ? Nous les femmes on aime les hommes les vrais pas les résidus de fausse couche.
ça c’est envoyé ! Félicitations Khamsa vous devriez nous proposer des articles ! contact @resistancerepublicaine.com
Bon, au moins mon article permet de se défouler, faute d’être un chef-d’oeuvre de littérature !!! :o)
Voila le père Simon habillé pour plusieurs hiver👍
À mon humble avis, vous êtes un vieux garçon, c’est à dire un célibataire endurci, adepte de l’onanisme. J’imagine votre quotidien dans un appartement obscur, sentant les cabinets, le ragoût refroidi et les haines recuites. Vous avez bien dû haïr votre mère pour en arriver là. Pour vous, les femmes ne sont que des paillasses reproductrices vouées aux travaux ancillaires. Dommage que Balzac ne soit plus de ce monde, vous auriez été le sujet d’un de ses romans : Simon le maudit ou Les Mémoires d’un misogyne. Ou mieux encore : L’homme qui n’aimait pas les femmes.
Qu’il aille chez le hamas accomplir son jihad il sera bien reçu. Toutes les houris l’attendent.
La « parité » et la mise à l’écart des juifs en 1942 relèvent de la même logique. On remplace le mot « femme » par le mot « juif » et on y est. Le principe est ignoble, insupportable.
La parité, ce sera quand tous les cons et les connes de gauche auront le devoir de la fermer au lieu de débiter des conneries. Ce serait même un devoir national que de leur faire fermer leur gueule.