« Les Grands Ducs »(1996) : c’est Noiret qui a eu l’idée du génial trio avec Rochefort et Marielle

Philippe Noiret, Jean Rochefort,  Jean-Pierre Marielle : en revoyant le film, on se dit « C’est un film de copains» et c’est quelque chose d’appréciable !

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Bande-annonce

Genèse du film 

Invité au mariage de son fidèle complice Jean Rochefort (à qui il a déjà confié quatre rôles, et pas des moindres), Patrice Leconte y croise deux autres comédiens de renom, Philippe Noiret et Jean-Pierre Marielle.

D’heureuses retrouvailles, puisque le metteur en scène les a récemment – et successivement – dirigés, l’un dans Tango (1993), le second dans Le Parfum d’Yvonne (1994).

 

Noiret lui soumet alors l’idée de les associer tous les trois sur un projet : « Il faut nous faire quelque chose pour Jean (Rochefort), Jean-Pierre (Marielle) et moi » insiste-t-il.

Leconte est immédiatement séduit par ce « concept » on ne peut plus alléchant, et ce, d’autant qu’aucun film jusqu’à présent ne s’est employé à réaliser pareil défi. Bertrand Tavernier les a certes engagés dans Que la fête commence… en 1975, mais sans jamais les réunir véritablement à l’écran.

 

Anecdote  

  • Patrice Leconte raconte qu’il a dû déchanter pendant le tournage, devant faire face  au caractère de Michel Blanc  « descendu parmi nous pour nous honorer de sa présence ».

Musique 

Musique Composée & Dirigée Par Angélique & Jean-Claude Nachon

Le thème principal :

Marielle Rochefort Noiret

Jean Rochefort et Catherine Jacob

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3 Commentaires

  1. Philippe Noiret me manque. Un grand homme avec de la classe comme nous n’ en trouvons plus aujourd’hui.
    J’ai toujours apprécié cet homme et aussi acteur. Je l’ai beaucoup aimé dans le grand fusil.
    C’est mon préféré, les deux autres aiutes acteurs ont aussi tout mon respect. De grands hommes.

  2. Trois grands acteurs.
    Une époque révolue, la France d’hier.
    Un film à découvrir pour alléger l’ambiance actuelle.

  3. Des acteurs comme on en fait plus. La nullité et la tristesse sont aujourd’hui de mise. Le cinéma actuel est nombriliste.

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