Tout cela signifie la guerre, la guerre civile !

Cela signifie la guerre – La guerre civile

Ils auraient dû faire attention à ce qu’ils souhaitaient.

5 juin 2024 par Mark Tapson

https://www.frontpagemag.com/this-means-war-civil-war/

Comme les médias de gauche ont veillé à ce que tout le monde le sache désormais et nous le rappelleront chaque jour jusqu’au jour de l’élection et au-delà, Donald Trump est un « criminel reconnu coupable ». Vendredi 31 mai, un jury détestant Trump dans la salle d’audience de Manhattan, présidée par un juge détestant Trump, a déclaré l’ancien président coupable de 34 motifs d’accusation représentant une menace à l’hégémonie d’un parti unique, le parti démocrate.

Le président du comité judiciaire de la Chambre des députés (encore à majorité républicaine), Jim Jordan, a écrit dans un communiqué que le verdict était « une parodie de justice. Le tribunal fantoche de Manhattan montre ce qui se passe lorsque notre système judiciaire est instrumentalisé par des procureurs partisans devant un juge partial avec un processus truqué, conçu pour maintenir le président Trump hors de sa campagne électorale et éviter d’attirer l’attention sur les politiques radicales défaillantes du président Biden

Jim Jordan a ajouté que « les Américains voient clair dans les tactiques juridiques des démocrates et savent que justice sera rendue en faveur du président Trump en appel ».

( Jack ; je rejoins ici un avis formulé par le Professeur émérite Alan Dershowitz, lequel pense que les juges d’appel, tous de New York, ont trop peur d’être catalogués partisans de Trump s’ils cassent le jugement de condamnation et confirmeront donc vraisemblablement ce jugement.)

Oui, les Américains voient clair dans ce simulacre de procès. Tout le monde, des deux côtés de la barrière politique, est pleinement conscient que ce procès n’a rien à voir avec la loi et l’ordre (ce qui ne vaut pas grand-chose pour les démocrates) ; ce procès avait tout à voir avec le fait de torpiller les chances d’un adversaire politique redouté lors des prochaines élections. Les républicains le savent, les démocrates le savent et les démocrates savent que nous savons qu’ils le savent. Ils s’en moquent, tout comme ils s’en fichent du fait que tout le monde sache qu’ils ont volé les élections de 2020 (ce dont Joe Biden, sans doute inconsciemment, s’était publiquement vanté). Les Américains peuvent tous voir que les démocrates feront et diront n’importe quoi pour prendre et conserver le pouvoir, et ils savent également que le parti républicain ne fera rien pour les arrêter. (Jack ; pas du tout d’accord sur ce point. Le RNC (comité national républicain) est désormais dirigé par deux personnes particulièrement diligentes : Michael Whatley, avocat de Caroline du Nord soutenu par Trump, et Lara Trump, belle-fille de Trump qui fait déjà preuve de son efficacité dans les collectes de fonds pour les candidats  républicains.)

Mais dans leur arrogance aveugle et leur désir d’un état permanent à parti unique, les démocrates ont cette fois-ci commis une erreur de calcul flagrante. Ils ne peuvent pas comprendre que leur persécution obsessionnelle de l’ennemi politique qu’ils craignent le plus ne fait que renforcer le soutien et la popularité de Trump. Sa campagne a annoncé avoir reçu 53 millions de dollars dans les 24 heures suivant la condamnation. Le Comité national républicain a récolté plus de 34,8 millions de dollars auprès de 485 000 donateurs au cours de la même période. Le Comité national républicain du Congrès (NRCC) a déclaré avoir reçu 300 000 $. Le Comité sénatorial national républicain (NRSC) a également déclaré qu’il avait réalisé sa plus grande collecte de fonds après le verdict, soit 360 000 $. (De Jack ; actuellement, les fonds recueillis ont atteint les 200 millions de $ et les dons continuent…)

Jason Thielman, directeur exécutif du NRSC, a écrit : « L’indignation suscitée par le simulacre de verdict contre Trump a incité les Américains moyens à agir ! Le NRSC vient de réaliser sa plus grande collecte de fonds quotidienne en ligne. Le peuple est énergique et déterminé à reprendre la Maison Blanche et le Sénat ! »

Et bien sûr, comme un pugiliste poids lourd de la vieille école, l’implacable Trump lui-même absorbe simplement les coups et continue à réagir, sans se laisser intimider. « Nous allons nous battre », a-t-il déclaré après le verdict. « Je suis programmé de telle manière que je n’ai pas renoncé comme beaucoup de gens l’auraient fait depuis longtemps. Ils auraient renoncé après ces canulars de mise en accusation. »

Les démocrates pensent, dans leur petite tête, que leur étiquette frauduleuse de « criminel reconnu coupable » dissuadera de nombreuses personnes de voter pour Trump. Ils n’ont aucune idée de ce qui motive les vrais Américains. Voici un indice pour eux : Trump a assisté au match de boxe de l’UFC 302 (Ultimate Fighting Championship) à Newark quelques jours seulement après sa condamnation, arrivant sous ce qui a été décrit comme des « tonnerres d’applaudissements » de la part du public de l’UFC. Le commentateur de l’UFC, Joe Rogan, a déclaré que la « salve d’applaudissements » reçue par Trump était « stupéfiante ». (L’un des boxeurs, avant le match, est même sorti des cordes pour aller serrer la main de Trump !)

Les démocrates pensent qu’Hollywood, les défilés de la « Pride » et les campus universitaires sont l’Amérique, mais si vous voulez une tranche plus représentative de cette nation, rendez-vous à un événement de l’UFC, où les chants alternent entre « We love Trump » et « Fuck Joe Biden ».

Certains commentateurs conservateurs, comme Megyn Kelly, et même certains experts progressistes, préviennent que les démocrates « regretteront le jour » où ils ont choisi d’armer les tribunaux pour cibler leurs opposants politiques, car un jour, ils pourraient être les victimes de cette situation à leur tour. Les commentateurs utilisent des expressions telles que « franchir le Rubicon » et « ouvrir la boîte de Pandore » pour décrire le changement redoutable que ce moment décisif a apporté à la politique américaine. Clichés mis à part, ils n’ont pas tort de le souligner.

Mais je crois que ce à quoi les Américains peuvent s’attendre dans un avenir proche est plus grave que la simple normalisation d’un système judiciaire politisé. Je crois que ce pays est désormais sur la voie irrévocable de la guerre civile ; pas seulement le genre de guerre civile froide dans laquelle nous nous trouvons depuis les années Obama (sinon avant), mais une guerre civile littéralement brûlante du genre de celles que les démocrates entretiennent, tout en veillant à ce que cela se produise, tout comme ils ont veillé à ce qu’une « insurrection » du 6 janvier 2021 devienne violente et l’ont ensuite présentée comme la plus grande menace pour la démocratie depuis la guerre de sécession.

Une brève remarque pour clarifier : lorsque les démocrates parlent de « démocratie », ils entendent un régime démocrate totalitaire. Quand ils gagnent les élections, c’est la démocratie. Lorsque les Républicains gagnent, c’est du fascisme et « une menace pour la démocratie ».

Le sénateur républicain Rand Paul a déclaré à propos du verdict : « Ce qui m’inquiète, c’est quelque chose d’encore plus grand que Donald Trump. Je m’inquiète des conflits. Je crains la guerre dans les rues

Le député démocrate Maxine Waters s’inquiète également de la guerre civile. Cette démagogue corrompue a parlé sur la chaîne radio MSNBC de la condamnation de Trump, affirmant : « Je crains qu’il ne sème énormément de discorde et qu’il parle de représailles et de vengeance et je pense que c’est dangereux. Il a même évoqué la guerre civile, affirmant qu’il y aurait un bain de sang

Ce n’est bien entendu qu’une projection des Démocrates ; Trump n’a pas divisé ce pays ; il a seulement révélé la division que les Démocrates avaient déjà provoquée.

Maxine Waters a poursuivi en s’inquiétant du fait que « les terroristes nationaux », par lesquels elle entend les patriotes américains, pourraient préparer une guerre civile. « Vont-ils attaquer ? » Elle panique.

On ne l’appelle pas « Mad Max » sans raison. Maxine Waters est folle, stupide et motivée  par des idéologies, une combinaison toxique à tout moment, mais surtout en matière de leadership politique. Pour une fois, cependant, elle n’a pas tort : les démocrates ont plus de chances que jamais d’obtenir ce qu’ils réclament, à savoir la violence politique de droite.

J’espère me tromper. Je ne veux pas de guerre civile. En tant que conservateur, je ne veux pas que l’Amérique soit divisée. Je veux que ce pays revienne à un niveau normal de désaccord politique passionné. Mais la conviction de Trump pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase, la confirmation que ce pays est désespérément brisé politiquement et qu’il n’y a plus de possibilité de réduction de cette fracture politique.

Comme la matière et l’antimatière, le progressisme et le type de démocratie que défendent les conservateurs ne peuvent pas exister dans le même espace. Comme le dit le slogan du film Highlander, il ne peut y avoir qu’une solution. La gauche a déployé toutes ses énergies pour diviser ce pays entre, d’un côté, ce qu’elle considère comme des déplorables (mot d’Hillary Clinton) et, de l’autre, des progressistes justes du côté droit de l’histoire. Ils nous ont poussés et poussés, diabolisés et attaqués physiquement, ont transformé le système judiciaire en arme contre nous, ont volé une élection, et avec la condamnation de Trump pour un crime que la plupart des Américains ne peuvent même pas identifier, ils ont poussé l’ours une fois de trop. Ils ont voulu la violence conservatrice pour justifier la criminalisation et l’emprisonnement du mouvement MAGA, comme ils l’ont fait avec les innocents accusés du 6 janvier 2021.

Ils auraient dû faire attention à ce qu’ils souhaitaient, car il est bien possible maintenant qu’ils l’obtiennent. Ce n’est pas une menace, juste une prédiction. La guerre civile arrive.

(Jack : Je suis tout à fait contre une guerre civile et Trump est un anti-violent. Lors des émeutes du 6 janvier 2021, dans son discours devant le Capitole, Trump avait demandé aux participants de manifester passivement et politiquement, demandant quelques instants plus tard aux manifestants de rentrer chez eux, passages de son discours soigneusement oblitérés par le tribunal « kangourou », ainsi surnommé par Trump, pour l’accuser d’être responsable de l’insurrection du 6 janvier 2021, )

Mark Tapson fait partie de l’équipe du Centre de liberté de David Horowitz (David Horowitz Freedom Center), dont l’intérêt est la culture populaire.

5 juin 2024 par Mark Tapson

Traduction par Jack par Résistance républicaine

https://www.frontpagemag.com/this-means-war-civil-war/

Mark Tapson fait partie de l’équipe du Centre de liberté de David Horowitz (David Horowitz Freedom Center), dont l’intérêt est la culture populaire.

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5 Commentaires

  1. Biden a fermé temporairement les frontières avec le Mexique, vu l’afflux constant et important de migrants en provenance du sud.

  2. Ouais, la fin de l’année va être chaude, bouillante…. Ai je lu sur le site d’un lanceur d’alertes. Le charisme de trump et l’intervention de l’armée aux USA vont calmer le début de guerre civile – (Le chef de l’armée pro démocrate a démissionné par peur de Trump). Si cette prédiction pouvait s’avérer vraie, OUPS – En fait, même si Trump n’ai pas le meilleur des hommes, il est notre salut. Bien que par rapport à certains de ses adversaires, c’est un paragon de vertu. Malgré les tentatives de Einptein et de maxwell, il n’a pas plongé dans l’horreur pédophile au contraire de certains hommes politiques de chez nous

  3. « Diffamez, diffamez, il en restera bien quelque chose », je ne me rappelle plus qui a dit ça, un de nos philosophes…

  4. Toutes les guerres civiles finissent par devenir des conflits militaires. L’Armée y est toujours immanquablement impliquée.

  5. Jack vous avez utilisé un mot essentiel en ce moment « simulacre ». Oui, nous sommes dans l’apparence, dans le faire-semblant, dans la manipulation et la tromperie permanentes. Peut-être est-ce un bien pour un mal, les excès amènent toujours des renversements de situation, peut-être que le moment est venu de la révolution ?

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