Inde : troisième victoire pour Narendra Modi, les islamistes ne sont pas à la fête

Comme l’ours est le symbole de la Russie, celui de l’Inde est le tigre. Le coquelet Macron fait un peu chétif à côté.
Les Indiens ont voté par régions pendant six semaines entre le 19 avril et le premier juin. 968 millions d’électeurs pouvaient s’exprimer dans un pays qui compte un milliard et 500 millions d’habitants. Quinze millions de scrutateurs dans plus d’un million de bureaux de vote ont veillé à la régularité du scrutin. La participation fut de 67 %.
Les Indiens sont plus sages que nous. Leur Assemblée nationale, la « lok sabha » élue pour 5 ans au suffrage uninominal à un tour, inspiré du système britannique, compte 545 députés. Il nous en faut 577 pour 68 millions de Français.
Le Bharatiya Janata Party de Modi et ses alliés de l’Alliance Démocratique Nationale obtiennent la majorité
Au Parlement où la majorité est de 273 voix, ils frôlent les 300 députés. Le principal parti d’opposition en a une centaine. Malgré un « cordon sanitaire » hétéroclite contre Modi. Gauche, extrême gauche, régionalistes et mondialistes associés aux mahométans.
Modi avait déjà conduit ses partisans à la victoire en 2014 et 2019, grâce à son appel à l’électorat hindou, invité à reconquérir son pays, ses institutions et ses mœurs, trop longtemps phagocytés par des islamistes.
Mais il n’y a pas que les rancœurs d’un passé tragique pour motiver les électeurs. Le BJP a mené une politique sociale qui a changé la vie des plus pauvres. En augmentant la distribution des denrées alimentaires et en développant les services médicaux. Même s’il reste encore beaucoup à faire… Malgré la canicule, nombre de marginalisés et de déshérités sont allés voter, reconnaissants à Modi d’avoir amélioré leur quotidien.
Varanasi (Bénarès) ville sacrée aux escaliers mondialement connus au bord du Gange, est depuis toujours un bastion de l’hindouisme. Il l’est resté. Mais cette année, le nombre d’électeurs qui se sont déplacés a augmenté, en partie à cause d’une mobilisation anti-Modi de tous les musulmans de la région.
Dans l’État du Bihar frontalier avec le Népal, berceau du bouddhisme et du jaïnisme, les électeurs ont exprimé un fort soutien à la politique de resserrement des liens entre l’hindouisme et le pouvoir, menée par Modi. Les bien-pensants du Francistan s’en étonnent…
Ces islamophiles obtus ignorent que le Bihar a été un important centre religieux et culturel depuis l’époque sanskrite jusqu’aux invasions musulmanes qui ravagèrent le pays. Les monastères bouddhistes de Nâlandâ et de Vikramaśīla étaient des parangons de spiritualité réputés dans toute l’Asie, attirant des étudiants jusqu’en Chine. Ils furent incendiés et leurs moines décapités.
Narendra Modi 73 ans va se succéder à lui même
L’Inde est une démocratie parlementaire où le Premier ministre est élu par le Parlement et détient les pouvoirs régaliens au niveau fédéral. Il détermine et conduit la politique de la Nation avec son gouvernement. Le président de l’Union indienne n’a qu’un rôle symbolique.
Les 28 États et 8 territoires de l’Union ont chacun leur Parlement, leur gouvernement, et peuvent voter des lois locales. Tant qu’elles ne s’opposent pas ouvertement à celles de l’Union. Comme ce fut le cas avec les musulmans du Kashmir où Modi dut abroger leur autonomie, dissoudre leur Parlement, et envoyer l’armée rétablir l’ordre en 2019.
Cinq ans plus tard, cette politique a porté ses fruits, et en mars 2024, il est allé se promener au milieu des Kashmiri, sans gardes du corps (tu entends ça Manu ?) acclamé par des autochtones reconnaissants d’avoir été délivrés du racket des gangs et de la violence des terroristes.
Idem à Delhi (territoire) où il a imposé des mesures coercitives pour éliminer des émeutiers mahométans maîtres de la rue, qui cassaient et incendiaient tout, attaquaient la police et tuaient des Hindous… Les fauteurs de troubles sont allés pleurnicher dans le giron des institutions internationales. Énorme erreur ! Les 80 % d’hindouistes sont profondément nationalistes et ne supportent pas que des étrangers se mêlent de leurs affaires. Modi y a gagné en popularité.
La réaction a été la même quand Modi a été ciblé par l’OMS pour ne pas avoir fait vacciner tous ses concitoyens. Le chiffre de 2,5 millions de morts soi-disant du covid a irrité les Indiens qui ont refusé de servir de cobayes pour les mixtures expérimentales de Big Pharma.
Les Indiens rendent leurs coups aux islamistes
Tout dans la culture et la religion hindouiste d’origine incite à la contemplation plus qu’au métier des armes. Les mahométans en ont profité pendant mille ans. Pour envahir et asservir, parfois génocider des gens paisibles. Depuis dix ans, Modi leur présente la facture.
Après dix siècles de conflits, de destructions et de massacres, les Indiens finalisent la reconquête de leur pays. Ils ne retiennent pas les coraniques qui peuvent partir au Pakistan, « pays des purs », république islamique, capitale Islamabad, créé en 1947 au détriment de l’Inde. Sa Constitution oblige à accueillir tous les «frères».
Les autres, on s’en accommode à condition qu’ils respectent les lois. Sinon prison, confiscation de leurs biens, et passage au bulldozer de leurs maisons, leurs mosquées et leurs commerces. Et perte de la nationalité. Ça calme les plus excités.
Contrairement à ce que glapissent les gauchards de là-bas, aussi tarés que les nôtres, Modi n’a pas fait des coraniques des sous-citoyens. Ils ont les mêmes droits que les autres. Rien de plus, rien de moins. Et c’est intolérable pour ceux qui se croient supérieurs aux « infidèles » et exigeaient de continuer à bénéficier de privilèges et de statuts spéciaux, comme par le passé, quand la gauche Gandhi-Nehru tenait le pays.
Jusqu’à Modi, la plupart des politiciens, intimidés et apeurés devant des foules fanatiques hystérisées, n’osaient pas répliquer. Encore moins sévir contre les émeutiers, les incendiaires, les démolisseurs de temples et les assassins. Depuis dix ans, ça a changé, et les Indiens ont fait savoir qu’ils entendaient qu’on continue cette politique.
Les médias français dénigrent l’Inde en mélangeant aux coraniques les 2 % de chrétiens, pour la plupart protestants ou issus de sectes diverses. Quand les catholiques romains, présents depuis le XVIe siècle, sont détestés depuis que leurs papes ont pris le parti des musulmans.
Modi n’aime pas les mahométans. Mais qui les aime en Inde à part quelques collabos de gauche ?
« Il y a un très fort sentiment de fierté pour tout ce qu’il a fait, et c’est pour cela que les gens votent pour lui », a dit à CNN un ancien opposant, rallié au BJP par patriotisme. « Je suis retiré de la politique. Je n’ai rien à y gagner sinon d’être en paix avec moi-même.»
Cette année, dans l’État d’Uttar Pradesh, après bien des turbulences, Modi a inauguré un grand temple dédié à la divinité Rama, à Ayodhya. Un sanctuaire spirituel majeur où Hindouisme et bouddhisme ont cohabité pendant des siècles. Avant que les mahométans détruisent ce lieu de culte symbolique pour construire une mosquée sur les ruines.
La destruction du temple initial n’avait aucune importance aux yeux des beaux esprits progressistes. Par contre, l’éradication de la mosquée par des Hindouistes fut considéré comme une abomination. Fort heureusement pour les Indiens, leurs chefs ne courent pas prendre leurs ordres au Qatar ou à Riyad comme nos pleutres dirigeants.
Un triumvirat planétaire pour le XXIe siècle ?
Outre son action continue pour valoriser la culture, les traditions et la religion de l’Inde éternelle, Narendra Modi a promu des mesures attractives pour les investisseurs étrangers. Assouplissement ou suppression des mesures administratives, allègement de la fiscalité, droits de douane pénalisant les importations, avantages aux joint ventures (coentreprises).
Cette politique a fait de l’Inde la cinquième économie mondiale. Avec une croissance de 8,4 % en 2023… Début 2024, la bourse de New Delhi est devenue la quatrième place financière, avec une capitalisation atteignant 4.300 milliards de dollars US, dépassant Hong Kong.
Aujourd’hui, l’Inde est un acteur majeur appelé à jouer un rôle déterminant au sein des BRICS avec la Russie et la Chine. Trois pays qui ont l’arme atomique, envoient des engins sur la lune, et savent traiter comme il convient les islamistes. 
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/inde-troisieme-victoire-pour-narendra-modi-les-islamistes-ne-sont-pas-a-la-fete.html

 

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4 Commentaires

  1. L’inde était le phare du monde avant l’arrivée des Muzz. Entre 80 et 400 MILLIONS DE MORTS, des esclaves par millions, une civilisation détruite et COMME D’HAB, une histoire déformée et reconstruite. Ce sont les anglais qui ont le nez dans l’histoire des Hindous et ont rendu leur histoire aux hindous et depuis… Les Hindous ont redécouverts leur histoire, lors d’une chasse d’un noble muzz, ceux qui servaient de gibier étaient des hindous (rapporté par un lord anglais). Modi n’est pas un tendre, cela est vrai mais comment oublier que la civilisation hindoue a failli disparaitre et que même les muzz (1930) ont raconté une histoire qualifiant les destructions de mineures et les morts de chiffres minimes (dommages collatéraux de guerre ) – POUAH, ils sont capables de tout ???

  2. Tout ce qui est bon pour emmerder le muzz me plait. C est la raison pour laquelle je voterai Reconquete,dimanche.

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