Macron a menti aux paysans et aux Français sur l’accord de libre-échange UE-Mercosur : la preuve a été donnée par le négociateur en chef pour l’UE de cet accord ! Il vient de manger le morceau !
#Macron a menti aux paysans et aux Français sur l’accord de libre-échange UE-#Mercosur : la preuve a été donnée par le négociateur en chef pour l’UE de cet accord ! Il vient de le morceau !
Macron mentait bien sûr, mais les fausses « oppositions » qui veulent rester dans l’UE,… pic.twitter.com/OKFV97qiks
— Florian Philippot (@f_philippot) May 11, 2024
Selon Rupert Schlegelmilch, négociateur en chef de l’UE pour l’accord UE-Mercosur, Bruxelles se prépare à une approbation rapide de l’accord commercial controversé avec les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay et Uruguay) après les élections européennes de juin.
M. Schlegelmilch s’est rendu dans les quatre pays du Mercosur la semaine dernière pour régler les détails techniques de l’accord qui, s’il est signé, sera le plus ambitieux jamais conclu par l’Union européenne, puisqu’il couvrira 10 % de la population mondiale et 20 % du PIB de la planète.
Dans un entretien accordé au journal brésilien Folha de S. Paulo le 2 mai, M. Schlegelmilch a confirmé qu’il travaillait avec les pays d’Amérique latine afin de sceller l’accord si l’opportunité se présentait après le mois de juin.
« L’accord est bien toujours d’actualité. Le fait est que la Commission [européenne] négocie toujours », a déclaré M. Schlegelmilch au journal. « Nous avons un mandat de tous les États membres, y compris de la France, pour le faire », a-t-il souligné.
Après deux décennies de négociations, l’UE et les pays du Mercosur sont parvenus à un accord politique sur le texte final en 2019.
Toutefois, sa ratification a été bloquée en raison de préoccupations environnementales et de craintes concernant son impact sur le secteur agricole de l’UE, soulevées par certains États membres de l’UE, dont la France.
« Je vais être très honnête : en ce moment, avec les élections et les agriculteurs dans les rues dans beaucoup d’endroits en Europe, ce n’est tout simplement pas le bon moment. Nous devons donc attendre la fin des élections », a déclaré M. Schlegelmilch.
Dans le contexte des manifestations d’agriculteurs, Paris a récemment redoublé de critiques concernant l’accord commercial et a même fait pression sur la Commission européenne en janvier pour qu’elle interrompe complètement les négociations.
Lors d’une récente visite au Brésil, Emmanuel Macron a qualifié le texte élaboré il y a 20 ans de « dépassé » et a demandé l’ouverture de négociations sur un nouvel accord en repartant de zéro.
En réponse à ces commentaires, M. Schlegelmilch a confié à EFE, média partenaire d’Euractiv, que l’accord était constamment mis à jour pour se conformer aux normes les plus récentes.
« Au cours des trois dernières années, nous avons veillé à ce que l’accord soit à jour avec tout ce qu’implique un accord commercial moderne, donc je ne comprends pas pourquoi le président Macron a dit cela », a-t-il déclaré.
À Bruxelles, la Commission s’est montrée moins loquace sur la possibilité de finaliser l’accord cette année, alors que le sujet est devenu de plus en plus polémique au sein du secteur agricole de l’UE.
Un porte-parole de l’exécutif de l’UE a expliqué à Euractiv mercredi (8 mai) que l’UE et les pays du Mercosur restaient en contact à un niveau technique.
« L’objectif de l’UE reste de s’assurer que l’accord permette d’atteindre les objectifs de durabilité de l’UE tout en respectant les sensibilités de l’UE dans le secteur agricole», a ajouté le porte-parole.
Un équilibre délicat
Malgré l’intention de la Commission d’agir rapidement et d’approuver l’accord après les élections, le soutien des États membres au sein du Conseil sera crucial.
Pascal Lamy, ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et commissaire européen au Commerce de 1999 à 2004, a expliqué à Euractiv que les éléments commerciaux de l’accord, qui relèvent de la compétence exclusive de l’UE, pourraient être appliqués provisoirement, de manière similaire à l’Accord économique et Commercial Global (AECG/CETA) entre l’UE et le Canada.
Toutefois, cela nécessite également l’approbation du Parlement européen et d’une majorité qualifiée d’États membres au sein du Conseil, représentant au moins 65 % de la population de l’Union.
Pour M. Lamy, l’adhésion des ministres dépendra du contenu de l’accord en matière d’environnement, comme les engagements à mettre en œuvre l’accord de Paris sur le climat ou des garanties supplémentaires sur la déforestation.
Il a suggéré que ces garanties environnementales renforcées pourraient être utilisées contre les intérêts agricoles au sein du Conseil.
« Si je prends un pays comme la France, par exemple, ils sont soumis à une forte pression de la part des agriculteurs pour qu’ils n’acceptent pas [l’accord] », a déclaré M. Lamy.
« Il pourrait être indispensable pour la Commission, et pour les Français […] ou quiconque serait dans une minorité de blocage de dire “regardez, les changements du côté de l’agriculture sont minimes et entre-temps, nous avons obtenu plus de garanties du côté de l’écologie” », a-t-il ajouté.
M. Lamy a également souligné l’influence de la France au sein du Conseil, notant que Paris prenait rarement part aux minorités perdantes.
« La question est de savoir si la Commission et quelques autres pays sont prêts à mettre la France en minorité. »
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Pour ces oligarques d’un nouveau genre, il s’agit d' »un accord ambitieux ».
Et pour nos paysans, il constitue un traité « mortel », au sens propre.
C’est comme cela depuis bien longtemps, rien de nouveau…hélas.
Un menteur doublé d’incompétence, ça s’appelle un imposteur.
Rien de neuf sous le soleil, Macron et sa bande mentent et rementent aux français depuis le premier jour où ils ont été au pouvoir, ils n’ont aucun respect pour les français qui bossent, qu’ils soient agriculteurs ou autre chose, nous ne sommes rien pour ces putassiers. Mentir à des gens qu’ils mérpisent et considèrent comme de la merde ne leur fait ni chaud ni froid. Et dès le début de la crise des agriculteurs j’avais prédit que Macron les enflerait avec des belles paroles et des belles promesses dont il savait déjà quil ne les tiendrait pas.
Des filous de bas étage. Macron ne sait décidément que mentir.
Il ne ment pas puisqu’il applique ce qu’il désire: casser la France !!!