Patrimoine de La France Insoumise : Mélenchon ne sait pas écrire correctement en français

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Le « Lider Maximo » de « La France Insoumise » (LFI), le dit Jean-Luc Mélenchon, est un cancre en orthographe française.

Il écrit avec des fautes que même des élèves de primaire ne feraient pas.

Réagissant dans un tweet, vendredi 15 mars, à la conférence de presse du Macron, la veille, le « Lider Maximo Insoumis » (LMI) écrit :

« Le Président fait peur. Il sait qu’assit, on finit par se lever. Et que si on alimente la guerre, on finit par la faire soi-même. Ceux qui veulent la paix préparent la paix. Lui non. »

Il se peut que le LMI de la LFI a posté ce tweet pendant que sa Chikirou était assite sur ses genoux.

C’est dans la logique de la grammaire mélenchonienne : Assit pour le masculin, assite pour le féminin. Dans le monde du Mélenchon, les temps changent. Pas seulement en conjugaison. Les participes participent à la révolution qui doit inexorablement conduire le Mélenchon à l’Élysée.

Les tweets du « Lider Maximo » sont des ordres et des instructions à observer et à appliquer dans toute la bergerie.

Assis s’écrit désormais assit. On ne discute pas.

Quelques minutes plus tôt, le même jour, le Mélenchon twittait :

« Poutine a déclaré cette semaine « Tenir des négociations alors qu’ils sont à cours de munition serait absurde pour nous ». On peut le déplorer, mais il n’a aucunement l’intention de négocier. »

Là où il faut un « S », le LMI met un « T » et là où il faut un T », il met un « S ».

Dans deux tweets qui se suivent le même jour à quelques minutes d’intervalle.

Le Mélenchon semble avoir un problème avec les « S ». Il ne veut même pas en attribuer un à un mot au pluriel comme dans son « à cours de munition ». On ne peut pas être à court d’une seule munition. Le LMI doit penser que si…

Difficile de croire qu’il s’agit juste de coquilles. Si tel était le cas, le LMI mériterait le prix des « Couilles d’or ». C’est un prix qui a existé il y a plus de 20 ans. Il provient du titre à la une d’un journal qui voulait divertir ses lecteurs avec les « coquilles d’or » rencontrées dans la presse écrite. Malheureusement, le « Q » était tombé et le titre s’est retrouvé avec des « couilles d’or ». Et il a été décidé d’en faire un Prix.

Le Prix ne semble pas avoir eu une longue existence. Il fut abandonné en raison du nombre important de prétendants. Mais il pourrait être ressuscité sous le nom de « Melenchouilles » ou de « Melencouilles » si jamais, à Dieu ne plaise, le « H » venait à tomber…

Le Mélenchon n’a pas à rougir de son écriture ou de son langage. Il est dans les normes gouvernementales. Il n’a rien à envier aux « fondamentals » du Demeuré du Quai d’Orsay. Ni même aux bêtises du président qui ne sait pas utiliser correctement les verbes « partir » et « venir ». Lors de sa tournée en Afrique centrale en mars 2023 et alors qu’il se trouvait à Kinshasa, il a évoqué les visites que les présidents français avaient effectuées au Congo. « Le président Mitterrand s’est rendu à Kinshasa », dit-il. Au lieu de « Le président Mitterrand est venu ici ».

Dis, Brigitte, tu ne surveilles plus le langage de ton petit ? Apparemment, non, puisque le petit a encore récidivé quelque temps plus tard, en annonçant, lors d’une allocution à Paris : « Le ministre ukrainien de… (désolé, je ne me rappelle pas exactement de quoi, mais de la Défense certainement), va partir à Paris. »

C’est, apparemment, une dépêche de l’AFP qu’il récitait. C’est « il va venir à Paris », qu’il fallait dire, imbécile.

Il faudra un jour fouiller dans les discours et les différentes interventions de nos politiciens et responsables au niveau gouvernemental. C’est un filon aurifère qui regorge de pépites d’or.

Le Mélenchon pourra continuer à parler et à écrire dans sa façon surannée, en portant atteinte à l’orthographe et à la syntaxe françaises. Personne, dans sa bergerie, n’osera lui faire la remarque. C’est à cela que l’on reconnaît un dictateur.

Il pourrait se balader nu dans les locaux de LFI, tout le monde le congratulerait pour son beau costume…

Par ses bévues, le Mélenchon fait honneur à la journée internationale de la langue française. Cette journée sera célébrée le 20 mars à l’ONU. Espérons que là-bas, ils ne suivent pas les tweets du Mélenchon. Sinon, ils vont supprimer cette journée.

Comment célébrer la langue française que le prétendant au poste de président de la France, et à la rigueur de Premier ministre, ne maîtrise pas ?

Ce n’est pas la peine de parcourir tous ses tweets pour son convaincre.

Mais on ne doit pas en vouloir à notre guignol national. Le Mélenchon, paraît-il, écrit très bien en arabe.

C’est donc une richesse linguistique pour la France.

Au même titre que les richesses accumulées depuis des années, qui s’accumulent encore dans les banlieues et que l’on appelle injustement « racailles ».

Longue vie à notre Mélenchon et tant pis pour la langue française.

Les deux étant, de toute façon, incompatibles l’un avec l’autre.

Messin’Issa

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21 Comments

  1. Sandrine Rousseau reste toujours la grande gagnante avec son : « Nous avions la gorge qui grattions, nous avions les yeux qui brûlions » . Le top niveau de la « cancritude. » ! Mélenchon, avec son « assit » et son « cours » fait petit joueur à côté.

  2. Mélenchon est au niveau du parti qu’il a créé au raz du sol ,écolos bobos bref des idiots utiles pour représenter le niveau de notre pays et ce qu’il est devenu !

  3. Faut échantillonner + large, que du texte écrit en hâte. Le fait est que c’est un orateur de 1° force.

    Par contre, s’il se veut ouléma (savant de l’islam), une falsification (peccamineuse) du « texte saint » est à craindre, avec s5v33 à la clé.

    Il fera moins le faraud.

  4. Depuis que plus personne ne fait de liaisons, j’ai mal aux esgourdes.
    Depuis que j’entend  » c’est moi ou lui  » idem, mes oreilles sifflent et me sont très douloureuses.
    Donc, rien ne m’étonne venant de ce personnage.

  5. Je le déteste cordialement, mais il a été professeur de français ses premières années de carrière. Je pense que c’est un petit stagiaire ou étudiant de la France 2.0 qui a tapé sous dictée. Ou alors il est quadruple-vacciné et la récompense est arrivée.
    Reprochons lui ce qu’il mérite. Il y a plus que matière.

    • Même si c’est qq’un qui écrit pour lui (ce qui est certain), il doit relire avant de publier

  6. Bonjoure
    Si vous faisez des fote faut que vous vindiez à mon ekole. Ya pas deux souci, sa reste sainple le francé.

  7. Bah quand on dit « Là, m’faut d’la douille », on dit pas « des douilles » ? Pareil pour « munition(s) » !

    • Non, ce n’est pas pareil.
      Vous croyez qu’on peut dire « je suis à court d’la douille » ?
      Le tweet du Mélenchon est un texte écrit qui doit se conformer ne serait-ce qu’aux règles élémentaires de la grammaire, surtout quand ça vient d’un leader politique qui vise les plus hautes instances du pays.
      Ce n’est pas du langage parlé.

      • Voyez donc mon hypothèse ci-dessus, monsieur Issa. Elle corrobore la vôtre.

  8. Merci à Messin pour ce morceau d’anthologie mélenchonienne. Jean-Luc, mais tu es un cancre, adepte des séjours au coin des radiateurs. Et premier à la cantine, surtout le jour de la viande rouge.

  9. Exemple de linguistique merluchienne: Melanchon est un vieux sac de cuir marocain, donc dans sa forme abrégé, une Maroquinerie.

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