Colloque international Éducation et inégalités…
Colloque organisé conjointement par la Mission pour les initiatives scientifiques internationales transverses et interdisciplinaires (MITI) et le Réseau Thématique Pluridisciplinaire Éducation du CNRS1
https://sfere.hypotheses.org/files/2024/01/Synthese-complete-colloque-MITI-RTP-VF.pdf
IDENTIFIER ET CONTOURNER LES FACTEURS SOCIAUX ET TERRITORIAUX DES INÉGALITÉS D’ACCÈS À L’ÉDUCATION22 DISCRIMINATION ETHNO-RACIALE
« En France, un enfant sur cinq, entre 0 et 17 ans, a au moins un parent immigré. Plus d’un sur trois est soit un immigré, soit un enfant ou un petit-enfant d’immigrés », rappelle Mathieu Ichou chercheur à l’INED (unité Migrations Internationales et Minorités, Paris). Avec ses collègues Ingrid Tucci (Laboratoire de Sociologie et d’Eco- nomie du Travail, Marseille) et Jean-Luc Primon (URMIS, Université Côte d’Azur), il a analysé les trajectoires scolaires des descendants d’immigrés nés à l’étranger sans avoir la nationalité française à la naissance, et des descendants d’immigrés de « deuxième génération », nés en France d’au moins un parent immigré. En comparant les parcours scolaires (diplôme le plus élevé obtenu, filières du baccalauréat, accès au baccalauréat scientifique) des élèves natifs et des élèves immigrés ou descendantsd’immigrés (distingués selon leur origine ethnique, leur période d’accueil, le milieu social et le genre), le trio de chercheurs a d’abord constaté de fortes inégalités dans l’accès à l’éducation supérieure. Ils relèvent d’abord une différence entre première et deuxième génération : dans la seconde génération, on trouve plus de diplômés de haut niveau, ce qui reporte probablement l’impact des inégalités sur le marché du travail. Deux groupes se différencient cependant : les filles asiatiques, surreprésentées dans les baccalauréats scientifiques, alors que les fils d’immigrés subsahariens y sont sous-représentés. Ce phénomène est sans doute lié, selon le chercheur, à différents facteurs déjà évoqués : discrimination raciale, stéréotype négatif, ségrégation scolaire et résidentielle comme l’évoque Georges Felouzis, ou orientation précoce vers le marché du travail appréciée par le familles d’origine subsaharienne.
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Ca les turlupine, cette différence de résultats pour leurs immigrés chéris.
Ils voudraient absolument l’expliquer par une inégalité sociale ou une discrimination des méchants blancs.
Comme les résultats ne correspondent pas à leur idéologie, ils vont tout faire pour fausser les résultats, en créant l’injustice ethnique pour favoriser les entrants.
Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Pour accéder à l’éducation supérieure, il faut avoir bossé dès le primaire, voire la maternelle ce qui n’est pas de cas des divers avariés qui attendent que tout leur soit donné.
Ils n’ont rien trouvé d’autre pour expliquer la faillite totale de l’Education Nationale à cause de leur idéologie destructrice (sauf pour les « petits garçons » de la caste d’Oudéra-Castéra) que la sempiternelle même vieille accusation perverse qui a étrenné le processus de dégénérescence programmée sous Mitterrand : le racisme des méchants blancs chez qui tous les malheureux mélanisés viennent se précipiter au péril le leur vie.
Psychopathes de gauchistes à l’idéologie à l’envers !
Enfin… pour les imbéciles vraiment idiots. Les responsables depuis le début, eux, savent parfaitement ce qu’ils font et pourquoi ils l’infligent de force depuis quatre décennies…
Le reste, c’est la fameuse carte qui explique toute l’Histoire jusqu’à la période récente
https://www.mdpi.com/psych/psych-01-00011/article_deploy/html/images/psych-01-00011-g002.png
Ce n’est pas juste parce que les Asiatiques sont travailleurs et les Sub-sahariens sont de gros feignasses qui ne survivent que grâce aux allocations…
Dans la dénomination « asiatique », comme en Grande Bretagne, il y des Pakistanais, des Afghans, etc., qui sont aussi très profiteurs … des mécréants !
Rien que de très normal, conforme au coran !