Ne vous inquiétez pas pour Macron, il a plus d’un sale tour dans son sac pour torpiller l’indépendance de la France, outre l’UE.
L’on sait déjà que la dette n’est pas pour lui un problème, mais le moyen de tenir une France exsangue financièrement qui oserait se rebeller. Avec plus de 110% du PIB, au rythme où vont les choses, nous serons à 130%pour 2027. Un pas de travers et les banques imposent des taux d’intérêt exorbitants. Quel que soit le président à venir, il sera plus ou moins obligé de se soumettre comme Georgia Méloni en Italie*.
* : L’Italie est actuellement endettée à 143% début 2023 après l’avoir été à 158%, la deuxième économie européenne la plus endettée après la grecque. Elle bénéficie d’une aide (conditionnée cela s’entend) de 120 milliards d’€ de l’UE…
EDF reprenant du poil de la bête, trop assurément, malgré le rachat d’Arabelle, il faut lui trouver une tutelle étrangère, de préférence US !
C’est fait ! Bien sûr, la présentation faite serait que la France n’a pas les moyens de gestion informatique nécessaires.
Nucléaire : EDF fait appel à une filiale d’Amazon pour gérer une partie de son système d’information
Y-a-t-il un risque de fuite des secrets nucléaires français vers les États-Unis* ? Le Canard Enchaîné met les palmes dans la mare, mercredi 14 février, avec ce titre bien dans le style du Canard : « EDF livre ses centrales nucléaires à Amazon ». Rien de moins ! Quels sont les faits ? Il y a quelques mois**, l’énergéticien français a sélectionné Amazon Web Services, la filiale services informatiques du groupe américain, pour gérer la planification de la maintenance de centrales nucléaires françaises, et uniquement ce dossier. L’objectif d’EDF est de moderniser une partie de son système d’information générale, la gestion, dans la perspective du développement du parc nucléaire français. Amazon n’est pas le seul à avoir été choisi pour compléter les compétences internes.
* : Tout ce qui est américain est soumis au droit US qui autorise l’État à disposer de toutes les informations qui peuvent être de ses intérêts.
** : Ce qui s’est donc fait en toute discrétion !
Contacté par franceinfo, EDF confirme ce contrat passé avec Amazon Web Services, et précise que cette information est publique depuis le début pour qui s’intéresse au dossier, à partir du moment où les entreprises sélectionnées, et celles qui ne l’ont pas été, sont informées et libres de communiquer ou non. Certains groupes écartés du marché ont, apparemment, la défaite difficile et du mal à avaler la pilule. Ils jettent leur amertume sur la place publique.
Tu parles mon colon !!!
Mais n’y a-t-il pas, quand même, une interrogation sur la confidentialité de données industrielles stratégiques d’un groupe public français, qui partent ainsi chez un géant américain que l’on sait très proche du pouvoir politique à Washington ? EDF insiste sur le fait que ce contrat est strictement verrouillé dans le cadre des règles européennes*. Au sommet de l’entreprise, on vous fait comprendre que le groupe n’est pas né de la dernière pluie et n’a pas l’habitude de se jeter dans la gueule du loup**.
* : La confiance est là !!!
**: Comme le passé le prouve…
La défense des intérêts stratégiques nationaux
EDF est redevenue entreprise 100% publique avec la reprise de l’intégralité du capital par l’État. Le ministère de l’Économie estime que les règles aujourd’hui en vigueur sur la gestion informatique souveraine concernent uniquement les administrations, pas les industriels* ! Ce qui, en soi, interroge effectivement sur la défense des intérêts stratégiques nationaux. L’objectif du numéro deux du gouvernement, Bruno Le Maire, est de faire monter en puissance des offres françaises, capables de concurrencer les grands groupes américains**.
* : Encore une fois, tu peux le croire mon colon !
** : Comme on le voit !!!
Des solutions françaises de cybersécurité existent. On le voit aujourd’hui avec la sécurisation de notre identité numérique pour le permis de conduire sur les téléphones portables mais nous sommes loin de la stratégie nucléaire. Les principaux acteurs industriels le regrettent. Aucune offre tricolore n’est aujourd’hui capable de rivaliser avec les Américains et d’accompagner une entreprise comme EDF. La vente à la découpe du groupe Atos, fabricant du tout dernier du supercalculateur informatique français – à la renommée mondiale – en est une malheureuse illustration *.
* : Encore une entreprise que Minus et ses sbires sont en train de livrer à l’étranger…
Le sénateur Alexandre Ouizille explique…
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Le désastre Républicain continue mais comment en serait-il autrement les Enarques sont partout et il en sort une ou quelques centaines de ces écoles mafieuses toutes les années. Le tout entre les mains des extrémistes opportunistes à la recherche de l’argent facile. Gauchistes aujourd’hui et Hitlérien demain si ce n’est déjà pas le cas. Sans foi ni loi il faudra bien un jour les envoyer ailleurs qui peut-être un autre monde. Mais sont-ils les seuls NON c’est le monde politique, public et administratif en général, le monde des inutiles et des pilleurs qui détiennent le savoir et la prétention universelle du net et qui avec un titre ou un uniforme sont au-dessus de tout. La bêtise sous toutes ses formes. Et ce n’est pas fini car ils ont tous élevé leurs enfants de la même manière ou je dirais de la pire manière.
En tant que Belge, je comprends la réaction du rédacteur de l’article, car il y a longtemps que la France a phagocyté les fleurons économiques belges. Dernier mauvais tour qui nous touche vraiment: la Banque de la Poste Belge a été rachetée par BNP Paribas Fortis. Donc, à chacun son tour…
C’est très grave quand on sait que les américains ne nous aiment pas et sont devenu nos ennemis pour nous piller. Le macronescu fait de l’intelligence avec l’ennemi, rien de moins. Ce type est un traître machiavéliques.