Les Sénégalais les appelaient "bougnoules", ils ont tué ou déporté 17 millions d'Africains

J’ai eu récemment l’occasion, dans une discussion consacrée à l’article  « conquêtes musulmanes » qu’a publié antiislam, de signaler que les Sénégalais ont connu leurs premiers blancs lors de razzias de pirates arabes, qu’ils appelaient en Wolof « bougnoules » ce qui signifie dans cette langue « blancs ».

Les colonisateurs français ont gardé le mot sans en connaître la signification, mais cependant en désignant les mêmes : les arabes musulmans avec la connotation péjorative qu’on connaît. Curieusement en cherchant sur wikitionnaire on me donne la signification contraire de ce mot « noir » !!! J’aurais tendance à croire plutôt mon ami François N’Dour qui était un homme cultivé.
J’en appelle donc à nos lecteurs sénégalais connaissant le Wolof pour nous éclairer au niveau de l’étymologie de ce mot.(1)

Cet ami sénégalais qui m’a conté cette anecdote linguistique, malheureusement je l’ai perdu de vue.
Cependant j’ai trouvé l’interview d’un certain Tidiane N’Diaye. Tidiane N’Diaye, chercheur, économiste, anthropologue et écrivain franco-sénégalais qui met les points sur les i dans son livre Le Génocide Voilé : « alors que la traite transatlantique des noirs a duré quatre siècles, c’est pendant treize siècle sans interruption que les arabes ont razzié l’Afrique Subsaharienne.  La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains et de la castration généralisée»

genocide-voile

De Dakar, la capitale du Sénégal, où il se trouve actuellement, Tidiane N’Diaye a accepté de bien vouloir répondre à nos questions par mail. Interview.

Sur un plan historique, écrivez-vous, la traite négrière est une invention du monde arabo-musulman. Comment cela ?
Tidiane N’Diaye : « J’ai l’habitude de rappeler que mon travail ne cherche à communautariser ni l’histoire ni les mémoires. Ce qui serait la porte ouverte à une hiérarchisation victimaire, donc une approche dénuée de tout caractère scientifique. Par conséquent pour ce qui nous intéresse ici, puisque j’ai titré cet ouvrage « Le génocide voilé », faisant allusion à la castration massive que subissaient les captifs africains, au cours de la traite arabo-musulmane, je n’ai pas oublié de rappeler d’abord, que les premières victimes de cette calamité furent les Slaves, que les Vénitiens et les Marseillais allaient razzier en Europe centrale et orientale, pour les vendre aux notables du monde arabo-musulman. Cela devait durer toute l’époque carolingienne au Xème siècle sous les monarques saxons Henri l’oiseleur et Otton Ier. Comme on sait, il fallut l’émergence d’États puissants en Europe de l’Ouest et l’arrêt de l’expansion arabe aux Pyrénées pour que cela cesse. Et c’est pour combler ce déficit en eunuques et esclaves blancs, que les Arabo-musulmans allaient massivement se tourner vers les peuples négro-africains. Ainsi on trouve traces d’hommes ou de peuples asservis, sous diverses formes à travers toutes les aires de l’histoire de l’humanité et sur tous les continents. C’est un fait universellement connu et qui n’est donc pas spécifique aux peuples noirs. Ce qui est moins connu cependant, c’est que la traite négrière arabo-musulmane, fut inaugurée par les Arabo-musulmans et a duré près de treize siècles sans interruption, avec la mutilation généralisée d’un nombre incalculable de captifs noirs. Déjà il faut dire que le plus loin qu’on puisse remonter, c’est en Égypte pharaonique qu’on trouve traces d’hommes noirs, soumis à des formes d’exploitation comparables à de l’esclavage. Après les Hébreux, les Égyptiens avaient aussi réduit en servitude de nombreux peuples voisins essentiellement originaires d’Éthiopie et des régions nubiennes comme le Darfour. Mais en fait, ces importations de populations n’avaient pas encore pris une dimension industrielle ou véritablement planifiée. »

« Cette pratique devait durer jusqu’à l’invasion arabe de ce pays. Une invasion qui date du VIIème siècle de notre ère et qui correspond aussi à la première traite négrière en grand. Puisque après avoir occupé l’Égypte, les Arabes qui étaient sur le sentier du Jihad, c’est à dire de la guerre sainte, avaient décidé aussi d’envahir la Nubie. Comme le seul point commun entre tous les peuples négriers ravitaillés par les Arabes était la religion, voilà pourquoi dans cet essai, j’emploie souvent le vocable d’arabo-musulmane, pour qualifier cette première traite négrière en grand, qui fut non seulement la plus longue de l’histoire de l’humanité, puisqu’elle a duré treize siècles sans interruption, mais aura également opéré une ponction humaine largement supérieure à celle de la traite transatlantique vers les Amériques. Et le plus triste dans cette tragédie, est que la plupart des déportés n’ont jamais assuré de descendance, du fait de la castration massive que pratiquaient les Arabes. »

Quelles ont été les caractéristiques de la traite arabe par rapport à la traite transatlantique ?
Tidiane N’Diaye : « Pour la traite transatlantique, en dépit de la monstruosité des traitements, des humiliations et autres calamités, un esclave avait une valeur vénale. Le maître le voulait productif et rentable à long terme. Le but n’était donc pas l’extermination d’un peuple malgré la querelle sémantique opposant certains chercheurs à ceux qui veulent qualifier ce crime contre l’humanité de génocide. Alors que pour ce qui est de la traite arabo-musulmane, plus que le crime des occidentaux, les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés, ont presque tous disparu du fait des traitements inhumains, de l’infanticide et de la castration généralisée, pour qu’ils ne fassent pas souche dans le monde arabo-musulman. Il faut dire qu’à partir du moment où l’Afrique noire devenait leur principale source d’approvisionnement en esclaves, dans l’inconscient collectif des Arabes, l’homme noir devenait aussi symbole ou synonyme de servitude. Et sa couleur de peau sera même associée à un déni d’islam. Alors que cette religion comme toutes les autres, a hérité du joug de l’esclavage. Et si l’islam tolérait, voire recommandait l’asservissement de non convertis, il n’a jamais clairement ciblé les peuples noirs comme particulièrement prédestinés à l’asservissement. Mais des érudits respectés et très écoutés dans le monde arabe, allaient interpréter les textes sacrés, pour justifier et perpétuer la traite et l’esclavage des Noirs. Ainsi bien avant que les chercheurs européens de l’anthropologie physique n’élaborent au 19ème siècle les théories raciales fantaisistes que l’on sait, dans le monde arabe on avait déjà figé dans le temps et de manière presque irréversible l’infériorité de l’homme noir. Ce qui explique sans doute que les traitements inhumains et la mutilation généralisée des captifs noirs étaient acceptés et passaient pour un moyen commode pour empêcher que ces « animaux » ne prolifèrent sur leurs lieux de déportation. Le résultat est que de nos jours, ils ont presque tous disparu en Turquie, au Yémen, en Irak et on en trouve très peu au Maghreb ou en Arabie Saoudite. »

« Pour ce qui est du bilan, j’ai dû croiser mes trouvailles dans les archives de ces pays, avec des variables que sont les témoignages directs d’explorateurs comme Cameron, Stanley, le Dr Livingstone ou Mgr Lavigerie, sans oublier les récits effrayants de marchands arabes qui opéraient dans les centres de mutilation des captifs où 70 à 80 % périssaient. Ces données confrontées ensuite aux travaux plus récents de mon confrère américain Ralph Austin, dégagent une estimation qui donne froid dans le dos. Rien que pour le Sahara, plus de 9 millions de captifs africains ont été transportés dans des conditions inhumaines dont 2 millions ont péri ou sont restés en bordure du désert. Quant à la traite orientale qui se déroulait dans les régions proches de l’océan Indien et de la mer Rouge, on évalue à plus de 8 millions le nombre de victimes. On arrive ainsi à une évaluation proche des 17 millions de morts ou de déportés dont la plupart étaient des survivants castrés par les Arabes. Force est donc de reconnaître, que cette traite arabo-musulmane fut un véritable génocide de peuples noirs par razzias sanglantes, massacres et castration massive. A titre de comparaison, si de nos jours près de 70 millions de descendants ou de métis d’Africains peuplent le continent américain, des États-Unis au Brésil passant par les Iles de la Caraïbe, seule une infime minorité de Noirs a pu survivre en terres arabo-musulmanes. »

Quel a été l’impact de cette traite sur l’Afrique subsaharienne ?
Tidiane N’Diaye  : « Bien qu’il n’existe pas de degrés dans l’horreur ni de monopole de la cruauté, l’on peut soutenir sans risque de se tromper, que le commerce négrier et les expéditions guerrières provoquées par les Arabo-musulmans, furent pour l’Afrique noire et tout au long des siècles, bien plus dévastateurs que la traite transatlantique. De même que l’islamisation de nombreux peuples négro-africains et tout ce que cela a engendré, comme les jihads, n’en fut pas moins à la source d’innombrables implosions.

« Pour avoir une idée du mal, il faut savoir que les observateurs avaient constaté que pour chasser et enlever de force cinq cent mille individus, il fallait en faire périr près de deux millions d’autres (résistants ou fuyards.) Ainsi si les naissances avaient cessé à l’époque, en moins d’un demi-siècle, les régions de l’intérieur de l’Afrique ne seraient plus de nos jours, qu’une solitude désolée. Ces implosions précoloniales ont indéniablement éreinté les peuples africains, qui n’ont pas eu de répit depuis l’arrivée des Arabes. Leur conquête du continent noir, avait inauguré l’ère des ravages permanents des villages et de terribles guerres saintes menées par les convertis, pour se procurer des captifs chez des voisins qualifiés de païens. Lorsque cela ne suffisait pas, ils razziaient d’autres supposés « frères musulmans » et confisquaient leurs biens. Sous cette traite arabo-musulmane, les peuples africains étaient ponctionnés et pris en otage en permanence. Aussi, force est de reconnaître que les misères, la pauvreté, la longue stagnation démographique et les retards de développement actuels du continent noir, ne sont pas le seul fait des conséquences du commerce triangulaire, comme bien des personnes se l’imaginent, loin de là. Rien n’est comparable à l’infamie qui a ravagé les populations africaines, avec l’arrivée des Arabes et la traite négrière à grande échelle qu’ils inaugurèrent. L’Afrique en subit encore les conséquences. »

Pourquoi la traite arabo-musulmane est-elle si peu connue et étudiée, sinon carrément occultée ?
Tidiane N’Diaye : « En fait cette traite, qu’il est difficile de ne pas qualifier de génocide de peuples noirs par massacres, razzias sanglantes puis castration massive, chose curieuse, très nombreux sont ceux qui souhaiteraient le voir recouvert à jamais du voile de l’oubli, souvent au nom d’une certaine solidarité religieuse, voire idéologique. C’est comme un pacte virtuel scellé entre les descendants des victimes et ceux des bourreaux, qui aboutit à ce déni. L’entente tacite est bien réelle. Parce que dans cette sorte de « syndrome de Stockholm à l’africaine », Arabo-musulmans et Africains convertis s’arrangent sur le dos de l’Occident. Les descendants des victimes sont devenus des obligés, amis et solidaires des descendants des bourreaux, sur qui ils décident de ne rien dire. Ce silence ou la sous-estimation du mal arabe permet de mieux braquer les projecteurs, uniquement sur la traite transatlantique. Ceci comme un ciment devant réaliser la fusion des Arabes et des populations négro-africaines, longtemps « victimes solidaires » du colonialisme occidental. »

« Alors, que des lettrés et autres intellectuels arabo-musulmans, tentent de faire disparaître jusqu’au simple souvenir de cette infamie, comme si elle n’avait jamais existé, peut encore se comprendre. Ces derniers ne se décident toujours pas à regarder leur histoire en face et à en débattre avec leurs compatriotes. Ce qui explique que ce pan de l’histoire de l’humanité, reste encore profondément enfoui dans la mémoire coupable de ces peuples qui en sont responsables. En revanche, il est difficile de comprendre l’attitude de nombreux chercheurs – et même d’Africains américains qui se convertissent de plus en plus à l’Islam – qui n’est pas toujours très saine et fortement animée par une sorte d’autocensure. Comme si évoquer le passé négrier des Arabo-musulmans revenait à essayer de minimiser la traite transatlantique. C’est ainsi qu’un voile de silence a longtemps recouvert cette sombre page de notre histoire commune, parce qu’on y observe une étrange amnésie même de la part des élites noires. Elles ont du mal à passer d’une vision mémorielle affective de ce génocide, pour des raisons de solidarité religieuse, à tout simplement une approche distanciée et scientifique de l’histoire qui elle, ne traite que de faits avérés, comme c’est le cas pour la traite transatlantique. Voilà pourquoi le but de mon travail à travers cet ouvrage est tout simplement de lever le voile et sans complaisance, sur cette sombre page de notre histoire commune, pour éviter aussi que le travail de mémoire engagé sur les traites négrières et plus généralement sur le martyr des peuples noirs, ne continue que dans un sens hypocritement sélectif en braquant uniquement les projecteurs sur le crime des Occidentaux. Car à mon sens, par une telle approche, la démarche historique ne saurait en aucun cas en être éclairée. »

Tidiane N’Diaye a également publié aux éditions Gallimard « Le jaune et le noir » (2013), une enquête historique sur la stratégie économique et politique de la Chine en Afrique, ainsi que « Par-delà les ténèbres blanches » (2010), un ouvrage sur la résistance des Sud-Africains à l’apartheid et le parcours de Nelson Mandela.

(1) Note de Christine Tasin

On se rappellera que, en 2003, pendant la campagne pour une loi sur le voile à l’école l’inénarrable -et infecte- Houria Bouteldja n’avait pas eu d’état d’âme à dire à Pascal Hilout, apostat de l’islam « tu es le bougnoule de service« ….

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15 Commentaires

  1. Histoire d’un jour
    En 1204,4ème croisade ,maritime,avec l’appui matériel de la république de VENISE,et sous la direction militaire et spirituelle du Pape .
    Les Croisés furent transportés sur des galères actionnés par le vent et les esclaves.
    Ceux-ci avaient été achetés en Afrique du Nord. C’étaient des noirs.

  2. L’esclavage existe encore en Arabie Saoudite ainsi que dans d’autres pays du golfe.
    Et puis d’ ailleurs les arabes eux-mêmes ont des origines sub-sahariennes.
    Si les mulâtres ressemblent à des arabes, c’est bien parce que les arabes à la base sont des mulâtres.
    Les études génétiques l’ont clairement démontrées.

  3. Alors, en langue Wolof , nous sommes des « bougnoules » ( blancs)! Jense qu’une grande majorité de nos veaux suicidaires , qui se dirigent passivement vers l’abattage Halal, ne méritent pas une autre appelation!

  4. Désolé , mais connaissant pas mal le wolof ayant adopté un enfant sénégalais handicapé, je peux préciser que « bougnoule » ne signifie pas blanc mais  » très noir  »
    Au Sénégal, on parle ainsi de « toubab-bougnoule » pour désigner un blanc qui est l’ami des sénégalais ….ce qui est mon cas étant plus connu à Dakar que dans ma propre commune en France..
    Précisions : je suis polyglotte français-anglais- arabe- tchèque- wolof
    C’est un don surnaturel.que j’entretiens. C’est pas trop difficile,c’est une question de motivation…mais j’ai déjà rencontré dans les pays de l’Est de l’Europe des personnes encore plus douées…

    • il nous faudrait d’autres témoignages pour départager les deux versions

      • Chère Christine,
        Huineng a parfaitement raison « bougnoul » est du wolof, langue la plus parlée au Sénégal et veut littéralement dire « qui est noir ». Comment le sens du terme a-t-il glissé pour désigner les maghrébins, je ne sais pas, certains disent que c’est en Algérie que ce glissement se serait opéré en entendant les « tirailleurs sénégalais »prononcer ce terme, sans bien sûr le comprendre.
        Je regrette que cet article soit passé sans vérification, cela nuit à la crédibilité de l’ensemble!

      • Rectification faite, ne nous focalisons pas sur le terme bougnoul, le fond de l’article est sur la traite orientale si justement dénoncée par Tidiane N’diaye et passée honteusement sous silence médiatique de la bien-pensance islamophile.
        J’ajouterai pour terminer que le livre de Tidiane est un excellent complément à l’ouvrage de base en la matière: celui de notre ami en pensée l’historien Pétré- Grenouilleaux qui hélas a payé fort cher le prix de son courage et de son objectivité tandis que ses « collègues » eux se vautraient dans la fange du déshonneur en bons staliniens qu’ils sont!

    • Quoi !!, encore une fois, « on » doute de l’étendue fabuleuse de mes connaissances sémantiques et linguistiques !!
      Petit cours de Wolof pour ceux qui doutent des dits
      de Maitre Huineng
      En Wolof le terme ñuul signifie = noir ex : Wu ñuul = qui est noir
      En Wolof le terme bu signifie = très ex : Bu bar = beaucoup
      Le terme Buñuul est passé sous la forme phonétique « bougnoule » dans la langue française fin XIXème siécle..
      Originellement en Afrique septentrionale, la locution Buñuul ( = très noir) était d’un usage répandu pour désigner péjorativement les esclaves noirs par les autochtones noirs d’une autre ethnie ( cf.distinction entre les Noirs Njang = musulmans et les Noirs Niak = noirs non musulmans, vendus comme esclaves aux Blancs ..
      * Njang en Wolof signifie celui qui apprend..
      FIN DE LA LECON

      • Mon maître Descartes m’a appris à douter de tout. POur le moment il y a l’ami de Jack qui a donné sa traduction et toi. J’attends donc confirmation de l’un ou de l’autre. si tu cessais de t’auto-glorifier à chaque fois que tu commentes les autres commentateurs auraient plus envie de partager tes connaissances avec toi. La grenouille qui voulait… c’est dissusif. Remarque toute amicale malgré nos lourds différends.

      • Absolument exact, Par ailleurs le terme utilisé au Sénégal pour désigner les blancs est « toubab » (ça ne vous rappelle rien? toubib…) le terme « toubab nassara étant utilisé pour désigner plus généralement les chrétiens, nassara étant une déformation de nazaréen.
        Je maintiens, persiste et signe, en aucun cas bougnoule n’a jamais et ne veut dire blanc cet article est donc pour le moins stupide et j’en suis désolé pour RR

      • Huineng, tu es bien un XXX pour être aussi imbu de ta personne et de tes connaissances. Excuse-moi « Maître » (de mes deux) mais c’est tout à fait le syndrome du nègre revanchard qui t’anime. Retournes chez toi et fais pas chier !

  5. pour aller plus loin l’adn ancestral le permet aussi, et l’histoire qui en découle est surprenante.
    Le site Eupedia Haplogroup est à prendre avec des pincettes car avec des arrières pensées, que l’on pourrait qualifier de révisionniste. Mais bon le travail fait sur les clades et sous-clades humaines est une connaissance qui fera l’avenir, l’avenir de vivre sur la même planète et non pas le racisme génocidaire (émigration immigration) qui est imposé en prétextant qu’il n’y a pas de race. La C.P.I. définit l’humanité comme une mosaïque fragile, et réprime le génocide depuis le 1/7/02…

  6. Merci monsieur N’daye qui nous éclaire sur cette page d’histoire de l’Afrique et nous fait savoir que l’islam est la pire monstruosité jamais engendrée par un « esprit » pseudo humain. Madame la guyanaise (qui ferme sa gueule en ce moment) est-elle au courant ?

  7. merci pour ce texte clair qui me permettra de contrer les pseudos vérités sur le massacre et déportation des africains qui ne serait que du fait occidental.bon w.e. à tous.

  8. Bonjour,
    Je conseille à tous de lire « le génocide voilé »: c’est un livre magnifique tant sur le fond que sur la forme.
    Je suis allé à une conférence de Tidiane N’Dyaye : c’est un homme extraordinaire !

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