Quelques bonnes raisons de vouloir une France sans islam

Nous sommes nombreux, en France, des dizaines de millions, à souffrir d’un islam qui, depuis une quarantaine d’années, modifie notre pays en l’abîmant considérablement et durablement.

Comme les Français ne sont ni racistes ni intolérants, ils ont du mal à exprimer publiquement cette souffrance pourtant bien réelle et douloureusement subie. D’autant plus qu’une autocensure leur cloue le bec. ‘’Si j’exprime ce que je pense et ce que je ressens, va-t-on me traiter de raciste et me traîner au tribunal ? Va-t-on me traiter d’islamophobe, comme si c’était une tare ? Pourquoi serait-ce  répréhensible de ne pas apprécier l’islam et de critiquer cette idéologie ? Va-t-on me classer à l’extrême-droite, alors que, en conscience, je ne suis ni de droite ni extrémiste ?’’

Les Français à qui les sondeurs d’opinions ont posé la question « Êtes-vous favorables à la fin de l’immigration en France ? » ont répondu oui à 80%.

Les sondeurs n’ont pas le droit de poser la question : « Êtes-vous favorables à la fin de l’immigration musulmane en France ? » ou « Souhaiteriez-vous une France sans islam ? » ou « La France doit-elle, selon vous, interdire l’islam en France ? » car la réponse aurait été au même niveau : à 80 % oui.  L’immigration africaine est majoritairement porteuse d’islam, elle n’est donc pas souhaitée par les Français qui souhaitent une France sans islam. Le résultat du sondage est à comprendre ainsi, tant que les Français se verront obligés de s’auto-censurer à cause des abus des associations, organismes et ligues toujours prêtes à porter plainte  pour discrimination envers l’islam-religion.

Or, normalement, tout citoyen français doit pouvoir exprimer dans son pays, dans sa société réputée libre et démocratique, ce qui le contraint, le bouscule, lui rend la vie désagréable ou même impossible. Sa vie et celle de ses concitoyens et compatriotes telle qu’il la connaît et qu’il l’observe, doit être protégée, alors qu’elle est malmenée par la guerre que nous mène l’islam en France depuis une quarantaine d’années.

Nous faisons le choix ici, par esprit républicain, de nous exprimer dans les limites autorisées par la loi du 1^er juillet 1972 et celle du 27 mai 2008 qui liste les 25 discriminations répréhensibles, interdites. Rappelons ces discriminations que nous nous refusons à commettre envers qui que ce soit en fonction de  l’âge ; du sexe ; de l’origine ;  de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une prétendue race ; de la grossesse; de l’état de santé ; du  handicap ; des caractéristiques génétiques ; de l’orientation sexuelle ; de l’identité de genre ; des opinions politiques ; des activités syndicales ; des opinions philosophiques ;  des croyances ou de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une religion déterminée ; de la situation de famille ; de l’apparence physique ; du nom ; des mœurs ; du lieu de résidence ; de la perte d’autonomie ; d’une particulière vulnérabilité résultant de la situation économique ; de la capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français ; de la domiciliation bancaire.

Depuis toujours, plus précisément depuis 732, soit un siècle exactement après la mort de Mahomet présenté par le coran, cet écrit fondateur de l’islam, comme le ‘’prophète’’ et fondateur de cette organisation arabe et de peuples arabisés et islamisés, parvenue alors par acte de guerre offensive jusqu’à Poitiers, nos rois, empereurs, présidents de la République et tous responsables politiques du pays qui est connu sous le nom de ‘’France’’, se sont opposés aux armées de l’islam. Repassons ces 13 siècles de l’Histoire de France dans notre mémoire et nous apprécions la façon dont tous nos dirigeants politiques jusqu’à De Gaulle inclus se sont gardés de se rendre à l’islam et nous ont protégés contre cet ennemi offensif appelé ‘’islam’’. La raison en est simple ; il ne s’agit pas d’une raison théologique, ni philosophique, ni morale ni autre que l’évidence : les armées de l’islam remplissent leur devoir militaire de conquête depuis 14 siècles. Leurs textes fondateurs sont clairs et ils les appliquent méthodiquement. Tous les pays sont à islamiser et à conquérir.

L’islam est ainsi : 1. Une organisation militaire vouée à la guerre offensive ayant comme but la paix dans le monde lorsque tous les peuples et pays auront été conquis et islamisés ou alors lorsqu’ils auront capitulé, leurs identités et capacités de résistance  ayant été détruites. Ces destructions ont lieu souvent à cause de la lâcheté, de la traîtrise et de la complicité des responsables politiques et des instances judiciaires de ces pays ainsi que d’O.N.G. et d’instances extérieures à ces pays, comme l’Union Européenne. Le manuel du guerrier de cette armée s’appelle le coran, il est dispensé de toute adaptation, modification, mise à jour, car il est perçu comme d’origine divine supérieure à toute autre loi et tout autre règlement. Les guerriers de l’islam portent également le nom de musulmans. 2. Une idéologie sociétale et politique, universelle et intemporelle, axée sur un modèle théocratique. Les libertés individuelles sont niées, la liberté de pensée, d’expression, de choix de lois adaptées aux diverses sociétés, sont remplacées par la soumission aux textes coraniques; l’égalité hommes-femmes est niée ; la supériorité du musulman sur tout autre humain est acquise par l’appartenance à l’Oumma (la communauté des ‘’croyants’’ en Allah). Ce qui fait de l’islam le summum de la discrimination et donc une idéologie à combattre et à refuser dans nos sociétés opposées à la discrimination. Il n’est donc pas question de classer dans « l’extrême-droite » les opposants au régime islamique discriminatoire.  3) Par extension, et lorsque cela les arrange, les musulmans peuvent se déclarer représentants de l’islam. Or il existe une multitude de sortes de musulmans ou de ‘’chapelles’’, sur un éventail allant de la simple appartenance au ‘’monde musulman’’ (qui peut inclure, pour faire nombre, des personnes de confession juive ou chrétienne ou des athées et des agnostiques, mais vivant dans un pays placé sous la sharia ou loi islamique, et comptabilisés comme ‘’musulmans’’) jusqu’aux fondamentalistes ou radicaux, ayatollahs et talibans, tous étant indistinctement comptabilisés comme ‘’musulmans’’.  Surtout lorsqu’il s’agit, dans un pays à conquérir, de faire condamner en justice, en faisant se retourner contre eux et contre leurs intérêts les propres lois de ces pays, des résistants à l’avancée de l’islam dans leur pays : la condamnation judiciaire des opposants à l’avancée de l’islam faisant partie des actes de guerre et des victoires créditées à l’armée à l’offensive qu’est l’islam. 4) L’islam est aussi un ensemble de pratiques cultuelles à réaliser soit seul soit en assemblées, en se référant toujours au manuel du guerrier, au coran, pour ne jamais perdre de vue la vraie nature de l’islam (une organisation de conquête) et son but : la conquête du monde par obéissance au Dieu créateur de l’univers et soumission aux dirigeants de l’organisation conquérante. Ce sont ces quelques pratiques cultuelles et cette croyance en un Dieu créateur de l’univers, un dieu qui a opportunément choisi les Arabes et les musulmans pour diriger à terme tous les pays, qui peuvent être alléguées pour que l’islam soit déclarée ‘’religion déterminée’’. Ce pourcentage religieux dans la composante de l’islam est minime. Il ne suffit pas, loin de là, à faire de l’islam une religion. La fameuse recette du pâté d’alouette (une alouette mélangée à l’équivalent d’un cheval d’autre viande suffit aux fraudeurs à étiqueter leur terrine ‘’pâté d’alouette’’ !) s’applique à l’islam qui se vend bien ainsi, ou plutôt qui s’impose par la force.

Le volet culte de l’islam, qui permet à l’ensemble de l’organisation de revendiquer l’appellation de ‘’religion’’ n’est pas mis en question en France, il ne pose pas problème. Personne n’empêche personne de croire en Allah ni de lui célébrer un culte, du moment que les lois françaises sont respectées. Par contre, cette croyance et ce culte ne doivent en aucune façon servir de camouflage aux activités principales de l’armée de conquête et lui servir de laissez-passer ni occasionnel ni permanent.

C’est précisément cette utilisation abusive et frauduleuse du camouflage religieux, que portent ostensiblement des musulmans qui ne se veulent que conquérants, c’est ce camouflage que nous dévoilons, que nous dénonçons. Nous l’indiquons aux aveugles volontaires et aux complices de l’islam en conquête, à des gens malhonnêtes envers la France, dont certains nous gouvernent et d’autres qui sont appelés parfois à nous juger et vont même parfois jusqu’à nous condamner. Nous ne voulons pas être condamnés pour faute (que nous ne commettons pas) mais au contraire encouragés et aidés pour patriotisme (que nous pratiquons).

Nous ne sommes donc pas en opposition contre « une religion déterminée » mais contre une armée conquérante.

Non pas contre une armée défensive, dont le devoir est de protéger son désert d’origine.

Mais contre une armée à l’offensive, qui a quitté son désert d’origine, l’Arabie, et qui est à l’offensive partout où la défense et la résistance sont jugées par elle faibles ou, comme actuellement en France, carrément interdites !

L’interdiction donnée aux Français de combattre l’armée islamique ne date même pas de la loi de 1972 (le ministre René Pleven nourrissait de profondes interrogations sur le bienfondé de la loi qui a fini par être votée et par porter son nom) mais de 2008 lorsque ce motif de discrimination, mentionnant la religion, a été ajouté aux 24 autres.

Nous sommes donc, depuis très peu de temps en France, dans une situation absolument inédite, inconnue de nos ancêtres, à l’opposé de leurs convictions et de leurs choix, dans une situation de capitulation, de retraite dans le chaos et le désordre, de soumission à l’envahisseur mahométan, qui a appliqué avec succès sa nouvelle stratégie de guerre de conquête, la stratégie frériste.

Il n’est donc toujours pas question de ‘’religion’’ dans la stratégie frériste, mais d’armée en conquête.

Pourquoi alors nous condamne-t-on pour discrimination envers la ‘’religion islamique’’, alors que nous distinguons entre le culte (toléré) et l’agression de l’armée (dont nous avons le devoir de protéger notre pays) ?

La stratégie frériste d’aujourd’hui est un acte de guerre et non une pratique religieuse.

Cette stratégie, appliquée par les mêmes guerriers de l’islam au fil des siècles, vise à aboutir à la même conquête du pays convoité. Par conséquent, la résistance des populations visées doit être aussi forte qu’auparavant.

Qui aurait l’audace de nous empêcher de nous défendre et de défendre notre pays ?

Qui commettrait l’erreur, à la fois historique et d’appréciation actuelle, de  confondre armée et religion ?

Et pourtant, que d’erreurs judiciaires commises depuis 2008 par une interprétation erronée de ce motif de discrimination judicieusement employé par les conquérants !

De partout dans le monde, de l’Algérie, de Tunisie, du Maroc, de partout les amoureux de la France et de notre civilisation lancent leurs appels aux Français : « ouvrez les yeux ! Regardez comment l’islam vous pourrit la vie et vous change votre identité, votre civilisation, votre pays ! Battez-vous contre l’islam en conquête ! Résistez ! Ne subissez pas ce que subirent en leur temps les Berbères, les Ibères, les Syriens, les Byzantins, les Coptes, les Perses, les peuples arabisés et islamisés ! Vous êtes fous de croire que l’islam n’est qu’une religion innocente et bénéfique ! Foutez-la dehors ! »

Que les musulmans prient Allah et pratiquent leur religion ! Mais qu’ils cessent la conquête de la France !

Personne ici n’empêche les croyants en Allah de pratiquer leur culte, de croire qu’Allah est le créateur de l’univers, que la Terre est plate, que Mahomet a eu des ‘’révélations’’ et a écrit le coran (même si on sait maintenant que c’est totalement faux : et il s’en faut de plus d’un siècle d’écart !), personne ne s’oppose à ce volet « religion » de l’islam. Que les musulmans se purifient à l’eau et prient 5 fois par jour, aillent à La Mecque en pèlerinage et fassent le ramadan : si c’est là leur religion, grand bien leur fasse !

Mais qu’ils tentent, sous couvert de religion, de conquérir notre pays par la ruse, de modifier nos choix de vie, de contourner nos lois, de tester notre patience et notre capacité à refuser l’islamisation de notre société, qu’ils imposent leurs marques de conquêtes territoriales et structurelles déjà gagnées et donc de celles à préparer pour la suite, qu’ils  tentent de modifier notre paysage politique en s’y imposant, qu’ils modifient de façon sensible par leur démographie des quartiers entiers, qu’ils refusent leur assimilation, qu’ils désobéissent aux lois françaises, qu’ils créent des places fortes indépendantes, qu’ils diffusent les messages d’islamisation de la France, qu’ils mènent une guerre offensive dans la pure tradition des 14 siècles de guerre musulmane sous couvert de religion : non ! Nous nous y opposons.

De façon républicaine, respectueuse de nos lois, en nous exprimant oralement ou par écrit. C’est notre devoir, c’est de simple justice naturelle.

Le motif de discrimination précisé ainsi dans la loi de 2008 : « les croyances ou l’appartenance ou la non-appartenance, vraie ou supposée, à une religion déterminée » ne concerne donc pas notre action. Nous ne nous opposons en aucun cas à une croyance ni à une religion, mais à une armée dont les anciens postes de fantassins et d’égorgeurs ont été provisoirement et accessoirement, juste le temps de la réussite de la nouvelle stratégie de circonstance dans un contexte donné, remplacés par des postes de guerriers de l’islam utilisant des prétextes religieux pour avancer dans la conquête.

Les conquérants musulmans se gardent bien de faire la moindre rupture ni avec leur passé criminel ni avec leurs livres fondateurs appelant à la haine, à la violence et à la guerre. Ils n’ont pas modifié leurs intentions, ils n’ont pas signé un pacte de non-agression, ils diffusent et conservent à portée de mains leur même manuel du guerrier pour s’y référer jour et nuit, ils ont juste augmenté leur investissement dans le camouflage religieux. Ils ont forcé sur le volet religieux qui permet de traverser plus facilement les lignes ennemies. Voilà la seule et unique ‘’raison’’ extérieure qui permet à nos dirigeants et à nos juges de  décider que l’islam est « une religion déterminée » que nous devons désormais accueillir, aider et à qui nous devons faire fête. Quelle erreur a minima, et quelle lourde faute, quel crime de leur part en réalité ! Quelle responsabilité face à l’Histoire qui n’hésitera pas à les désigner comme traîtres aux intérêts de la France et des Français !

Quant à nous, Français, citoyens républicains, patriotes, respectueux des lois de notre pays, tolérants envers toutes les religions (y compris envers ce culte exotique à Allah), refusant la toute récente rupture historique opérée par nos dirigeants et nos juges s’opposant désormais au devoir de notre pays de se protéger contre l’islam qui, lui n’a fait que modifier sa stratégie de conquête en investissant dans un efficace camouflage de son armée en religion, nous restons sur nos gardes. L’islam n’a pas sa place en France et la France n’est pas à vendre à l’islam.

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