L’islam prison de l’esprit (1) : les règles à respecter pour l’attribution des prénoms

Chapitre 1 En France, il y a trois règles à respecter pour l’attribution du prénom.
Ne pas choisir un prénom contraire à l’intérêt de l’enfant
Respecter le droit d’une autre personne à voir protéger son nom de famille
Ne pas donner le nom de famille de l’autre parent, si l’enfant porte le nom d’un seul de ses parents

Avant 1993, la législation était stricte sur la question de l’attribution du prénom. La loi 93-22 du 8 Janvier 1993 modifie le code civil. Elle permet de choisir des noms de baptême originaux et de donner n’importe quel prénom dans la mesure où il ne porte préjudice ni aux tiers, ni à l’enfant. (L’officier D’État Civil est tenu d’inscrire le prénom choisi par les parents. Charge à lui d’alerter ensuite le procureur de la République, si ce choix lui semble contraire à l’intérêt de l’enfant.) 
Le prénom est choisi par le père et la mère.

Chez les musulmans, le choix du prénom est réservé au père, parce que c’est son  nom que l’enfant portera. L’imam Mohamed Nadkir précise que, s’il est mieux que la mère soit consultée, elle doit comprendre que c’est une obligation qui revient au père.
« En principe », tout prénom est permis , MAIS, il existe deux types de prénoms qu’un musulman ne doit pas donner à son enfant :

-Les prénoms interdits
Sont interdits : tout nom réservé à allah, les prénoms qui ne conviennent qu’aux prophètes,  ceux qui sont composés de sorte à faire de son porteur, l’esclave d’un autre qu’Allah, les noms des idoles adorées à la place d’Allah, et le choix des noms sataniques ….
– Les prénoms réprouvés
Sont réprouvés les noms qui inspirent la répugnance, ceux qui violent l’enseignement du prophète relatif à l’amélioration des noms, les noms qui véhiculent une suggestion charnelle, les noms de gens licencieux, comme les acteurs, les musiciens, les chanteurs…
En particulier, le fait de donner des prénoms de femmes « licencieuses » est considéré comme une absence totale de foi…
Sont également réprouvés, les noms dont le sens indique le péché et la désobéissance, les noms des pharaons et des tyrans…
Mais et cela nous intéresse plus particulièrement, il est réprouve de porter les noms exclusivement réservés aux infidèles. La fatwa 248899 du 16 Avril 2014 précise que : « il n’est pas interdit de donner à son  enfant un prénom non musulman, à condition que ce prénom ne soit pas spécifique aux mecreants (ou caractéristique des gens pervers et pêcheurs). »
Car en islam, « emprunter le nom d’un infidèle de L’Europe ou de L’Amérique, et propre aux mécréants, est la plus grande source de péché et l’une des causes de l’abandon de l’individu par allah  .Si cette adoption des noms des mécréants découle de la passion ou de la stupidité, c’est alors un acte de désobéissance, un péché. Si elle résulte de la conviction qu’ils sont meilleurs que les noms musulmans, l’intéressé est alors exposé à un énorme danger qui va ébranler sa foi. Dans les deux cas, ceux qui auront fait ce choix doivent se repentir, et le changement de nom est une condition de la validité du repentir. »

On voit à quel point l’islam est intrusif et sévère dans le choix du prénom et fait peu confiance au bon sens de ses fidèles et affirme sa supériorité. La fatwa 469654 du 17 Janvier 2023 (très récente donc) précise que le prénom ne doit pas désigner ce qui est blâmable, comme la guerre ou la tristesse, qu’il doit avoir un sens et ne doit pas faire l’éloge de soi.

Alors, un adorateur de Mahomet a t-il vraiment le choix du prénom de sa progéniture ? Il est permis d’en douter !
Afin d’être sûr de  ne pas commettre un péché, il a tout intérêt à choisir un prénom musulman. Et même dans ce cas, il est préférable  de vérifier que ce prénom est toujours  autorisé.

Pour nous Occidentaux et Français, ce qui est grave, c’est qu’il est interdit (comme nous l’avons vu) pour un musulman de porter des prénoms de mécréants , d’infidèles, ce que nous sommes à leurs yeux.
Comment, alors, les musulmans vivant sur notre territoire, pourraient-ils s’intégrer, s’assimiler, se fondre dans la population française, devenir des citoyens français à part entière ?

Comme le port du voile, le choix du prénom musulman met en avant la religion de celui qui le porte, avec la supposée supériorité que l’islam prétend posséder.

Choisir un prénom musulman, c’est aussi faire de l’auto-segregation, qui permettra ensuite de se plaindre de la « ségrégation subie »

E Zemmour a affirmé que selon l’INSEE, l’attribution du prénom Mohamed est passée de 1% en 1960 à 22 % en 2022  en France . Même si d’aucuns nient ces chiffres, on  ne peut nier la progression des prénoms musulmans dans notre pays et dans le monde. ( Mohamed est le 4 eme prénom le plus donné en Europe selon C News et le plus donné dans le monde selon de nombreux médias )
D’ici quelques décennies, Vincent, François , Paul et bien d’autres pourraient être interdits.

Lagardère
Sources: Islam QA .info, Islam web, al islam.org, kebchi.fr

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17 Comments

  1. l enfant prend la religion du pere, il en est aussi le propriétaire juridique, la mére n a aucun droit sur lui etc d ou la perte de leurs enfants lorsqu il y a mariage mixte, et mésentente dans le couple, elles ne les revoient jamais Les mosquées donnent des listes de prénoms musulmans autorisés, il est préférable de donner un prénom arabe car le dieu de la lune ne parle qu arabe ( logique c était le dieu spécifique de la tribu de mahomet)et il le prononcera pour les appeler dans son paradis, si prénom langue étrangère = jamais appelé Un converti doit prendre un nouveau prénom donc changement d identité Une secte !

  2. Modification de la loi en 1993, donc sous Mitterrand, le socialiste.
    On sait très bien pourquoi ils ont fait ça, c’est pour que les musulmans qu’ils vont nationaliser puissent garder leurs prénoms ségrégationnistes, au nom du « droit à la différence », droit inventé par la gauchiasserie, pour introduire un cheval de Troie dans notre Nation française, chrétienne et athée.

  3. (suite) Le viol était une arme de guerre, comme pratique du djihad, comme moyen de conquête des pays traversés. C’est ainsi que l’islam, en quelques dizaines d’années, s’étendit sur le passage de l’armée arabo-islamique. Ce qui se passait aux 8 et 9 èmes s. se passe aujourd’hui en France et en Europe par le métissage organisé.

    • Merci Jacques pour ces précisions très utiles à la compréhension de ce qu’est réellement l’islam.

  4. Cet attribution des prénoms par les hommes n’est pas dû uniquement au machisme (qui existe par ailleurs en islam et dans les sociétés arabes) mais participait à l’extension de l’islam dès le début des conquêtes arabes (prise de Jérusalem en 638). Les hommes étaient guerriers et « se servaient » en femmes (y compris en fillettes : d’où l’idée des rédacteurs du coran d’en attribuer une de 6 ans à leur fondateur) au fur et à mesure de leurs raids et avancées militaires depuis Médine jusqu’à Poitiers en un siècle (632- 732) ! Arabes comme Turcs plus tard étaient exogames : peu importe l’origine ethnique et la religion des femmes qu’ils violaient et engrossaient, il fallait que les enfants nés de ces unions forcées forment les rangs de l’Oumma et soiejt donc musulmans comme leurs pères, les guerriers de l’islam. Les Arabes musulmans pratiquaient donc leur religion en faisant un maximum d’enfants avec les femmes de tous les pays traversés et conquis.

  5. Une question qui me turlupine…
    Est il vrai que le premier né mâle d’un couple musul, doit obligatoirement s’appeler Mohamed, ou est ce seulement une tradition qu’il n’est nullement obligatoire de suivre ?…

    • Il n’y a aucune obligation coranique ou islamique à appeler Mohammed l’aîné des garçons, mais le faire est une marque d’appartenance à l’islam, une sorte de superstition devant porter chance au fils aîné, et une façon de le consacrer à vie à l’islam. Appeler un enfant  »Mohammed » est la façon détournée de ne pas lui donner le nom présumé (et faux) du  »prophète » (Muhammad) tout en donnant à l’enfant les consonnes de ce nom (MMD : Mohammed, Mehmet, Ahmet, etc.).

  6. Une preuve de plus que le vivre ensemble n’existe pas et que ça ne marchera jamais et c’est une bonne raison de les foutre dehors.

  7. Merci, ami Lgardère, pour ce travail précis, éclairant, d’actualité. Lorsque les politiques, la Justice, les associations dédiées au  »vivre ensemble », nous condamnent pour  »racisme » ou  »islamophobie » ils refusent de reconnaître que c’est l’islam, de lui-même, qui s’oppose à nos lois, à nos mœurs, à nos façons de vivre en France, et qui se place en dehors tout en voulant nous digérer. Ces musulmans qui tiennent à ne pas s’intégrer sont en djihad. Nous avons le devoir de ne pas leur faciliter la conquête de la France, de nous opposer à eux et à leur armée.

  8. Quand on est parent on donne un prénom à son enfant qui défend ses intérêts et qui ne le dénigre autrement dit qui le met en valeur et il peut recevoir le nom de famille du père mais dans des cas exceptionnels tel que le divorce l’enfant peut changer son nom de famille pour porter celui de la mère mais Chez les MUZZ ce n’est pas du tout le cas car c’est le père seul qui prend la décision de donner un prénom à l’enfant mais de préférence Islamique sans concertation avec la mère car pour eux dans leur logique islamique les prénoms des Koufars ne sont pas admis. Voilà deux mentalités différentes au sujet des enfants !

  9. On voit que des musulmans affichent des prénoms français. Mais est-ce qu’ils utilisent le droit que nous avons d’avoir un « nom d’usage » qui s’ajoute au nom qui est sur les papiers d’identité ? Par exemple Alexandre Benalla porte un « prénom d’usage » qui n’est pas celui de sa carte d’identité, je crois. De même Camélia Jordana, on sait que Jordana n’est pas sont seul nom, mais est-ce que Camélia est son vrai prénom ?

  10. Merci de porter notre attention sur ces sites à gaver les oies par des « fatwas », duement numérotées (on atteint l’demi-million !) … (—> comme disent les goscistes, genre ahuris, … : « Il est libre, eeu Max … ! »).
    J’avais lu, aussi, qu’en démarchant pour péleriner à la Mecque (obligation muzz dite du « Hadj »), arborer un prénom « non-muzz » sur sa C.I. compliquait la paperasse.

  11. mohamed n’est pas un prénom, cela reprend les termes MHMD le loué de la bible – on ne sait pas quel était le prénom du charmant euh (marié à une fille de 9 ans), faisant écarteler une vieille dame de 90 ans, faisant tuer une opposante qui allaitait son enfant, légiférant le viol dans une sourate, ayant des révélations sur mesure (pour pouvoir épouser la femme de son fils adoptif), se réversant une bonne partie du butin pillé etc etc

    • Bonjour,

      Il faut toujours se souvenir que le rôle des imams, selon un texte des tout premiers débuts de l’Islam, est justement de répartir ce butin.

      L’imam, lui-même, s’en réservant 20%.

      Belle « religion » en vérité !

      • A l origine c était une Ligion, a force de la triturer ils en ont fait une Re-ligion (étrangère)

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