La drépanocytose progresse… c’est la preuve du Grand Remplacement !

La carte 2016 aura probablement été le dernier témoignage de ce que certains qualifient de carte du « grand remplacement »

Merci à Jean-Paul Saint-Marc pour l’illustration ci-dessous, qui fournit des informations intéressantes…

On se souvient que la seconde Cruella (après Der Leyen), celle qui a interdit de soigner le Covid, celle qui a rendu obligatoire 11 vaxxins pour les bébés, celle qui a interdit de rembourser l’homéopathie… avait décidé de tester dorénavant tous les nouveaux-nés en France, histoire de ne pas permettre de repérer l’augmentation de la natalité d’origine étrangère et en tout cas de ne plus publier le genre de carte ci-dessus, bien trop explicite pour le commun des mortels.

https://resistancerepublicaine.com/2018/09/06/buzyn-macron-veulent-depister-la-drepanocytose-sur-tous-les-nouveau-nes-pour-ne-pas-stigmatiser-les-aliens/

Mais, avec ou sans test généralisé, le simple résultat des tests suffit à mettre des chiffres sur notre malheur. Non pas que, comme le dit le menteur Braun, la maladie progresse en soi, mais parce que, tout bonnement, le nombre d’habitants susceptibles d’être porteurs de cette maladie a cru… à cause de l’immigration, c’est simple et clair non ?

Drépanocytose : une maladie rare qui progresse en France

DÉPÊCHE — Parfois décrite comme « la moins rare des maladies rares », la drépanocytose, à laquelle une journée mondiale est dédiée lundi, est devenue un enjeu croissant de santé publique en France.

La drépanocytose est une maladie génétique héréditaire du sang. Elle affecte l’hémoglobine, principale protéine des globules rouges.

C’est l’une des maladies génétiques les plus répandues dans le monde. « Apparue en Afrique et en Inde, elle est depuis devenue très présente en Amérique, tout particulièrement aux Antilles et au Brésil, ainsi qu’en Europe de l’Ouest du fait des mouvements de populations », selon une présentation de l’Inserm.

Ainsi, en France, pays d’Europe où elle est la plus fréquente, elle toucherait entre 19.800 et 32.400 personnes, selon une étude à partir de données de l’Assurance maladie.

Plus de 400 nouveaux-nés sont diagnostiqués chaque année, un nombre qui augmente même s’il reste plus faible que dans les principaux foyers de la maladie. Entre 2010 et 2020, ce chiffre a progressé de plus de moitié en France.

Répercussions graves

Anémie chronique, crises douloureuses aiguës, risque accru d’infections sont dans les symptômes les plus courants de la drépanocytose.

Des douleurs « comme si on vous poignardait à l’infini », des hospitalisations répétées sont le lot de certains malades, a témoigné jeudi lors d’une conférence de presse Lætitia Depoi, cofondatrice d’une association de patients (Drepacare), dépistée à la naissance en Martinique et arrivée en métropole vers ses 10 ans pour y être soignée.

Les répercussions, avec des atteintes aux organes vitaux, peuvent être graves, voire fatales. C’est notamment le cas pour les jeunes enfants, davantage sujets aux accidents vasculaires cérébraux par exemple.

Si des traitements ont permis de l’augmenter, l’espérance de vie reste bien moindre que celle de la population générale. En moyenne, elle avoisine 40 ans désormais. Elle était inférieure à 20 ans avant les années 1980.

Socialement, « la maladie, méconnue, alimente parfois de fausses informations, de la stigmatisation » et, par sa lourdeur, « impacte la vie scolaire, professionnelle, familiale », selon Meryem Ait Zerbane, autre cofondatrice de Drepacare.

Peu de traitements

Les traitements restent limités.

Dans les outils actuels, des transfusions sanguines doivent se faire régulièrement, mais peuvent avoir des effets secondaires importants.

Seul espoir de guérison à l’heure actuelle : la greffe de moelle osseuse. Lourde et coûteuse, elle concerne une minorité de malades, atteints des formes les plus sévères.

Pour tenter de traiter les symptômes, les médecins recourent notamment aux antalgiques ou à des antibiotiques.

« Après un retard par rapport à d’autres maladies orphelines, la recherche s’est intensifiée ces dernières années » pour trouver des traitements, a déclaré jeudi Ousmane Alfa Cissé, directeur médical drépanocytose chez Pfizer France, lors d’une conférence de presse.

Le groupe pharmaceutique américain mise sur des molécules issues du rachat, en 2022, d’une société de biotechnologie spécialisée.

Parallèlement, la thérapie génique est au centre de plusieurs essais cliniques ces dernières années en France, comme dans d’autres pays, États-Unis notamment.

Le principe est d’insérer un gène normal dans les cellules ayant un gène défaillant, comme un cheval de Troie, pour qu’il fasse le travail que le gène muté ne fait pas : fabriquer des globules rouges sains.

Cette thérapie paraît « une alternative prometteuse » à la greffe de moelle, ont ainsi estimé des chercheurs de l’AP-HP, de l’université de Paris, de l’Inserm, au sein de l’Institut Imagine, de l’université Paris-Est Créteil et du CEA au vu de résultats préliminaires d’une étude clinique, publiés début 2022.

Dépistage

Le dépistage à la naissance est un outil crucial pour prendre en charge au mieux la maladie et limiter les complications.

Actuellement, en France, ce dépistage, proposé pour tous les nouveaux-nés outremer, ne concerne en métropole que ceux ayant des parents originaires de régions du monde plus « à risque » (notamment Afrique, Moyen-Orient, Océan Indien et Antilles).

D’une région à l’autre, ce dépistage ciblé est hétérogène, « alors qu’aucune région n’est indemne de cas », selon la Haute autorité de santé. Sans compter « un risque d’erreur dans le ciblage » par les soignants.

Une généralisation du dépistage de la drépanocytose chez tous les nouveaux-nés -au côté de six autres maladies supplémentaires- a donc été décidée.

Mais, annoncé à partir de janvier 2023, le dépistage élargi ne s’applique pas encore sur le terrain, déplorent certaines associations, en attente d’un texte ministériel.

https://www.francesoir.fr/societe-sante/drepanocytose-une-maladie-rare-qui-progresse-en-france

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12 Comments

  1. Et tous les frais liés à ces maladies sont à la charge des Français pendant que nos médicaments sont de moins en moins remboursés, ainsi que certains soins…

  2. la Baie des Drépanocytosés c est du coté du cap sizun, non ? vers la pointe du Raz le bol de toutes ces merdes ………….

  3. On pourrait tourner ces statistiques à notre avantage si on éduquait nos enfants à ne PAS se métisser. Ces maladies feraient une sélection naturelle simple. Mais quand je vois le nombre de gourdasses et maintenant de cons se mettre avec des Noix et des Arbres, que voulez vous ?

  4. La décision de généraliser ces tests à tous les nouveaux nés montre bien combien la submersion démograppique est certaine et qu’il leur faut encore essayer de la dissimuler aux français!!.. L’invasion ainsi encouragée et financée par les CONtribuables s’amplifiera encore jusqu’en 2027 !!…Y’a bon vozimpôts! Les fonctionnaires de l’INSEE n’ont cependant pas pu cacher que sur 3 générations les migrants et leurs descendants représentent déjà 30% de la population « française »…

  5. Il n’y a pas que la drépanocytose. L’Afrique est aussi le berceau d’un autre « bébé » pas trop mignon, le SIDA !
    « La propagation du VIH à travers le monde s’est d’abord faite en Afrique, berceau du VIH, par le biais du développement des transports routiers et aériens »

  6. « On se souvient que la seconde Cruella (après Der Leyen), celle qui a interdit de soigner le Covid, celle qui a rendu obligatoire 11 vaxxins pour les bébés, celle qui a interdit de rembourser l’homéopathie… »

    Mais de quel droit ??? Elle doit surtout être « bien » conseillée (partie immergée de l’iceberg qu’on ne voit pas) elle qui n’a aucune compétence dans le domaine. Nos gouvernants devaient être d’accord aussi.

  7. Les autorités peuvent bien interdire la publication des statistiques ethniques et masquer les chiffres de la drépanocytose: il suffit de circuler en France, de visiter les maternités et de lire dans les mairies la predominance de certains prénoms de nouveaux-nes, pour constater que le Grand Remplacement n’est pas une vue de l’esprit. Quand Macron parle de transition demographique, il ne dit pas autre chose. A 25 ans, Chrystele aura UN enfant, Fatoumata, au moins CINQ. Voyez au Nigeria…

  8. Entre 2010 et 2020, ce chiffre a progressé de plus de moitié en France.
    Autrement dit, en 10 ans, l’immigration extra-européenne a doublé !

  9. Si les remplaceurs ne vivent que 40 ans maximum, c’est un grand espoir pour les remplacés. Bon, je suis quelque peu cynique, mais pour une fois que la nature est de notre côté…

    • Hélas d’affreux colonialistes s’évertuent à prolonger la durée de vie ( et les souffrances) des anciens colonisés qui ne demandent qu’à vivre selon leurs coutumes. Bien-pensants arrêtez dopresser les racisés.

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