Effets secondaires : le vaccin BioNTech/Pfizer devant la justice allemande

SANTÉ – Lors d’un récent entretien pour France-Soir, le médecin, biophysicien et épidémiologiste Martin Zizi prévenait : « La crise vaccinale est en train de commencer ».  

Après avoir été longtemps mise sous le boisseau, régulièrement ignorée voire niée par les autorités politicosanitaires et les médias (1, 2, 3), la question des effets secondaires liés aux vaccins anti-covid-19 fait désormais les titres de l’actualité judiciaire européenne. 

En Allemagne, au tribunal de Hambourg, débute ce lundi 12 juin la première audience d’un long procès qui va juger la responsabilité en la matière du laboratoire BioNTech, dont le siège se situe à Mayence (Rhénanie-Palatinat).  

Une médecin victime d’effets secondaires invalidants 

Dès le début de la pandémie, ce laboratoire s’est associé à l’industriel Pfizer pour mettre au point le Comirnaty, l’un des vaccins anti-Covid-19 les plus commandés et utilisés au monde, qui fait usage de la technologie ARN « messager » (ARNm). 

Selon la plaignante, qui a tenu à garder l’anonymat, de nombreuses douleurs l’auraient accablée depuis sa vaccination, dont une asthénie chronique et un lymphœdème.  

Médecin hospitalière, son activité professionnelle a été compromise : « Elle ne peut plus travailler le même nombre d’heures » et a dû renoncer à son activité sportive, affirme l’un de ses avocats, Tobias Ulbrich, interrogé par l’AFP.

« Pour des raisons de santé », elle n’a pu se déplacer à l’audience, précise un autre avocat associé, Marco Rogert. En réparation, du fait de l’apparition de ses diverses pathologies, la plaignante demande 150 000 euros de dommages et intérêts.  

Les avocats souhaitent une « réelle expertise » 

Le cabinet d’avocat qui attaque BioNtech a demandé à évaluer « l’impartialité du juge », selon un porte-parole du tribunal. Au lieu d’un seul juge, la défense souhaite voir « une réelle expertise » menée par des magistrats spécialisés en santé, selon Me Rogert. Cette requête sera retenue ou refusée dans les prochains jours, par la justice allemande. Elle suspend pour le moment l’avancée des débats. 

Du côté de la défense, le laboratoire BioNTech a indiqué avoir « soigneusement examiné les problèmes de santé décrits » par la médecin. « Sur la base de l’ensemble des informations fournies », celui-ci est parvenu à « la conclusion que le procès n’est pas fondé ».  

L’enjeu est crucial : déterminer la causalité claire entre les effets secondaires et les injections de vaccins à base d’ARNm et ainsi pointer les éventuelles défaillances des fabricants.  

Selon la loi allemande, les fabricants de médicaments sont responsables des effets secondaires, à partir du moment où le lien est scientifiquement démontré et que la balance bénéfice-risque n’est pas favorable aux vaccinés. 

Le retour de la balance bénéfice-risque au cœur du débat ?

L’un des points clefs pour trancher cette question devrait porter sur le rapport entre le nombre de vaccins administrés et le nombre d’effets secondaires signalés, notamment graves.  

Selon des chiffres de l’institut Paul Ehrlich, cités par l’AFP, « sur les 192 millions de vaccins administrés en Allemagne, 338 857 signalements d’effets secondaires, dont 54 879 jugés graves » ont été rapportés.  

Soit un taux de 0,028% d’effets secondaires graves après vaccination. Un chiffre à rapprocher, par exemple, de la mortalité pour cause de Covid.  

En effet, en France, pour les 20-59 ans, soit la tranche d’âge des actifs, sur une période de deux ans après le début de la crise sanitaire (2020), 5403 décès sont à déplorer pour 33 192 633 individus (sources : Santé Publique France et INSEE – 2021). Le taux de létalité est par conséquent de 0,016%.  

La problématique de la balance bénéfice-risque apparaît. Après que les autorités occidentales aient fait le choix d’une vaccination massive, on peut se demander s’il était raisonnable de faire courir aux populations âgées de moins de 60 ans un tel risque d’effets secondaires graves post-vaccin.

Un risque presque deux fois supérieur à celui de décéder du Covid, un chiffre lui-même très bas, voire infinitésimal pour les plus jeunes. 

 

Interviewé par la chaîne publique allemande ZDF en mars dernier, le ministre de la Santé allemand, Karl Lauterbach a préféré rappeler la « rareté » apparente des effets secondaires : le nombre de ces derniers se trouveraient « dans la fourchette de moins de 1/10 000 vaccination, donc ce n’est pas si courant », dit-il, interprétant les données du Paul-Ehrlich Institut.  

Le ministre reconnaît une « aide » nécessaire et une prise en charge « plus rapide » des victimes des effets secondaires vaccinaux (et des cas de covid longs).

Procédures similaires en France et en Grande-Bretagne 

Des centaines d’autres plaintes sont en cours d’instruction outre-Rhin. Elles rejoignent des procédures similaires déjà initiées notamment en France et en Grande-Bretagne. Les effets secondaires des vaccins incriminés sont sérieux ou graves : myalgies, insomnies, AVC, thromboses, myocardiques, dérèglement de menstruations…  

Ces multiples pathologies ont un impact considérable sur la vie quotidienne. Selon les présentations de dossiers judiciaires, ils apparaissent sur des sujets qui se déclarent avoir auparavant été en bonne santé. 

Un documentaire diffusé par la chaîne franco-allemande Arte en février dernier, intitulé « Vaccination anti-Covid, vivre avec les effets indésirables » présente des témoignages de victimes outre-Rhin. Une parole libérée, qui détonne avec la chape de plomb généralement observée en France à ce sujet, et qui annonçait bel et bien le lancement de « la crise vaccinale ». 

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9 Commentaires

  1. LA RUSSIE SAUVE LES SIENS DE L’OMS ET DE SES VACCINS TUEURS OBLIGATOIRES

    ■ Saint-Pétersbourg, 15 juin – RIA Novosti. L’opportunité d’introduire sur le marché russe des médicaments étrangers pour lesquels des essais cliniques n’ont pas été menés en Russie pourrait apparaître dans le pays à l’horizon de 2 à 3 mois, a déclaré Vladimir Shipkov, directeur exécutif de l’Association des fabricants internationaux de produits pharmaceutiques (AIPM) .

    Il a rappelé que conformément à la réglementation en vigueur, pour enregistrer un médicament étranger en Russie, il est nécessaire de mener des essais cliniques locaux répétés.
    ○ RIA.ru : https://tinyurl.com/44aty97x

  2. Tout ceci est sans compter les actions de médecins qui ont « oublié Hippocrate » et qui ont dissuadé nombre de patients à faire une déclaration d’effet(s) secondaire(s). Car en effet s’ils étaient à la base de la suggestion de « l’injection de la bouillie chimique » au patient, ils pouvaient se trouver impliqués dans cette supercherie de haut vol ! De fait ces déclarations auprès des autorités (compétentes ?) ne représentent pas grand chose comparativement à la réalité. Dans ma famille une jeune fille de 15 ans fortement impactée en est un exemple… De plus, le médecin est un ami de la famille !…

  3. C’est le principe mème du vaccin qui doit étre remis en cause car dans la pluspart des cas inutile!en effet les progrès de l’hygiène ,l’eau potable et les stations d’épurations ont supprimé toutes les causes d’épidémie !3l’inquiétante histoire du vaccin » par Marc Menant historien reconnu ,vous fournira l’explication de père-noél pour les adultes !Vous t verrez comment l’on crée un mythe par lacheté politique et ensuite appat du gain!

  4. Ça commence à s’effondrer le mythe du vaccin miracle contre le Covid 19 ! Bourrrre-la et sa bande vont devoir répondre devant la justice Allemande pour les effets secondaires provoquer par le vaccin car on sait déjà que le vaccin Anti COCO 19 ne guérit pas et ne protège pas de la maladie donc le vaccin est un vaccin de mort et de souffrance !

  5. Lorsqu’un labo est mis en cause, ses avocats – ils ont les moyens d’en payer plusieurs – diront qu’il n’y a qu’un « incident » sur 100.000… Mais quand ça tombe sur vous, c’est 100 pour cent. Demandez au chanteur canadien, Justin Bieber et a Céline Dion, ce qu’ils en pensent. Ultime argument des labos pour se défausser: rien ne prouve que votre pericardite, même a l’âge de vingt ans, est la conséquence du vaccin(sic) anti covid. Ben voyons!

  6. Les malades commencent à penser que peut être le vaccin anticovid est responsable de leur maladie rare ou cancer etc ou mort subite de jeunes mais on est loin, tres loin d une prise de conscience Les médecins et les medias leur disent le contraire

  7. Appeler un vaxxin « Carminaty », … c’est qu’on flaire déjà une embrouille !

  8. J’ai pu le constater dans mon petit village. Un voisin, mon âge, marche avec difficulté, troubles locomoteurs, on dirait un petit vieux. Un autre, phlébites multiples, obligé de porter des collants de contention car en plus phlébites inguinales, son frère a énormément maigri, fatigué chronique. Un mort par crise cardiaque. Et je ne sais pas tout. Ah si, le meilleur pour la route, un voisin collabo, électeur de Micron, devenu bizarre et hyperactif. Il était déjà à moitié idiot avant. Pour gober les mensonges du dictateur, il fallait quand même en tenir une bonne couche.

    • L’ami Argo, champion de R.R. de lancer de boules puantes. Un régal ! Merci !

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