Les Noirs et les Neuneus ont gagné, des quotas seront mis en place pour les Oscars…

Comment ça, je mets les Noirs à part ? Ce n’est pas ce qu’ils voulaient ?
https://fr.news.yahoo.com/oscars-des-mesures-pour-plus-de-diversite-135830903.html
Restons calmes, et regardons avec le plus grand mépris s’agiter les souris sur le grand vaisseau de la vie.
Tout passe… ces crétins passeront aussi, avec leurs egos, leurs petitesses, leurs haines…

Allez, un peu de beauté, un peu de distance, juste pour se rappeler que l’être humain ça n’est ni Spike Lee, ni George Clooney, ni Whoopi Goldberg, ni Will Smith, niRoschdy Zem, ni Omar Sy  et quelques autres. Ces petits bonhommes ont encore un sacré chemin à faire dans la vie. Ils ont à exister par et pour eux-mêmes. Apparemment ce n’est pas pour demain, ils ont des siècles de retard.

Demeurons calmes en attendant le grand soir.

Il y avait dans le voisinage un derviche très fameux, qui passait pour le meilleur philosophe de la Turquie ; ils allèrent le consulter ; Pangloss porta la parole, et lui dit : « Maître, nous venons vous prier de nous dire pourquoi un aussi étrange animal que l’homme a été formé.

– De quoi te mêles-tu ? dit le derviche, est-ce là ton affaire ? – Mais, mon Révérend Père, dit Candide, il y a horriblement de mal sur la terre. – Qu’importe, dit le derviche, qu’il y ait du mal ou du bien ? Quand sa Hautesse envoie un vaisseau en Égypte, s’embarrasse-t-elle si les souris qui sont dans le vaisseau sont à leur aise ou non ? – Que faut-il donc faire ? dit Pangloss. – Te taire, dit le derviche. – Je me flattais, dit Pangloss, de raisonner un peu avec vous des effets et des causes, du meilleur des mondes possibles, de l’origine du mal, de la nature de l’âme et de l’harmonie préétablie. » Le derviche, à ces mots, leur ferma la porte au nez.
Pendant cette conversation, la nouvelle s’était répandue qu’on venait d’étrangler à Constantinople deux vizirs du banc et le muphti, et qu’on avait empalé plusieurs de leurs amis. Cette catastrophe faisait partout un grand bruit pendant quelques heures. Pangloss, Candide et Martin, en retournant à la petite métairie, rencontrèrent un bon vieillard qui prenait le frais à sa porte sous un berceau d’orangers. Pangloss, qui était aussi curieux que raisonneur, lui demanda comment se nommait le muphti qu’on venait d’étrangler. « Je n’en sais rien, répondit le bonhomme, et je n’ai jamais su le nom d’aucun muphti ni d’aucun vizir. J’ignore absolument l’aventure dont vous me parlez ; je présume qu’en général ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement, et qu’ils le méritent ; mais je ne m’informe jamais de ce qu’on fait à Constantinople ; je me contente d’y envoyer vendre les fruits du jardin que je cultive. » Ayant dit ces mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison : ses deux filles et ses deux fils leur présentèrent plusieurs sortes de sorbets qu’ils faisaient eux-mêmes, du kaïmac piqué d’écorces de cédrat confit, des oranges, des citrons, des limons, des ananas, des pistaches, du café de Moka qui n’était point mêlé avec le mauvais café de Batavia et des îles. Après quoi les deux filles de ce bon musulman parfumèrent les barbes de Candide, de Pangloss et de Martin.
« Vous devez avoir, dit Candide au Turc, une vaste et magnifique terre ? – Je n’ai que vingt arpents, répondit le Turc ; je les cultive avec mes enfants ; le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice, et le besoin. »
Candide, chapitre 30, Voltaire

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10 Commentaires

  1. Ça va les gars? Vous avez pas l’impression qu’une academie des oscars masculine, vieille et blanche c’est problématique pour juger des films?

    • Vous avez un problème avec les hommes, les vieux et les blancs mon vieux… Chez nous on juge indépendamment de ce que l’on est, homme ou femme, vieux ou jeune, et de ce que l’on croit ou pas… C’est ça l’intelligence, la culture, l’évolution de lhumanité. Si ça vous plaît d’en rester au stade tribal, voire singe, tant pis pour vous mais n’essayez donc pas de faire régresser l’humanité

  2. J’attends avec impatience que l’Afrique produise ses films, avec ses acteurs. Que ne le fait-elle au lieu de se décimer, tribus contre tribus ? L’Inde, pourtant sous-développée, a su faire « son cinéma »…
    Pourquoi toujours accuser les blancs ? Les noirs n’ont qu’à faire leurs preuves ! Quant à l’Amérique, rien n’empêche non plus que des cinéastes noirs créent leurs propres films avec des acteurs noirs… Nous verrions alors peut-être des candidats, des « stars » monter sur le podium pour recevoir la statuette tant désirée !

  3. Le racisme bien compris qui est la défense de sa fierté et de son intégrité raciale est un réflexe naturel positif que les gauchistes mondialistes égalisateur ont transformé en sentiment honteux … sauf quand il s’exerce contre la race blanche .
    Je n’ai rien à redire contre ce racisme des noirs lorsqu’ils instrument ainsi à leur profit notre suicidaire discours anti-raciste dont je rigolerais bien si j’étais à leur place …
    Moi je suis raciste et antimondialiste , je suis pour la préservation des spécificités culturelles et biologique des peuples , et les antiracistes niveleurs , fossoyeur de leur sang et de leur patrimoine génetique issu de centaines de milliers d’années d’évolution … je les trouve pathétiques !

  4. Si les blancs ont un peu de c……s qu’ils les laissent entre eux avec leur connerie d’Oscar.
    Avoir recours aux quotas plutôt qu’au talent pour avoir l’effigie, c’est petit, minable et raciste anti-blancs. Perso je ne regarderais plus jamais, de la même façon les films US, si toutefois je venais à regarder un de ces navets.
    Coquillard et Dujardin, j’ai deux abat-jours à vous refiler pour transformer votre récompense en lampe de chevet.

  5. Ces gens qui rouspétèrent ne veulent pas la justice, ils veulent exercer une pression suffisante pour augmenter LEURS chances d’accéder eux-mêmes aux Oscars le plus vite possible.
    Il y a toujours quelque chose d’un peu dégoûtant dans un plaidoyer pro domo.

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