La spécificité du peuple juif… un choix crucial pour tous !

Qu’est-ce que l’antisémitisme, sinon cette haine toute particulière qui fait des Juifs les responsables des malheurs du monde et ce, depuis le XIIème siècle ? Si le mot est inventé en 1879, c’est au 12ème siècle (et non au 19è siècle) que naît cette idée absurde. C’est à ce moment-là que l’antijudaïsme théologique se mue en antisémitisme, soit en haine fantasmatique. La différence entre ces deux concepts est fondamentale : contrairement à l’antijudaïsme qui déteste le Juif pour ce qu’il est (un adepte du judaïsme, un « infidèle »), l’antisémitisme rejette le Juif pour ce qu’il n’est pas et/ou ne fait pas, à savoir un ennemi du genre humain, un être satanique qui complote contre les « goyim », empoisonne les puits, propage les maladies, qui tue et cannibalise les enfants, etc., bref qui travaille au malheur du monde.

Les juifs… le peuple juif…  un ramassis de vagabonds, un peuple trop ingénieux et intelligent au point de représenter un danger pour tous ceux qui l’hébergent et pour lui-même. Un peuple minuscule, controversé, qui a su comment occuper les positions les plus déterminantes dans tous les pays. Un peuple aux racines résistantes qui, bien que tapies dans l’ombre, le régissent, l’emportent dans leur incontestable cohérence, dans leurs lois ancestrales ancrées dans son subconscient.

Souvent autour de moi, j’entends, à toute occasion, en toute circonstance, des passants, des individus, des personnalités, s’exprimer sur les juifs, sur le peuple juif… « Ils ne sont pas comme les autres peuples ! Ils dirigent le monde, ils provoquent des révolutions, et tant d’autres méfaits et… bienfaits ! ».

Mais même les juifs savent qu’ils diffèrent ; qu’ils ne sont pas comme les autres… Le peuple juif se décrit, comme pour s’excuser : « Nous avons survécu à tous les autres peuples, à toutes les autres nations et civilisations. Nous avons créé une histoire que personne ne peut ni contester, ni réviser. En somme, c’est sur le socle de notre histoire que d’autres peuples ont bâti leur particularité qui n’est qu’un avatar grotesque du peuple juif.

Si nous nous penchons sur les caractéristiques du peuple juif, nous constatons son influence dans tous les domaines, et l’estampe profonde qu’il a laissée, là où il a vécu ou dans son environnement.

Depuis la nuit des temps, le peuple juif, croyant ou pas, demeure très divisé, donc une proie propice aux conflits internes et externes. Il n’y a qu’à l’observer avec un peu plus de neutralité, pour comprendre que tous les enjeux qu’il engendre, même dans sa patrie nouvellement réhabilitée, représentent un danger existentiel pour lui-même. À son insu, il sert de trame à tous les malveillants et opportunistes, qui en font leur bouc-émissaire.

Les récentes manifestations contre la prétendue réforme judiciaire trouvent leur financement par des éléments externes, tout à fait opposants à l’existence de l’État d’Israël.

Yariv Lévy, le Ministre de la justice l’a énoncé hier en ligne à la télévision. « Rien n’est innocent, rien n’est spontané… tout est prémédité. Nous n’ignorons pas l’afflux de fonds qui inonde les juifs israéliens en provenance d’éléments et de groupes antagonistes à l’existence d’Israël ! »

Ces éléments qu’il sous-entend, sans les nommer, favorisent le mondialisme… Un peuple juif nationaliste est antithétique à leurs aspirations d’une « homogénéité que l’on devine à travers le progressisme, la mondialisation, la diversité, l’abolition de frontières, d’identité, du genre et tant d’autres heurts et malheurs… »

Le tout est soupçonné de faire partie d’un complot mondial qui mènerait à la domination du genre humain, par une élite ambitieuse, perpétuellement à la poursuite de la maîtrise des finances mondiales et de la subordination du genre humain, ou de ce qu’il en restera.

Vrai au faux, cela émane de tout ce que nous avons observé durant la récente pandémie qui a dépouillé le monde de sa liberté, de son choix et de son autonomie.

Derrière les coulisses, on devine la présence d’un juif nommé Soros, confirmé par un récent article de  Jean-Patrick Grumberg :

« Une ONG de gauche a apporté un soutien financier aux manifestations contre le nouveau gouvernement, selon un rapport de Channel 14 News. Cette ONG s’appelle New Israel Fund (NIF). Et ce n’est pas la première fois qu’elle fait parler d’elle : souvenez-vous, elle avait organisé la manifestation « spontanée » des tentes, bd Rothschild à Tel-Aviv en 2011 contre Netanyahou, et avait financé les activistes. Selon un email envoyé par le New Israel Fund à ses partisans, que Channel 14 a obtenu, l’organisation s’attribue fièrement le mérite de son rôle essentiel dans l’organisation et le financement de la manifestation de samedi.

« Le Nouveau Fonds d’Israël a aidé par une subvention spéciale les nombreuses organisations de la société civile qui ont pris part à… l’énorme manifestation de samedi soir à Tel-Aviv », peut-on lire dans l’email, qui poursuit : « Shatil [une branche du New Israel Fund] a pris part à la coordination et à la synchronisation des différentes parties qui ont participé à la démonstration de force.

Le New Israel Fund va également accorder une « subvention d’urgence » à un groupe qui produira une « campagne numérique » axée sur la « véritable signification de divers projets de loi » que le nouveau gouvernement devrait présenter. Bien entendu, ceci à l’attention du jeune public, mais aussi des médias, qui reprendront goulument la propagande du NIF.

La révélation : qui est derrière cette ONG aux nombreux dégâts en 2011 suite à la manifestation de Tentes, et est impliquée dans la planification d’une manifestation anti-gouvernementale fin décembre 2022, épaulant l’organisation Tag Mehir à soutenir et à combiner la manifestation devant la Knesset le jour de la prestation de serment du nouveau gouvernement, tout en soutenant la manifestation LGBT qui eut lieu le même jour ?

Qui ? Un juif haineux de soi :

Soros ! George, ou son fils Alexander, qui a repris les rênes de l’empire, cofinancent la NIF, au travers l’Open Society Institute. La NIF reçoit des fonds de la Nathan Cummings Foundation, de la Ford Foundation, de l’Open Society Institute de George Soros et de la Public Welfare Foundation » – L’État profond ?

Mais motus – personne dans les médias, dans les journaux, en ligne, n’ose parler de ce phénoménal financement qui se devine d’ailleurs par ses proportions, son intensité et ses répétitions.

Oui, il y a des juifs qui sont prêts à vendre leur mère pour du fric ou pour un idéal suicidaire. Et la gauche en est friande, puisque athéiste, mondialiste, progressiste et opportuniste. L’État juif lui importe peu, parmi eux, il y a aussi des « idiots utiles » qui ignorent tout de ce qui, en réalité, se trame, mais qui suivent le courant sans oser poser des questions – des moutons de Panurge.

À qui un État juif importe ? Aux juifs croyants, aux nationalistes, à tous ceux qui ont vécu au sein de pays arabes – des sépharades – pour qui la démocratie doit être dotée de quelques réflexions juives. À ceux, trop vieux, pour décrire la haine vécue… la traque, le déni d’humanité…  et à tous ceux qui croient en Dieu.

La guerre d’Ukraine, n’est pas le fruit du hasard. L’accord de défense et de coopération russo-iranien érige un bloc uni qui s’étend de Moscou à Pékin. Une sorte de géant stratégique.

Une scission a lieu dans le monde entre ceux qui se disent démocrates (l’Otan) et ceux totalitaires, qui veulent maintenir leur intégrité, leur nation, leur régime, leur identité. Le bloc qui se forme par la Russie, la Chine, L’Iran et ses filiales sonnent l’alarme… alors qu’une course folle vers une guerre généralisée se profile en ces jours…

À qui profitera-t-elle ?

Israël doit choisir entre le progressisme et ses malheurs, et sa perte d’identité et son intégrité juive…

Choix crucial!!!

Thérèse Zrihen-Dvir

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31 Comments

  1. Que serait-il advenu du nazisme si cette affreuse, infâme et surtout mensongère caricature de propagande anti-juive représentant un vilain petit bonhomme et autres odieuses images anti-juives avaient été remplacées par la photo de beaux gosses comme Paul Newman, Tony Curtis, Dustin Hoffman, Michael Douglas, Michael Landon (La petite maison dans la prairie), Harrison Ford … tous Juifs Ashkénazes et si on avait cité les noms de grands artistes et de grands savants Juifs pour rétablir la vérité ?

  2. BOnsoir à tous… commentaires intéressants – en ce qui concerne l’éducation…Nous ne sommes pas tous semblables ni équipés de la même quantité de savoir et d’intelligence. Je connais une personne qui a vécu comme une orpheline, qui n’a presque pas investi grand chose dans son éducation, mais qui a été bénie d’une intelligence extraordinaire et de dons que si peu peuvent se vanter d’en posséder. Voilà une orpheline, sans sous, sans rien qui réussit à grimper tous les échelons pour devenir une personne qualifiée, prolifique et experte – sans aucun déplôme. Donc, il y a une présence pour créer un certain équilibre. Nue comme un lombrique elle est aujourd’hui une réussite, un phénomène… Nul ne peut ignorer ce genre de miracle que nous rencontrons…

  3. Visiblement Christine regrette de ne pas être née peuple élu. Elle a bossé , bossé pour passer son agrégation. C’est un concours difficile cependant il n’oriente pas vers la réalité mais vers l’enseignement républicain.
    Christine feint d’ignore qu’être juif c’est d’etre de la religion juive acquise par la mère. Les juifs sont habitues à l’étude des livres notamment par le sabbat, le samedi consacré à l’étude de la Bible à l’exclusion de toutes autres activités.
    Hanouna respecte le sabbat, le décors de l’émission le samedi passe de bleu au rose animé par un goy. Une constatation dirait Christine que nous aimons bien.

    • Eclat de rire… non surtout pas de regrets, j’admire les Juifs et leur rend hommage pour plein de raisons mais je n’aimerais pas être juive, héritage trop lourd à porter, qui limiterait ma liberté que je veux la plus absolue possible. Pour le reste vous n’y connaissez rien, on est Juif par la mère, mais cela n’a rien à voir avec la religion… Juif est à la fois une nationalité/origine dépassant le lieu de naissance et une religion, d’où nombre d’ambiguïtés. En quoi devrait-on en vouloir aux juifs d’avoir l’habitude d’étudier, que ce soit l’Ancien Testament ou le Talmud ? Vous ne connaissez rien à rien mais votre fiel vous amène à critiquer ceux qui réussissent… je vous plains

      • Christine , qui avez vous fréquenté lors de votre vie active ? Enseignant comme vous mais modeste capétien je connais tous les milieux dont des lycées avec une forte proportion d’élèves de la « communauté ». Savez vous que des élèves ne participaient ou que d’autres assistaient simplement au cours le samedi matin .Il respectait le sabbat . Je vous laisse à vos commentaires si ces élèves étaient musulmans . Les enfants sont habitués à l’étude des textes bibliques et à être des intellectuels.
        Quant à nier l’importance de la mère dans la transmission juive, je me pose des questions ?
        Constater ne veut pas dire réalité qui elle est toute relative , dont on sait depuis Galilée qu’elle dépend du repère dans lequel on se trouve.

        • « modeste capétien »

          Ne soyez pas modeste, c’est un excellent niveau (beaucoup ne l’ont même pas et j’ai connu des profs syndiqués Education Nationale qui étaient dur comme fer, pour le concours pour les autres alors qu’eux ne l’avait jamais passé).

          Et vous savez, les concours comme les diplômes ça va ça vient, ce n’est pas un gage absolu « pour tous » (je ne généralise pas bien sûr, il y en a qui le méritent et qui ont vraiment le niveau)… J’avais un ami qui était agrégé de Maths (pas une lumière réellement) et qui, au bout de plusieurs passages vains, avait fini par l’avoir car il était tombé sur le seul sujet qu’il connaissait bien. Il était content et fier de lui, et c’est le principal dira-t-on.

          Il faut croire en soi, ne jamais se rabaisser et surtout, relativiser car la réalité est complexe et souvent trompeuse.

  4. Selon la Bible, livre juif par excellence, écrit par des juifs pour des juifs, la fin viendra en effet d’une coalition venue du septentrion (Russie?, Iran?, Chine?). De mon point de vue, l’histoire et le sens de l’histoire du monde se concentre autour d’Israël et nous vivons en ce moment les remous précurseurs des temps de la fin. J’ai écris, avant le covid, un mot sur ce sujet délicat: https://actubible.wordpress.com/2019/01/28/comprendre-lactualite-a-la-lumiere-de-la-bible-et-des-progres-de-la-technologie/
    Comprenne qui pourra …

  5. Les Juifs au cours des générations et perpétuellement persécutés ont appris à viser le sommet et devenir les premiers dans beaucoup de domaines. Rien à voir avec une race supérieure, d’ailleurs ils sont de race blanche. Ils sont inventifs et travailleurs. Ils aiment la réussite et ça énerve, bouh que ça énerve les jaloux.

  6. L’antijudaisme,nom ancien de l’antisémitisme est vieux comme le judaïsme.Amalek,les Romains,certains des premiers chrétiens et un tout petit chouïa les Mahométans n’ont pas attendu le 12eme siècle

  7. « M. Richards et ses collègues ont utilisé un ensemble de données sur l’ADN mitochondrial bien plus nombreuses que dans des travaux précédents d’autres équipes. Ils ont trouvé que plus de 80 pour cent des ADN mitochondriaux modernes des juifs ashkénazes ont une origine européenne, qu’une petite proportion de ces ADN proviennent du Proche-Orient, et que pratiquement aucun ne semble provenir du Caucase Nord. En d’autres termes, la lignée maternelle des juifs ashkénazes remonte principalement à l’Europe occidentale préhistorique ! »
    http://institutions.ville-geneve.ch/fr/bm/interroge/archives-questions-reponses/detail/question/un-juif-berbere-de-latlas-marocain-a-t-il-une-origine-commune-avec-un-juif-ashkenaze-russe-br/
    Que s’est-il passé ? Les Juifs arrivés en Europe auraient été essentiellement des hommes ? Ils auraient cherché à convertir plutôt des femmes que des hommes ?

  8. Il y a d’autres responsables, et qui ne sont pas juifs. C’est ridicule et indécent de prétendre que les juifs dominent le monde. . Si un juif écrasait un goy, dirions-nous que tous les juifs sont des chauffards?

  9. bon, et bien voilà, c’est dit: L’infâme Soros (père ou fils) est derrière ce « bardak ».
    Merci pour cet article et merci de les avoir dénoncés.
    Mais nous savons en outre que Soros a payé des sommes astronomiques aux jésuites, alliés des Frères Musulmans.
    Il y a donc une véritable collusion qui se trame contre Israël, mais aussi contre la France.
    Voir à ce sujet « Le Vatican contre la France » de Edmond Paris. 1957

  10. Une réalité incontournable qui irrite les cons: Le peuple juif, c’est 0.2% de la population mondiale et 20% des prix Nobel scientifiques. Dont acte.

    • On peut dire aussi que le prix Nobel est aussi largement distribué que la Légion d’Honneur. Voir Obama, Arafat, et j’en passe….
      Une breloque de plus.

      • Bonjour,

        Vous parlez des Nobel de la Paix qui sont idéologiques.

        Nicolas parle des Nobel de Physique, de Chimie, de Médecine …

        • Antiislam (9h59), bonjour.

          Dans ma réponse à Nicolas je ne voulais diminuer personne. Mais que sont les « Prix Nobel »? Des hochets, des breloques, des médailles du Travail?
          Quant aux « scientifiques » juifs ils ne sont pas autrement que ceux du show-biz, des médias, et autres corporations.
          Ils ont l’intelligence de se protéger entre eux, de se réserver les postes qu’ils nous interdisent. Peut-on appeler ce comportement du racisme? A vous de voir.

          Demandez à Robert DUPONT de mère baptisée et de père indifférent à tout communautarisme s’il pourra vraiment faire les recherches qu’il souhaiterait sans faire partie de la « famille », malgré ses compétences. Une de mes nièces agée de 30 ans saurait vous en parler.
          Je pourrais en faire des pages et mes copains et amis juifs que j’ai aidés vous confirmeraient. Ils savaient juste dès le début que ne voulais pas qu’ils me gonflent avec leur Histoire… Et ça c’est toujours bien passé.

          • Bonjour,

            Personne n’interdit l’ « accès » (sic) au Prix Nobel !

            Cette condamnation moderne et constante de la toute simple méritocratie est lassante.

            Je redis cette anecdote.

            Celle du physicien Oppenheimer, juif laïc éloigné de la religion, qui se plaignait à Isidore Rabi, juif religieux, lui-même Prix Nobel de Physique :

            « Isidore, quelle chance tu as d’avoir fait tant de découvertes fondamentales ! ».

            « Ah, Julius, si tu as avais fait des heures et des heures de Talmud-Torah, comme moi, quand tu étais jeune ! ».

            Le secret, il est là, il est dans l’amour des études …

            Et non, la Physique moderne, au début du XXème, ne s’est pas constituée parce qu’ « ils se sont reservés des postes » (sic) mais parce que des familles ont entretenu chez leurs enfants l’amour de la connaissance et de l’étude.

          • Merci Antiislam pour cette réponse de bon sens, j’allais en faire une du même tonneau. Moi aussi je suis lasse de voir que même parmi certains de nos commentateurs il y a des gens qui confondent méritocratie, travail et origines sociales. Certes, quand on naît dans une famille lettrée, cultivée, ça aide et c’est bien plus dur pour ceux comme moiqui ont vécu dans une famille d’ouvriers sans livres de devenir agrégé. Il manque tant de choses… mais c’est la vie, on travaille plus que les autres et basta ! Mais qu’on ne vienne pas me dire que c’est parce que les parents seraient juifs que ce serait plus facile d’avoir le prix Nobel ou une place enviable. Il suffit de voir toutes les pourritures du gouvernement français ou de la commission européenne pour comprendre qu’il ne s’agit que de castes de pourris, athées, chrétiens, juifs… et rien à voir avec les Juifs élus !

          • Antiislam et Christine (16h31 et 17h20) vous êtes des bonnes personnes, des gens biens. Mais pourquoi devrais-je faire semblant de n’avoir rien vu, rien vécu, ni rien lu?

            Bon j’arrête là, sinon vous allez me trouver indécrottable 😉🤗

          • il n’est pas question de faire semblant. Il est question d’être honnête et lucide et de ne pas prendre pour des faits les racontars, les haines, les jalousies… qui traînent dans des livres et sur des sites. Moi aussi j’ai beaucoup lu, beaucoup vu, beaucoup échangé. Veni, vidi, vici l’ignorance et les racontars.

    • Proner la superiorité intellectuelle d’un peuple est une forme aigue de racisme. 
      Savez-vous que le racisme n’est pas une opinion mais un délit ?

      • Savez-vous qu’il y a une différence entre « prôner » et constater ? Constater que les Juifs, depuis toujours, sacrifient tout pour que leurs enfants apprenne,t soient instruits et donc ainsi utiles à la collectivité était la meilleure façon de les garder en vie face aux dirigeants prônant le massacre de masse des juifs ? Les plus brillants étaient nécessaires, même aux tyrans, et donc l’instruction et la science, non seulement étaient l’envie de voir ses enfants s’épanouir grâce aux livres, grâce à la connaissance mais d’avoir une chance d’en protéger quelques-uns du génocide.

        • Je maintiens « prôner »
          Définition du cnrtl:
          « Vanter publiquement et avec insistance quelqu’un ou quelque chose pour convaincre de son excellence, de son utilité. »
          C’est exactement ce que fait cet article.
          Pour le reste vous devriez faire remonter votre étude des « découvreurs » à des périodes antérieures aux deux guerre mondiales, vous verriez que très peu d’avancées sont dues à des juifs.

          • Il ne s’agit pas de prôner la judéité ce qui effectivement n’aurait aucun sens mais de prôner la supériorité des juifs.
            Je suis étonné que vous fassiez cette confusion quant au sens des quelques lignes que j’ai postées.
            C’est à dire si je me réfère à la définition : »convaincre de l’excellence des juifs ».
            J’ai lu le document que vous indiquez , je vous conseille de lire le tableau du paragraphe 2 intitulé:
            « Ouvrages scientifiques, philosophiques et politiques écrits par des Juifs éclairés et publiés entre 1700 et 1835 »
            exemple : math en français 0 livre, total 10 livres en 135 ans
            Il n’y a qu’en philosophie où la production est importante.
            Et remontant encore dans le temps le résultat serait encore plus
            significatif.

      • Je ne sais pas ce qu’il en est sur le fond je ne me prononce pas, j’en prends juste acte de ce qui est dit dans l’article, mais l’intelligence n’est pas liée qu’aux gènes, je ne vois pas ce qu’il y a de racisme dans ce qui est écrit…

        Que l’on arrête d’instrumentaliser ce mot racisme, c’est pénible à la fin.

        Tout le monde peut être rejeté pour une raison quelconque dans sa vie, c’est même humain, les gènes n’y sont pour rien sauf si il s’agit d’un handicap ou d’une maladie génétique (demandez aux personnes handicapées du fait de la génétique si elles ne sont pas parfois rejetées ? Ou même simplement pour une manière d’être ?).

        Le racisme c’est la biologie, rien à voir avec le reste donc le culturel et l’on a le droit d’avoir des préférences pour telle ou telle culture.

        Ce glissement instrumentalisant un mot faisant fi du « sens », est tout ce qu’il y a de pervers, et cela devient trop courant.

        • On ne naît pas intelligent, on le devient. L’éducation donnée par les parents, l’instruction donnée par les maîtres, sont des atouts fondamentaux. Il y a des familles chez lesquelles il y a des livres, mais qui ne se soucient nullement du devenir de leurs enfants. J’oserais même dire : »Au contraire ! ». Le père jaloux de son fils, hostile au fait que ce dernier représente un « rival » potentiel, et pourrait même doubler son père, et qui fait en sorte que le gamin échoue. J’en ai eu un exemple.

          • Non, il y a une base génétique aussi, cela c’est un poncif qui perdure chez certains, il suffit d’analyser les personnalités pour s’en rendre compte. Certains enfants bien entourés resteront moyens voire moins, d’autres, moins entourés voire pire, réussiront et parfois sans se donner de mal. C’est complexe, plusieurs facteurs jouent.

            Comment alors expliquer des réussites spectaculaires dans des milieux défavorisés niveau culture voire éducation ? Il suffit de regarder les fratries et la diversité des réussites. Et heureusement dirai-je, que l’on ne peut pas dire que la réussite intellectuelle serait réservée à un milieu social.

            Et tous les gens instruits seraient intelligents et inversement ? La réalité montre le contraire.

            Il y a aussi des affinités avec certaines matière, comment pourrait-on les expliquer si l’on s’en tient à la culture ?

            Il y a toujours Nature « et » Culture, et l’on ne sait pas vraiment ce qui joue le plus, cela c’est un très vieux débat du début du XXe siècle (cf les recherches sur les jumeaux homozygotes) et je vous assure, on n’a jamais trouvé la réponse !

          • « Il y a des familles chez lesquelles il y a des livres »

            Pour ma part, enfant, je détestais lire les livres « imposés » à l’école dit « intellectuels » (je n’ai pas peur de dire que Zola m’a assommée, le seul qui trouvait grâce à mes yeux était Chateaubriand par la suite voire Ronsard). Il y a certains que je n’ai même jamais lu ou alors en passant des pages pour réussir à rendre un devoir.

            Je ne lisais donc, en primaire, que des illustrés légers ou des magazines (et je ne regrette pas, je me suis bien amusée pendant que certains s’ennuyaient à lire des livres qui ne les intéressaient pas) et j’ai toujours été excellente en Français, sans avoir besoin de le travailler.

            Maintenant j’adore lire et bien sûr, encore plus si cela demande un effort intellectuel, mais pas que, il faut savoir se reposer l’esprit avec des navets (que je lis aussi). Question d’équilibre.

          • Je pense même que c’est cette croyance en la primauté absolue du milieu (même si ça aide, on ne peut le nier, mais ce n’est pas inéluctable) qui a favorisé un social démesuré que l’on voit aujourd’hui et le nombre de gens de gauche dans l’Education Nationale.

            En effet, la gauche pense que l’individu n’y est pour rien que c’est son milieu qui n’était pas favorable !

            Eh bien non, ce n’est qu’une croyance.

            Bien sûr, cela ne veut pas dire, dans l’extrême, qu’il faille délaisser toute aide susceptible d’aider à la réussite (mauvais mais aussi bons élèves) ou tenter d’adoucir les défaillances d’un milieu socio-culturel.

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