Je ne suis pas Charlie, je suis SIDÉRÉE.
D’abord le 16/11, une enseignante poitevine qui se scandalise au motif qu’après la minute de silence des élèves de 3ème aient sorti un drapeau bleu-blanc-rouge et entonné … La Marseillaise.
(Source : La Nouvelle République)
C’est quand même un chant guerrier qui n’a rien à faire ici !
s’est justifiée la dame convoquée par le principal du collège, qui, lui, semble avoir apprécié qu’à cette occasion des élèves entonnent spontanément l’hymne national. La bécasse aurait été particulièrement choquée par « le sang impur », terme dont le sens lui échappe.
(Commentaire de Claude Laurent :
Ces paroles signifient en vérité que les soldats de 1792 étaient fiers de verser leur propre sang pour leur patrie -leur « sang impur », par opposition au sang bleu des aristocrates, eux qui n’étaient pas nobles. Etonnant de la part d’une enseignante, même un belge d’origine le savait! )
Et maintenant, on apprend qu’à Questembert (Morbihan) des élèves de 4ème ont à subir les délires idéologiques de l’Éducation Nationale.
« Projet musical : La Marseillaise après un vendredi13 novembre 2015 à Paris«
Le projet consiste à faire apprendre la Marseillaise ré-écrite par Graeme Allright et Sylvie Dien, ce qui donne
Pour tous les enfants de la terre
Chantons amour et liberté.
Contre toutes les haines et les guerres
L’étendard d’espoir est levé
L’étendard de justice et de paix.
Rassemblons nos forces, notre courage
Pour vaincre la misère et la peur
Que règnent au fond de nos cœurs
L’amitié la joie et le partage.
La flamme qui nous éclaire,
Traverse les frontières
Partons, partons, amis, solidaires
Marchons vers la lumière.
La bonne nouvelle, c’est que les parents d’au moins 2 élèves ont vigoureusement protesté, l’un ayant contacté Breizh-Info ( voir l’article )
La très mauvaise nouvelle, c’est que la principale du collège déclare que ce « projet » né d’une réflexion suite aux attentats du 13 novembre est conduit avec le soutien du rectorat d’académie.
Mais paradoxalement, pendant qu’on fustige nos sales petits garnements de province (ceux qui osent chanter La Marseillaise, tout comme ceux qui rechignent à chantonner une « marseillaise » frelatée), on nous a exhibé sur toutes les chaînes « 130 garçons et filles de banlieue venus chanter la Marseillaise en hommage aux 130 victimes des attentats », c’était Place de la République le 22/11.
Que cherche -t-on à démontrer ? Que la France c’est eux, ceux des banlieues, les « sensibles », qui la représentent ? Que nous les provinciaux, nos gosses, nous n’en serions pas dignes ? Ou bien serions nous trop « enracinés » ? On nous ordonne de nous taire, on nous vole notre hymne national.
Ah, mais ça ne va pas se passer comme ça, on ne se laissera pas faire.
Collège Jean-Loup Chrétien de Questembert
Inspection académique du Morbihan
Rectorat de l’Académie de Rennes
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Une enseignante comme il y en a beaucoup de personnes qui ne veulent pas choquer la communauté musul. Connasse
La marseillaise appartient à la France et aux vrais patriotes en premier. Oui nous nous laisserons pas faire. Nous défendrons notre hymne jusqu’au bout, pas question d’abandonner. Tous ces fachos qui nous détestes vont avoir un sacré retour de bâton bientôt. Nos ancêtres seraient fou furieux en voyant la France dans cet état. Le temps viendra pour nous de présenter l’addition à tous ces traites qui mal mènent le pays et les patriotes.
Pierre
Bonjour,
Je suis très choqué par le comportement de cette « enseignante » qui, contrairement à ce qu’elle croit, détruit la liberté de l’enseignement si durement gagnée. Ce sont ces comportements qui tuent la laïcité. Ils feront à très court terme revenir la diffusion de l’instruction dans le cade d’ établissements confessionnels mais c’est ce qu’elle cherche. Ne prenons pas cette militante pour une naïve gauchiste.En s’attaquant à la « Marseillaise », symbole de sa souveraineté, elle milite pour la destruction de l’Etat Français. Compte tenu du contexte de son action il serait intéressant d’enquêter sur cette militante afin de savoir notamment ses opinions religieuses. Il n’est pas neutre de rejeter l’hymne national à l’occasion d’un hommage aux victimes d’un attentat odieux dirigé contre la France en tant que République laïque. En effet, il est inutile à une enseignante de lui rappeler ce qu’est la liberté de l’enseignement .Elle sait pertinemment ce qu’est l’enseignement public ! Je relève qu’il est fondé sur deux piliers :
– La liberté DANS l’enseignement qui assure l’indépendance des enseignants par rapport au pouvoir politique;
– La neutralité de l’enseignement qui ne se se limite pas au respect des croyances des élèves mais englobe les opinions des élèves.
Dès lors, dans cette affaire, le rectorat et l’enseignant sont fautifs parce qu’en vertu du principe de neutralité toute orientation politique et religieuse de l’enseignement est interdite !
Mais la faute la plus grave relève de l’enseignante qui doit être sanctionnée. Possédant la liberté dans son enseignement elle ne peut se réfugier derrière le rectorat. »Ces activistes » lâches qui n’assument pas leurs propos se réfugient trop facilement derrière le rectorat. C’est elle qui agit principalement contre la loi. Ses motivations sont politiques. Nous devons assurément demander que des sanctions soient prises contre cette enseignante qui ne mérite pas son poste.
Je vais écrire au chef d’établissement en lui rappelant que la « Marseillaise » est protégée par l’article 2 de la constitution au titre de la « Souveraineté » et que les faits contre la Nation sont suffisamment graves pour saisir le ministère de l’intérieur… histoire que la Principale ne dorme pas tranquillement durant quelques jours!