Femmes, je vous aime !
Oui, je vous aime, j’aime votre esprit, votre courage, votre disponibilité, votre instinct maternel, même étendu à votre époux, à votre compagnon de route…
J’aime votre élégance innée, votre recherche raffinée, votre goût pour ces petits riens inutiles qui remplissent notre vie.
J’aime vos robes courtes, vos épaules dénudées qui me font rêver, vos cheveux longs et libres qui respirent le souffle du vent et la caresse du soleil, que vous soyez blondes, rousses ou brunes.
J’aime votre indépendance affichée, même et surtout si une fois seule, vite, très vite, votre compagnon vous manque.
J’aime votre souci d’être, pour vous-mêmes comme pour les autres, sans ostentation et sans honte, sans pruderie ni grivoiserie.
J’aime votre fierté d’être ce que vous êtes, tout simplement, égales de l’homme, ni soumises ni dominatrices, mais tellement attachées à être deux, ou plutôt à fusionner dans cette dualité qui vous est chère et que vous avez choisie.
Je vous aime, femmes de soldats, vous toutes qui avez compris le sens de notre engagement. Car si vos hommes sont courageux, vous l’êtes également. Vous n’avez pas d’épaulettes, ni de grades, ni de plaque à vélo, ni de décorations, mais vous êtes toujours sur le front, pas celui où siffle la mitraille, mais celui de tous les jours, où vous attendez avec impatience et angoisse à la fois la sonnerie du téléphone pour une conversation avec « là-bas », toujours trop courte, et après laquelle la solitude, votre solitude, retombera aussitôt sur vos épaules, et où il vous faudra expliquer aux enfants pourquoi Papa ne rentrera pas avant plusieurs mois, vous ne savez d’ailleurs pas combien.
J’aime votre dignité, qui vous force à sourire même – et surtout – quand le cœur n’y est pas.
J’aime votre courage lorsque marchant seule pour partir ou revenir, tôt le matin, tard le soir, et même en pleine journée, il vous prend, de plus en plus souvent, à redouter l’agression, sournoise, lâche, imprévisible, de l’alien qui vous guette peut-être au détour d’une rue, dans un couloir du Métro.
Car, et vous ne le savez que trop mais faites mine de l’ignorer, voire de la mépriser, l’insécurité est aujourd’hui partout présente, progresse de jour en jour, sans que cela ne semble préoccuper outre mesure les molles – si molles ! – instances dirigeantes avec leurs rodomontades. Lesquelles, bien au contraire, nous promettent encore plus d’insécurité, d’agressions, de terrorismes, dans les jours, les mois, les années à venir. Comme si c’était quelque chose d’inéluctable, la caractéristique de notre société du XXIème siècle, et contre laquelle personne ne pouvait rien, et surtout pas les dites instances. Le tout accompagné de force froncements de sourcils et de coups de menton.
Alors, ce que je ne supporte pas, ce que je déteste au plus haut point, ce qui me révulse même, ce sont ces discours aberrants qu’on nous assène avec les sempiternels « padamalgam » et autres « not in my name » !
Mixité obligatoire ? Vivre ensemble incontournable ? Mais qui veut vivre avec qui, au demeurant ? A-t-on sollicité l’avis des intéressés ? Et selon quelles lois ? Les nôtres, ou celles des autres ? Et si je ne voulais pas vivre avec tel ou tel, après tout, n’en ai-je pas le droit si me sont imposées des règles et des contraintes n’ayant aucun rapport avec mon éducation, ma culture, mon histoire, celle de mon pays depuis des siècles, celles qui ont fait ce que je suis, ce que vous êtes, ce que nous sommes, et ce que j’ai envie que soient mes enfants et mes petits enfants ?
Alors, je fus profondément – violemment – choqué, lorsqu’une certaine Ségolène annonça fièrement et sans rire en Janvier 2007 lors d’un passage en Martinique :
« Le métissage, je le dis ici, est une chance pour la France. Je serai la présidente de la France métissée et qui se reconnaît comme telle ».
Une chance pour la France ? Nous avons vu, et nous voyons chaque jour davantage, ce que cela a donné, et où cela risque de nous mener.
Femmes, j’aime votre attachement à être et à vivre comme vous le souhaitez, à vous habiller comme bon vous semble, à suivre ou non la mode vestimentaire du jour, à aimer rire, chanter, danser, fumer ou boire de l’alcool si l’envie vous prend de faire la fête, d’aller au théâtre, au cinéma, au concert, seules ou accompagnées.
Honte à ceux qui enlaidissent leurs femmes en les affublant de sacs poubelles et qui leur font croire que c’est pour leur bien, leur pudeur ou leur spiritualité !
Quelle hypocrisie ! Quelle ignominie !
Honte à ceux qui restreignent la liberté de leurs épouses et de leurs filles d’aller et de venir librement, de s’instruire, de se cultiver, de parler, et même de penser, au nom de la multitude d’obligations et d’interdits d’un sinistre bouquin, et d’un non moins sombre et sinistre chamelier d’un passé depuis longtemps révolu, pétri d’envies inavouables, de frustrations, de rancœurs et de violence … Ou qui, plutôt, érigea ces désirs inavouables en règles de conduite justifiant les monstrueux agissements de ses actuels sectateurs également habités de frustrations et de violence sanguinaire.
Alors, femmes, si je vous aime, je dirai peut-être : aujourd’hui, pas toutes.
Oui, j’aime et je respecte les femmes libres, libres dans leur tête et dans leur corps, quelle que soit leur nationalité ou leur origine géographique, mais je maudis celles qui font le jeu des aliens qui nous envahissent, et je plains celles qui, de gré ou de force, se déguisent en fantômes noirs, en autant de Belphégors, véritables tas de suie avec leurs sinistres linceuls, celles qui sont cachées aux yeux de tous, celles qui sont engrillagées.
Pour terminer, vous souvenez-vous de cette chanson de Pierre Perret, « La femme grillagée », sortie en novembre 2010, que l’on a si peu entendue sur les ondes ?
Puisqu’elle fut boudée par les radios, il l’offrit à tous (en décembre 2012) en téléchargement gratuit :
http://www.dailymotion.com/video/xh86c0_la-femme-grillagee-pierre-perret_webcam
Et en voici les paroles :
Paroles de La Femme Grillagée
Écoutez ma chanson bien douce
Que Verlaine aurait su mieux faire
Elle se veut discrète et légère
Un frisson d’eau sur de la mousse
C’est la complainte de l’épouse
De la femme derrière son grillage
Ils la font vivre au Moyen Âge
Que la honte les éclabousse
{Refrain:}
Quand la femme est grillagée
Toutes les femmes sont outragées
Les hommes les ont rejetées
Dans l’obscurité
Elle ne prend jamais la parole
En public, ce n’est pas son rôle
Elle est craintive, elle est soumise
Pas question de lui faire la bise
On lui a appris à se soumettre
À ne pas contrarier son maître
Elle n’a droit qu’à quelques murmures
Les yeux baissés sur sa couture
{au Refrain}
Elle respecte la loi divine
Qui dit, par la bouche de l’homme,
Que sa place est à la cuisine
Et qu’elle est sa bête de somme
Pas question de faire la savante
Il vaut mieux qu’elle soit ignorante
Son époux dit que les études
Sont contraires à ses servitudes
{au Refrain}
Jusqu’aux pieds, sa burqa austère
Est garante de sa décence
Elle prévient la concupiscence
Des hommes auxquels elle pourrait plaire
Un regard jugé impudique
Serait mortel pour la captive
Elle pourrait finir brûlée vive
Lapidée en place publique
{au Refrain}
Jeunes femmes, larguez les amarres
Refusez ces coutumes barbares
Dites non au manichéisme
Au retour à l’obscurantisme
Jetez ce moucharabieh triste
Né de coutumes esclavagistes
Et au lieu de porter ce voile
Allez-vous en, mettez les voiles
{au Refrain}
Parachutiste
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On mesure la grandeur d’un pays selon la place que tiennent la femme et l’enfant dans ce pays……
Un beau texte ,certes,Parachutiste mais que ne mérite pas toutes les femmes françaises. Comme vous le signalez il y a celles qui se couchent devant les voilées, les engrillagées. Ces emprisonnées à l’islam. Leur soumission est l’ un des garants de la survie ce cet islam totalitaire
Merci aussi d’avoir posté cette chanson de Pierre Perret. Je ne la connaissais pas du tout !
Un super texte ! Je crois qu’il lui faudrait une mélodie et un arrangement plus » militant « …
Bravo parachutiste pour votre beau texte. Je l’approuve. Et vous avez eu une sacrée bonne idée en y ajoutant la chanson de Perret qui, naturellement, n’est jamais diffusée…
les musuls détestent les femmes, Ils on tellement honte qu’ils les cachent sous de grand vêtements.Le coran dit qu’il faut se laver les mains après avoir touché une femme. On se demande comment ils se reproduisent. C’est vraiment l’age de pierre.
Très beau texte, merci Parachutiste. En tant que femme ,je ne peux qu’approuver et déguster. Vous êtes résistant ? Je le suis aussi. Le défilé incessant de ces belphégors met tord l’estomac. Et, tout comme vous, je ne supporte pas ce prétendu « vivre ensemble ». Je tolère, puisque, pour le moment, je ne peux faire autrement. Mais, le moment venu…
Il y à que des pays libre comme en France que l’on se permet de chanter librement, çà c’est bien les français çà, bizarre que nous n’entendons plus Pierre Perret, qu’avait il de si dérangeant le monsieur?.
L’islam c’est l’outrage, une insulte total au monde entier et sa haine, imaginez ceux qui soutient cette horreur, des gens sans coeur, une pierre à la place, froid et calculateurs, la même haine.
Il faut pas être très généreux, ni honnête et encore moins aimer son peuple pour accepter cette horreur dans son pays.
eh oui nous, les femmes de ce temps
nous devons pour nos enfants
pour nos filles
pour nos soeurs
rejeter ces pratiques barbares .
même au moyen-âge chez nous
les femmes étaient belles
jamais elles n ‘étaient empaquetées
ni vendues , ni achetées.
Femmes chez les Gaulois ou chez les Francs ,
résistantes pendant les guerres ,
au front ou à l ‘arriére ,
la femme est l ‘avenir de l’ homme
alors respect pour elles.
merci Monsieur le poéte
kénavo
Désolé, le lien dans l’article ne fonctionne pas.
En voici un autre à la place:
https://www.youtube.com/watch?v=IIoyykqWtCU