Comme nous le souvent tous depuis Molière au moins, le puritanisme dissimule toujours la luxure débridée de ceux qui le défendent !
« Le Monde » avait déjà évoqué , il y a quelques années , le sort tragique des « petites bonnes » marocaines.
Rejetées de leurs familles paysannes parce qu’elles étaient enceintes hors mariage, ces pauvres gosses émigrent dans les grandes villes marocaines où elles tombent entre les mains de maquereaux abominables.
C’est, donc, un secret de polichinelle que la prostitution est reine dans le très puritain et très islamique Maroc.
Mais quand un Ministre français, dont on ne discutera pas ici les mœurs, dénonce cet état de fait : volée de bois vert (Avec les vomissures antisémites de circonstance, bien entendu !) chez Oumma.com et ses commentateurs sur le mode :
« Y a pas ça chez nous ! » Sous-entendu : «Ca n’existe que chez les kouffars !! »
Voilà ce qui les scandalise :
Dans le cadre d’un reportage consacré à Cheikh Zayed, écrit et commenté par ses soins, Frédéric Mitterrand n’a pas craint de heurter les oreilles des téléspectateurs de Arte et d’offenser le public marocain, en se vautrant dans une vulgarité qui a non seulement contrasté avec la tonalité générale de sa narration, mais s’est révélée également désastreuse pour l’image des femmes marocaines.
Lisez plutôt : « Amateurs de révolutions, passez votre chemin. C’est Prada, Nissan et Apple qui ont gagné. Et même les petites p. marocaines qui traînent dans les bars des grands hôtels, comme les nounous philippines qui gardent des gamins russes, espèrent toucher un jour le ticket gagnant qui fera enfin fumer leurs cartes de crédit. »
http://oumma.com/220563/petite-phrase-vulgaire-offensante-de-frederic-mitterr
Et quand un cinéaste marocain en fait un film, les couteaux des égorgeurs coraniques sont, cette fois, de sortie :
Le nouveau film de Nabil Ayouch “Much Loved” est interdit de diffusion au Maroc; le réalisateur a été menacé de mort ainsi que les actrices du film.
A Cannes, le nouveau film du réalisateur franco-marocain Nabil Ayouch a fait beaucoup parler. Depuis la fin du festival, c’est toujours le cas, mais malheureusement pas pour de bonnes raisons. Intitulé Much Loved, il raconte le quotidien de prostituées dans le Marrakech d’aujourd’hui. Noha, Randa, Soukaina, Hlima s’épaulent, s’entraident, malgré leur quotidien dans la misère et leurs soirées inavouables et humiliantes. Le film est une fiction, mais une fiction ancrée dans la réalité, et bien informée, qui montre les autorités marocaines comme complices de la situation.
Quand les Musulmans nous disent que tout baigne dans leur Oumma , pourquoi, infâmes kouffars que nous sommes , en doutons-nous ?
Antiislam
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Faut-il aller voir ce film pour soutenir le cinéaste ?…
(je vais souvent voir des films dans ce but : L’Apôtre, Wajdja, Timbuktu…excellents films…)
Encore de l’hypocrisie toujours de l’hypocrisie !
C’est pas pour rien qu’ils sont classé le 73 ème pays intelligent au Maroc, évidemment chez nous on les dénonce les porcs qui touchent les enfants, pas comme au Maroc, eux ils les laissent courir, c’est encore pire, grâce à l’Islam.
Mais çà oblige à avoir un peu de courage et d’ intelligence, comme cette courageuse journaliste Marocaine Zineb El Razhoui et pas des couteaux pour encore protéger les violeurs, abuseurs et profiteurs, qui prennent encore l’argent au passage de ces enfants, bien sûr quand on à pas peur de la vérité et oser dénoncer et qu’il y à encore des lois qui protègent comme chez nous, et à condition qu’ils soient appliqués bien sûr.
Curieux que l’on voit pas une seul manifestation comme l’affaire Dutroux pour la pédophilie par exemple, dans aucun pays musulmans, ils sont vraiment parfait ces musulmans, tout beigne chez eux, aucun problème.
Encore un exemple de plus que l’Islam qui fait taire, n’a pas sa place en Europe.
Et je me battrai toute ma vie s’il le faut contre cette saleté d’ Islam en Europe, l’Islam de la haine dehors!.
« …Dans ces cas là, on les assomme et on préviens les flics…. »
Ca part d’un bon sentiment, surement, mais ça ne sert à rien, il n’y a pas de flagrant délit en matière de proxénétisme !!! Vaut mieux prendre l’immat. du vehicule, ou a défaut la description de l’individu et l’heure de présence (du supposé proxo) et communiquer ça aux gendarmes ou à la Sureté Urbaine pour « monter un dossier »…
La caractérisation légale du délit de proxénétisme est « délicate » légalement parlant, réellement, surtout depuis la révision du Code Pénal par un certain ancien président dont on parle beaucoup actuellement (et pas que pour ses casseroles…)
Aucun pays, aucune religion n’échappe à la prostitution.
La prostitution, le viol et les avortements n’ont pas lieu au Maroc. « Cela n’existe pas chez nous » me disait une collègue d’origine marocaine. Même si c’est bien entendu le mensonge absolu, ce qui était atterrant c’est qu’elle le pensait sincèrement, baignée dans sa naïveté de femme bien élevée.
Cela n’existe « tellement pas » qu’il y a de 600 à 800 avortements clandestins chaque jour à Rabat! Ces filles/femmes risquent la prison ainsi que le médecin, 10 ans.
J’entends certains dire que décidément leurs lois barbares ne sont vraiment pas efficaces…
Mais, c’est vrai, un viol n’est plus un viol si la fille violée épouse son mari, etc, etc… à vomir.
https://www.youtube.com/watch?v=cIzy-HUJLPA
Reportage d’Envoyé Spécial – Maroc femmes violées, mariées. (30.33 min)
https://youtu.be/5jfahKDe7DU
Reportage Envoyé Spécial – L’avortement au Maroc (31.04 min)
rectification : … un viol n’est plus un viol, si la fille violée épouse son violeur ».
C’est surtout que la prostitution n’est pas toujours là où on est sensé la trouver. Car il en est une, autrement lucrative, qui tient elle aussi du plus vieux métier du monde, fait fi des frontières et accueille sans préjugé tout ce qui lui assure le confort matériel des nantis tout en conservant l’allure d’une grande dame. Une prostitution qui exerce au national et à l’international, qui sait par expérience comment il faut se donner pour recevoir, des mauvaises langues diraient comment se faire mettre pour toucher le pognon. Des filles sur le trottoir ou en établissement pas toujours clairement défini, j’en ai connu. Difficile de faire sans, le temps du séjour. Tous ceux qui ont déambulé du côté de la place Ménélik me comprendront…Nombreux sont les pays qui interdisent la prostitution à ciel ouvert, mais laissent les filles travailler dans la pénombre des boites de nuit ou le bar- restaurant des hôtels. Comme par hasard, ces pays sont toujours d’obédience musulmane. Mais à deux pas de ma citoyenneté, il existe aussi une prostitution qui se drape de vertu et sermonne en public, joue les outrées sitôt qu’on ose montrer Bruxelles du doigt, pousse des cris de vierge bafouée dès qu’un camp de roms est démonté, laisse l’islam faire le boulot à sa place dans les banlieues, puis au-delà et bientôt partout, accumule des gains minables en bradant ses propres meubles et en vendant son âme aux marchés en général, si possible aux plus offrants. Une vraie pro de la double vie et de la levrette à l’ européenne. La Flèche Rouge, le Tokyo, le quartier 7… ça sentait la sueur, mais on savait au moins à quoi s’en tenir…
Vraiment cons les Marocains !
Comment sortir ces femmes de cet enfer qu’est la prostitution, si on refuse d’en parler ?
Mais, peut-être, n’ont ils pas envie qu’elles en sortent !
Des prostitués, j’en connais des tas.
Des jeunes hommes, des jeunes femmes, de moins jeunes aussi.
Sont étudiants, travailleurs précaires, chômeurs…
Je ne consomme pas, suis très bien avec ma femme, j’offre juste le café, des collègues eux apportent carrément à manger.
Curieusement, les routiers français sont, à vue de nez, assez peu intéressés par l’amour tarifé (bien qu’il y en a)
Les clients c’est plus monsieur tout le monde, qui vient en voiture car le coin est connu.
J’avoue que je ne sais pas quoi penser des clients, les mépriser, les plaindre pour leur solitude ? Je sais pas.
Mais les prostitués en parlent rarement en mal.
Mais ceux que je haï, c’est les proxénètes, même si ils s’occupent peu des aires de repos, ça arrive d’en croiser.
Dans ces cas là, on les assomme et on préviens les flics.
Prostitués c’est déjà dur quand c’est « choisi »
Alors ceux qui exploitent des filles d’Europe de l’Est, à qui ils ont fait miroiter l’eldorado français… Ça passe pas.
Mais ne méprisez pas les travailleurs du sexe, comme je l’ai dis, ils et elles ont souvent « choisi »… Mais faut mettre des guillemets car, ONT ILS VRAIMENT LE CHOIX ?
Si vous ne vivez pas sur Mars et que vous connaissez l’état de l’économie française, vous avez la réponse !