7 Commentaires

  1. Après avoir perdu le franc pour cet euro qui a multiplié par 7 notre coût de la vie, on devrait accepter de sacrifier notre langue française ? Décidemment cette Europe est désolante et révoltante, complètement tournée vers la mondialisation.
    Même convaincus, sera-t-il encore possible aux Français attachés à leur République Laïque d’arrêter ce rouleau compresseur ?
    Merci pour vos interventions, sachez que nous sommes nombreux à penser comme vous, Pierre et tous les intervenants de RL et RR.
    Bon courage pour soutenir les valeurs de notre beau pays.
    Bien cordialement : Jany

  2. Excellente intervention de C.Tasin pour la défense de la langue française! Bien que n’étant pas gaulliste, et au-delà de tout chauvinisme, je pense qu’il est temps que les républicains se réveillent. Plus on tarde à réagir que ce soit pour défendre la laïcité, les droits des femmes, et la démocratie en général, plus le réveil un jour sera difficile. Encore bravo pour votre action, merci pour la langue nationale et la république!

    • Merci de ces encouragements qui me touchent. Je crois qu’effectivement l’enjeu dépasse ce que croient la plupart des gens.

  3. La charte masque l’objectif d’imposer les langues africaines pour imposer l’emploi aux étrangers dans une démarche de préférence étrangère. La juxtaposition des langues régionales, est le moyen de faire passer l’objectif de préférence étrangère dans la fonction publique. Le danger est là !

  4. Bonsoir, avons pensé à vous pour cette journée « tribunal ».

    Mais là n’est pas le propos, puisque c’est ce dernier journal qui m’amène.

    L’émotion à été forte à l’énoncé que vous nous faites des propositions de Hollande concernant les langues régionales.

    Ce type et son entourage sont démoniaques, des fous furieux ! Je suis breton de naissance, mes grands-parents l’étaient également, plus loin dans le temps, nos origines probablement aussi. Mes parents, comme eux, bretons. Tout ce monde parlait breton, l’écrire, à ma connaissance, je ne pense pas. Personnellement, ainsi que ma fratrie, nous ne le parlons pas, ne le comprenons pas non plus. La cause en est qu’ils n’ont pas voulu nous transmettre…

    A la maison, comme à l’école, nous parlions français, et le breton parental servait …pour que précisément, le propos nous échappe…

    Le drôle, c’est que je me souviens des propos de mon père, racontant l’interdiction qu’il avait de parler breton dans la cour d’école sous peine de sanction, et l’obligation de le parler au catéchisme, avec la menace identique à l’appui. J’ai connu plus tard le fils de l’instituteur incriminé… devenu lui …prof de breton et publiant même dans la langue. Ne me demandez pas ce qu’est devenu le fils du curé, car j’ignore s’il n’en a jamais eu.

    Je pense qu’il peut y avoir plaisir, entre « initiés » à s’exprimer dans une langue régionale, c’est une coquetterie une saveur, une âme supplémentaire.

    MAIS les écoles Diwan m’emmerdent ! leurs clercs aussi !

    C’est du domaine du privé.L’ État n’a pas à y fourrer son nez sauf peut-être pour, comme dans les écoles islamiques, vérifier ce qu’il s’y raconte. Autrement dit, pas un rond de la République.

    Je n’ose imaginer la mise en application d’une telle folie, avec des gens réclamant un traducteur pour em..erder le monde ! dans les tribunaux , les administrations, à l’hôpital… nous avons déjà ici les panneaux doublés en breton pour dire la même chose à une lettre près ! et pour tous l’anglais qui nous pourrit la vie dans les moindres actes de l’existence (ordinateur par exemple).

    Et puis, pensons au communautarisme. Je m’étrangle, Christine ! Ces gens qui préparent ça, je préfère ne pas leur lancer les mots qui me viennent pour les désigner.

    Mais à quoi bon dire tout cela ?…

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