Nous sommes à moins d’un mois de l’élection présidentielle américaine, et les grands médias de gauche aux États-Unis sont déchaînés. Ils l’étaient déjà avant que Donald Trump ne soit déclaré atteint par le coronavirus chinois. Ils le sont plus encore depuis. Quand Donald Trump a publié un communiqué disant qu’il avait été testé positif, de multiples journalistes de gauche américains ont dit qu’il avait été très irresponsable et qu’il l’avait cherché, puis ils ont commencé à ajouter qu’il allait sans doute bientôt mourir et que le fait qu’il avait été hospitalisé était un signe qui ne trompait pas.
Quand, dès le lendemain, le médecin de la Maison-Blanche a dit que Donald Trump allait mieux, les mêmes journalistes ont dit que le médecin de la Maison-Blanche dissimulait la vérité. Quand, le jour suivant, Donald Trump est sorti de l’hôpital en voiture pour saluer les milliers d’Américains venus spontanément le soutenir, les mêmes journalistes encore ont dit que Donald Trump était arrogant et allait contaminer les agents du Secret Service contraints de l’accompagner, et ils l’ont traité de criminel. Quand le troisième jour, le médecin de la Maison- Blanche a dit que Donald Trump ne présentait plus aucun symptôme et qu’il pouvait quitter l’hôpital, les mêmes journalistes encore et toujours ont hurlé que le médecin en question était un charlatan et devait faire l’objet d’une interdiction d’exercer la médecine, et quand Donald Trump est effectivement sorti de l’hôpital et est rentré à la Maison-Blanche, les mêmes journalistes sont entrés dans une rage sans précédent, et ceux qui regardaient CNN et MSNBC, les deux grandes chaînes d’information de gauche aux États-Unis, ont pu entendre des hurlements comparant Trump à Hitler, Mussolini et Kim Jong Un, et traitant cette fois Trump de criminel contre l’humanité.
Le discours de Trump disant aux Américains d’être prudents, de regarder le danger en face et de ne pas céder à la peur, car la maladie est désormais moins grave et parce que des médicaments existent, a été décrit de toutes parts comme un discours de mépris pour les gens malades et pour tous ceux qui ont perdu un membre de leur famille au cours de la pandémie. Cette description odieuse a été, bien sûr, reprise par Joe Biden, puis par Kamala Harris au cours du débat qui l’a opposée à Mike Pence. Les hurlements continuent, et vont s’accentuer.
La réalité est que Donald Trump n’a été ni imprudent ni irresponsable. Il n’a cessé de prendre toutes les précautions requises, comme nombre de ceux qui ont été atteints par le virus. Nombre de gens ont été atteints par le virus avaient effectivement pris toutes les précautions requises, mais c’est un virus très contagieux.
La réalité est que Donald Trump a été atteint à un moment où le virus a perdu l’essentiel de sa virulence et où des traitements efficaces existent (et je le précise, ces traitements sont disponibles pour tout Américain qui entend se soigner, s’il les demande, et sont entièrement pris en charge par le gouvernement fédéral : cela devait être dit !), et il a pu se remettre rapidement.
La réalité est que tous ceux qui ont approché Donald Trump, que ce soit à l’hôpital, en voiture, ou dans l’hélicoptère qui l’a amené à l’hôpital, puis reconduit à la Maison-Blanche, étaient protégés de manière adéquate.
La réalité est que Trump s’est conduit comme tous les Présidents américains dignes de ce nom, en chef d’État responsable, n’a cessé de respecter scrupuleusement la Constitution, et a joué pleinement son rôle en donnant du courage aux Américains pour que le pays se redresse et surmonte l’épreuve. Quand Franklin Roosevelt disait qu’il ne fallait pas avoir peur, sinon de la peur elle-même, il jouait son rôle et parlait comme Donald Trump aujourd’hui, et comme Donald Trump parlait dès le mois de mars (il n’a jamais sous-estimé la maladie, mais n’a pas voulu créer la panique, ce que ne peut comprendre un crétin calomniateur de gauche tel que Bob Woodward).
La réalité est que les grands médias de gauche américains ont renoncé à être des médias d’information et sont devenus des instruments de haine et de salissure. Depuis l’élection de Donald Trump en novembre 2016, ils n’ont cessé de mener des campagnes de diffamation, d’inciter à la haine et de salir.
Donald Trump est pleinement rétabli. Son rétablissement devrait donner de l’espoir à tous les malades. Ce n’est bien sûr pas comme cela que les grands médias de gauche américains le voient. Il reprend les réunions publiques dès lundi soir. Nancy Pelosi veut le faire destituer pour incapacité physique d’exercer ses fonctions, et pour dérangement mental. C’est elle qui semble dérangée.
La gauche américaine n’en est pas à un mensonge ou à une saleté près. Elle veut démolir Donald Trump parce qu’il fait ce qu’il a promis, et parce qu’il a rendu son dynamisme à l’économie américaine, qui redémarre à un rythme fulgurant (32 pour cent en rythme annuel au troisième trimestre de cette année). Elle mène un travail de sape insidieux pour détruire les États-Unis de l’intérieur et en faire un pays socialiste, déclinant, déchu. Elle s’est infiltrée dans le système éducatif, le secteur de la culture, les médias et s’est emparée du parti démocrate dont elle a fait un parti islamo-gauchiste. Elle a installé Barack Obama à la Maison-Blanche, et il a accentué le travail de sape et le travail d’infiltration. Hillary Clinton devait parachever ce que Barack Obama a fait. Donald Trump n’était pas prévu au programme. Il s’efforce depuis quatre ans de défaire ce qu’Obama a fait. C’est une tâche immense. Il l’a remarquablement menée à bien, jusqu’à la pandémie, malgré le harcèlement constant qu’il a subi.
Contrairement à ce qu’ont dit les grands médias de gauche aux États-Unis, il a fait ce qu’il fallait pour agir contre la pandémie. La gauche américaine, elle, a tout fait pour aggraver les conséquences de la pandémie, puis, pour détruire davantage encore, elle a fomenté des émeutes qui ont déferlé dans les grandes villes de gauche où la police a reçu l’ordre du maire de gauche de ne pas agir.
La pandémie s’achève aux États-Unis. L’économie se redresse. L’enthousiasme pour Donald Trump est omniprésent. Et j’en parle en connaissance de cause puisque je vis aux États-Unis (j’ajouterai que je me suis déplacé ces dernières semaines dans plusieurs États, en avion et en voiture).
Il n’y a aucun soutien visible pour Joe Biden. Ceux qui sont hostiles à Trump sont des gens excités par la haine disséminée par les grands médias de gauche, et ils sont violents, insultants, et voteront contre Trump, pas du tout pour Biden, même si cela les conduira à mettre un bulletin de vote Biden dans l’urne. Ils peuvent tuer. On vient de le voir à Denver. On l’avait déjà vu à Portland.
Les États-Unis sont dans un contexte de fraudes massives qui vont entraîner des contestations, et ce sont des fraudes de gauche. La Cour Suprême pourrait être amenée à trancher, et c’est pour cela qu’il est important qu’il y ait à la Cour Suprême une majorité solide de juges respectant la Constitution, et qu’il faut qu’Amy Coney Barrett soit intronisée avant l’élection.
Des troubles dont nul ne peut prévoir l’intensité se produiront au soir de l’élection. Le résultat reste incertain.
Si tous les Américains connaissaient le programme démocrate, l’étendue de la corruption de la famille Biden, l’état réel du pays, et ce qu’a accompli Donald Trump, celui-ci serait réélu triomphalement.
Malheureusement, des millions d’Américains pourraient voter contre Trump, en raison de la haine instillée en eux par CNN et MSNBC.
Les Français qui imaginent s’informer grâce aux grands médias français ne savent rien, car les grands médias français ne les informent pas, et colportent la haine. Ils se conduisent de manière criminelle, car ils empêchent les Français de savoir.
Après le 3 novembre, Trump restera Président, et l’espoir de sauver la démocratie et la liberté sur terre survivra. Trump incarne les valeurs de l’Amérique et de l’Occident. Si Trump est battu, Joe Biden sera élu, et ce sera très différent, car Joe Biden incarne, sur tous les plans, le contraire de ce qu’incarne Trump. Les premiers à se réjouir sur la planète seront les groupes terroristes islamiques, les mollahs iraniens, le dictateur chinois. Les islamo-gauchistes du monde occidental se réjouiront aussi, ainsi que des millions d’idiots utiles. La joie des idiots utiles cessera quand ils deviendront des idiots inutiles.
Ceux qui veulent comprendre peuvent lire mon livre Après Trump ?* Ce sera le seul livre qui donne tous les moyens de comprendre. Et comprendre est important, car la situation est grave, et ne pas comprendre conduit à être victime d’événements qu’on ne parvient pas à déchiffrer.
Guy Millière
*Guy Millière, Après Trump ?, Balland, 2020, 221 p., 18 euros.
https://ripostelaique.com/covid-trump-na-ete-ni-imprudent-ni-irresponsable-il-a-ete-exemplaire.html
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Sinon, j’espère que TRUMP sera réélu, et qu’il pourra contrer les magouilles démocrates,
c’est un Grand Président,
VIVE TRUMP ! longue vie à TRUMP !
merci pour cet article très intéressant !
une petite voisine m’a dit très excitée que nous, Français ,nous étions des monstres, car nous avons fabriqué le désert du Sahara, qui n’était que verdure et vergers avant notre intervention, je lui ai demandé d’où elle sortait ça, c’est sa prof des sciences de la terre.
Voilà comment on introduit toutes sortes de mensonges et d’idées folles, comment les profs de gauche instillent la haine dans les jeunes cerveaux de leurs élèves , à force de manipulation malhonnête,
c’est vrai ce que vous dites ils militent ces socialopes !
@Christian Lesuffleur
je suis d’accord avec vous, j’ai pu constaté personnellement que l’école n’apprend plus aux élèves à réfléchir et à se forger un esprit critique. Elle vise désormais à doter les élèves des « bonnes opinions ». Un peu comme la télévision. Il y a cet évangile du Camp du Bien qu’ils doivent avoir fait leur : amour de la minorité, haine du « facho », et tutti quanti.
Plus de réflexion, mais de l’opinion. Une tête « bien pleine », plutôt qu’une tête « bien faite ».
Qui en france peut encore croire a nos » journalistes » ? Les memes gogos qui vote a gauche .je discutais avec mes petits enfants et ils me parmaient en mal de Trump Je leur ai demande d ou ils tenaient leur propos Et c est leur prof qui les De- informe .L ecole est gangrene par cette gauche pourri