Lettre ouverte au père Zanotti
Bonjour mon Père,
J’ai lu la lettre (1) dans laquelle vous vous adressez aux dessinateurs de Charlie Hebdo qui ont perdu la vie, et certains de vos propos m’ont perturbée. Vous dites dans votre lettre:
« Amis, auriez-vous la gentillesse de dire un mot au créateur du monde afin qu’il continue de juger avec indulgence ses enfants d’en bas qui le rejettent ou qui prétendent le défendre en tuant leurs semblables ? »
Je crois que vous faites une confusion, mon Père, entre ceux qui rejettent Dieu car ils ne sont pas croyants, ce qui n’est pas un crime, et ceux qui tuent au nom de Dieu, et qui sont des criminels. Appeler l’indulgence de Dieu sur les athées et les criminels dans une même phrase est choquant.
« …et que les hommes comprennent enfin que travailler à la mort de Dieu dans les consciences ou tuer au nom de Dieu revient à massacrer l’homme lui-même ! »
Ce n’est pas la même chose: ceux qui tuent au nom de Dieu doivent être jugés, emprisonnés, déchus de la nationalité française, puis expulsés vers l’un des 57 pays où l’on adore ce Dieu qui hait (2). Tandis que ceux qui travaillent «à la mort de Dieu dans les consciences» ne sont pas de mauvais bougres, ils croient bien faire. Les plus acharnés d’entre eux donnent l’impression d’être en souffrance. Les dessinateurs de Charlie Hebdo étaient probablement eux aussi, sous leur cynisme, en souffrance. Connaissez-vous beaucoup de journaux chrétiens qui font de l’offense aux athées leur fond de commerce ? Offenser les croyants (surtout les chrétiens) est le fond de commerce de Charlie Hebdo. Ça en dit long sur leur malaise face aux croyants, mais leurs offenses ne sont pas contraires à la loi. Tandis que tuer ces dessinateurs est contraire à la loi, la loi de Dieu et la loi des hommes. Evitons de mettre les victimes et leurs bourreaux dans le même sac.
« Cette retenue dans le langage, cette réserve bienveillante n’est pas une faiblesse, elle est une intelligence qui protège les liens et qui, en évitant de faire monter le sang à la tête de l’adversaire potentiel, empêche par rebond de le faire jaillir de la tête d’un autre ».
Etre réservés et bienveillants vis-à-vis d’une idéologie criminelle comme l’islam pour éviter que le sang ne jaillisse de nos têtes est une manière de céder à un immonde chantage.
En islam, la bienveillance et la gentillesse sont vues comme de la faiblesse, ou pire, comme un aveu de culpabilité, et donc comme un encouragement à l’agression. L’histoire prouve que l’islam ne s’incline que devant la force, car le Dieu de l’islam donne la force à ceux qu’il approuve. En islam, les faibles ont toujours tort, car leur faiblesse est une preuve que Dieu les a abandonnés.
Quand je demande à des musulmans croyants pourquoi ils ne protestent pas contre l’extermination commise par leurs coreligionnaires contre les chrétiens d’Orient, ils me répondent que si ces chrétiens étaient innocents, comment se fait-il que Dieu ne leur vienne pas en aide et permette leur extermination ?
L’islam nourrit des intentions criminelles envers les non-musulmans, même si ces intentions sont masquées dans un premier temps par des sourires mielleux et des salamalecs bien veloutés. Cette attitude conciliante dure le temps que l’islam devienne majoritaire dans un lieu donné. Pour savoir comment l’islam se comporte une fois devenu majoritaire, il nous suffit d’observer ce qui se passe dans les 57 pays envahis par l’islam, et où les musulmans sont devenus majoritaires.
Le Dieu des musulmans leur interdit de signer la paix quand ils sont en position de force. Donc quand les imams proposent de dialoguer et de négocier, c’est quand l’islam est en position de faiblesse et qu’il n’est pas encore prêt à attaquer. (3)
Mon Père, pourriez-vous sortir un instant de vous-même, de votre esprit imprégné des Evangiles et de l’infinie bonté de Jésus, pour tenter d’entrer dans la peau d’un musulman croyant ? Vous vous apercevrez qu’Allah ne laisse pas d’autre choix à ceux qui veulent être vraiment ses adeptes que d’être criminels, et de massacrer les non-musulmans. Préserver de bonnes relations avec les musulmans ne changera rien à la solution finale ordonnée par Dieu dans le coran. Et passer sous silence les intentions criminelles de l’islam hâtera leur mise à exécution.
Bien sûr nous pouvons dire la vérité sur l’islam d’une manière moins vulgaire et moins provocante que les dessinateurs de Charlie Hebdo, mais nous devons la dire.
En nous incitant à respecter cette idéologie meurtrière déguisée en religion, vous nous condamnez à mort sans le vouloir. Je vous prie d’arrêter de paver notre enfer avec vos bonnes intentions.« Cette réserve, tout homme peut la vivre, elle est vraiment à la portée de tous, sauf de l’extrémiste qui donne aux idées plein pouvoir y compris à l’irrespect qui, paraît-il, gagne la partie ».
Il n’y a aucun extrémisme à dire la vérité sur l’islam. Et Jésus dénonçait le mal sans réserve. Jésus ne nous a pas enseigné à rester en de bons termes avec les représentants d’une idéologie criminelle comme l’islam, il ne nous a pas recommandé d’oeuvrer à notre propre perte. Au cas où vous ne le sauriez pas, l’islam oeuvre à notre perte. Jésus ne s’est pas sacrifié par masochisme, mais pour nous éloigner du mal, et pour nous interdire les sacrifices humains et autres sanctions barbares qui étaient commises à son époque, et que Mahomet a autorisés 7 siècles plus tard, et même pratiqué de ses propres mains.
Par sa crucifixion, Jésus a remplacé le sacrifice d’autrui par le sacrifice de soi, afin de nous démontrer que lorsque nous lapidons ou crucifions, nous cherchons à faire passer pour volonté divine ce qui est en fait notre propre violence collective. Il nous invitait à sortir de la barbarie pour devenir des humains.
Mais il est important de noter que si Jésus s’est sacrifié, il n’a pas pour autant demandé aux chrétiens de se laisser sacrifier jusqu’au dernier, afin que le christianisme disparaisse et que l’islam triomphe.
Pourquoi notre clergé nous pousse-t-il au suicide collectif ? Jésus ne s’est pas suicidé. Pourquoi nous incitez-vous à fonder des familles, à mettre au monde des enfants, si vous nous désarmez quand l’islam met nos enfants en danger ? Jésus n’a pas interdit la légitime défense, il l’a même encouragée (4).
Dire la vérité, mon Père, est plus important que de préserver l’apparence de bonnes relations avec les adeptes d’une pseudo-religion qui asservit et massacre, depuis 14 siècles, ceux qui refusent de s’y convertir. Il est très décevant de lire qu’un membre de notre clergé nous conseille de taire la vérité pour ne pas provoquer l’ire des mahométans. Est-ce de notre faute si la vérité blesse ?
Pendant que les musulmans crient au scandale à chaque caricature (que les chrétiens supportent, eux, sans tuer quiconque) des milliers de chrétiens sont régulièrement massacrés en Orient, en Afrique, alors qu’aucun d’entre eux n’a caricaturé Mahomet.
Au lieu de nous donner des leçons de diplomatie envers l’islam, vous devriez dénoncer le génocide par lequel les musulmans ont commencé à décimer les chrétiens d’Orient dès le 7ème siècle, génocide qui perdure encore aujourd’hui.
Vous qui admirez Saint Maximilien Kolbe (5), le prêtre polonais victime du nazisme, n’êtes-vous pas rebuté par le nazisme de l’islam ? Ne savez-vous pas que des chrétiens sont crucifiés en Syrie, vendus comme esclaves en Irak, ou brûlés vifs au Pakistan ?
Face à cette horreur intégrale, comment pouvez-vous nous demander d’être respectueux envers ceux qui imitent l’exemple d’un prophète qui était pédophile, violeur, égorgeur, tortionnaire, pillard et esclavagiste ?
Auriez-vous osé vous réclamer du christianisme si Jésus avait commis ne serait-ce qu’un seul des crimes commis et légalisés par Mahomet ?
Je sais bien que les musulmans qui martyrisent les chrétiens dans les pays à majorité musulmane ne représentent qu’un faible pourcentage des musulmans dans le monde, qui dans leur majorité sont paisibles. Mais justement, mon Père: ne sont-ils pas trop paisibles, ces musulmans modérés, avec leur mutisme collectif et permanent face aux tortures et massacres commis par leurs coreligionnaires ? Nous est-il interdit d’avoir des doutes à leur sujet quand ils cherchent par tous moyens à dédouaner l’islam des crimes commis par des musulmans, alors que ces crimes ont été ordonnés par Dieu dans le coran, et commis par Mahomet lui-même ?
D’ailleurs le pourcentage des musulmans intégristes est largement sous-évalué, car tous les intégristes ne posent pas de bombes, mais se contentent de soutenir ceux d’entre eux qui posent des bombes.
A partir de quel pourcentage d’intégristes peut-on considérer que l’islam est une idéologie criminelle ? J’ai parfois l’impression que tant qu’il y aura un musulman, un seul, qui n’agit pas en terroriste, nous aurons droit au traditionnel triptyque «lislamcépaça», «fopastigmatizé» et «padamalgam».
Il y a huit siècles, Marco Polo au cours de ses voyages avait déjà noté le peu de différence qui existe entre un musulman fanatique et un musulman modéré. Il a écrit:
«Le musulman militant est celui qui égorge l’infidèle, pendant que le musulman modéré tient les pieds de la victime».
Mon Père, nous devons garder à l’esprit que TOUS les musulmans vénèrent Mahomet, ce prophète criminel, et le considèrent comme «le plus parfait des hommes».
TOUS les musulmans, qu’ils soient jihadistes ou pas, ont le coran pour livre «saint», avec ses quelques 250 versets violents, dont certains ordonnent l’extermination des non-musulmans.
TOUS les musulmans, qu’ils soient modérés ou immodérés, ont en commun d’insulter les chrétiens et les juifs 17 fois par jour dans leurs prières, et cela depuis leur plus tendre enfance. (6)
Pourquoi demandez-vous aux non-musulmans de respecter les musulmans qui les insultent, plusieurs fois, tous les jours, et dans leurs prières de surcroît ? L’on en vient à se demander ce que les musulmans disent de nous quand ils ne sont pas en prière !
Pourquoi notre clergé nous donne-il uniquement le droit de subir ? Pourquoi n’y a t-il jamais de réciprocité entre chrétiens et musulmans ?
Pourquoi la majorité de nos prêtres ne protestent-ils pas quand des mosquées poussent comme des champignons en Europe, alors qu’il est quasiment impossible de construire des églises dans les pays à majorité musulmane, et que les vieilles églises orientales qui datent d’avant l’invasion musulmane ont souvent été détruites, ou transformées en mosquées, ou bien tombent en ruines sans que l’on permette aux chrétiens de les restaurer ?
Pourquoi est-ce légal en Europe de monter des étals en pleine rue pour distribuer des exemplaires du coran (7), tandis que les chrétiens natifs des pays à majorité musulmane sont jetés en prison si l’on trouve sur eux un seul exemplaire de la Bible ?
Pourquoi nos prêtres ne protestent-ils pas contre le saccage et le pillage régulier de nos églises en France et ailleurs en Europe ?
Quand nous ne protestons pas contre les exactions des musulmans, notre mansuétude ne les adoucit pas, ne leur fait pas honte. Au contraire, elle les encourage, les conforte dans l’idée que nous pensons mériter ce qu’ils nous font subir, car autrement nous nous serions rebellés.
Dans leurs sermons, nos prêtres nous parlent beaucoup d’empathie, nous conseillant de nous mettre à la place des autres pour pouvoir les comprendre. Mais certains prêtres sont incapables d’empathie lorsqu’il s’agit d’islam. Au lieu de vous mettre à la place des musulmans, vous leur prêtez votre propre raisonnement de chrétiens. Or la trame du raisonnement musulman n’est pas la même que la nôtre. C’est une forme de paresse intellectuelle que d’appliquer à l’islam des schémas de pensée chrétiens. Et c’est aussi un manque de respect, car en partant du principe qu’un musulman utilise le même raisonnement que vous qui êtes chrétien, vous le «baptisez» de force. Or le baptême forcé est pervers, qu’il soit pratiqué en pensée ou en action (8).
Les responsables musulmans, eux, sont habiles, et connaissent les principes qui animent les chrétiens, qui ont pour devoir de protéger le faible. C’est pour cela que les imams sont passés maîtres dans l’art de la victimisation. Ne trouvez-vous pas étrange que l’islam se comporte en loup dans l’Orient islamisé, tout en se présentant comme un agneau dans l’Occident en cours d’islamisation ?
«Que faut-il donc faire ? Rester chez soi ? Faire des provisions ? Lire le Coran ?»
Si vous n’avez pas encore lu le coran, je trouve que c’est grave, pour un prêtre.
Et au cas où vous l’auriez lu, je trouve encore plus grave que vous nous incitiez à respecter l’islam.
«J’aurais préféré que le Président de la République demandât humblement à tous les Français de calmer le jeu de la haine en les suppliant de ne plus blesser la conscience d’autrui au nom d’une liberté d’expression pas assez réfléchie, autrement dit, en nous invitant tous à prendre la résolution de respecter profondément les croyances qui sont chères à des millions de personnes. C’est à ce prix que la paix fera son lit».
Mon Père, le respect se mérite, il ne se commande pas (9).
Croyez-vous que si nous cachions la vérité qui «blesse la conscience» des musulmans, ils se détourneront de l’exemple criminel de Mahomet ? Pensez-vous que notre silence sur la criminogénie de l’islam transformera l’islam en une religion de paix ?
Depuis 14 siècles que l’islam existe, la paix n’a jamais «fait son lit» dans aucun des pays que l’islam a envahi et islamisé par l’épée.
En islam, les périodes de paix avec les non-musulmans sont provisoires, tactiques, elles ne durent que tant qu’elles profitent aux musulmans, ou lorsque les musulmans ne sont pas encore suffisamment nombreux et armés pour exterminer les non-musulmans.
Et même quand les musulmans finissent d’exterminer les non-musulmans de leur entourage, ils ne vivent pas en paix, ils se massacrent entre eux. Ceux qui pensent être de bons musulmans massacrent ceux qu’ils pensent être de mauvais musulmans. (10)
L’islam est réfractaire à la paix, car c’est une idéologie guerrière dans son essence-même. La paix dans les pays musulmans est imposée par des dictatures sanglantes. Mais dès que le dictateur tombe, la guerre éternelle de l’islam reprend de plus belle (ex: Syrie, Irak, Libye…). Mahomet était un criminel de guerre, et le glaive est le symbole de l’islam, qui se nourrit de la haine des autres, tous les autres. Il faut simplement qu’il y ait un «autre» à haïr pour que l’islam puisse prospérer.
Et le malheur veut que la mentalité actuelle de nombreux Français épouse à merveille celle de l’islam. Autant les musulmans croyants se construisent contre les non-musulmans, autant ils sont nourris dès l’enfance par le rejet, le mépris et la domination de l’autre, autant les Français non-musulmans sont élevés dans la haine de soi et le culte de l’autre, n’importe quel autre, fut-il leur pire ennemi.
En France, l’autre a toujours raison. L’étranger tient le haut du pavé, à condition qu’il ne soit pas chrétien. Musulman et d’origine étrangère, de préférence natif d’un pays ennemi de la France, tel est le profil idéal pour faire la loi et culpabiliser les Français quoiqu’ils fassent. D’ailleurs il n’est plus nécessaire de culpabiliser les français, car leur culpabilité est à présent automatique.
Dès qu’un odieux attentat terroriste est perpétré par des musulmans, les journaux, les responsables politiques français y vont de leur couplet sur «l’échec de la France à intégrer les musulmans». Puis l’échec de la Belgique, de l’Angleterre, de l’Espagne, de l’Australie, du Danemark…à intégrer leurs ressortissants musulmans. Je me demande pourquoi les 57 pays musulmans ont échoué, eux aussi, dans «l’intégration» de leurs propres ressortissants terroristes, qui se sont «radicalisés» sur leur propre terre et culture de naissance !
Ce qui me surprend le plus chez mes amis Occidentaux, c’est qu’ils semblent très soucieux de l’image que les musulmans ont d’eux. Leur hantise ? Etre traités de racistes, ou d’islamophobes, sachant que l’islam n’est pas une race, et que la peur de l’islam est plus que justifiée.
Les musulmans, eux, se fichent éperdument de l’opinion qu’ils inspirent aux non-musulmans, sauf dans les pays où ils sont encore minoritaires, et où ils ne peuvent pas encore imposer la charia islamique aux non-musulmans. Dans les pays occidentaux, où les musulmans sont pour l’instant minoritaires, les imams sont les champions du dialogue inter-religieux. Mais dans les pays où les musulmans sont devenus majoritaires, les imams ne sont pas de grands dialogueux devant l’Eternel. (11)
Marie-Thérèse Urvoy, une islamologue de renommée internationale, raconte souvent cet incident qui l’a marquée:
«Dans les années 1970, le Vatican travaillait beaucoup sur le dialogue islamo-chrétien. En 1974, un prêtre égyptien dominicain, le Père Georges Anawati, a été chargé de prendre rendez-vous avec le recteur de la célèbre faculté de théologie musulmane d’Al-Azhar, au Caire. Le Père Georges s’entendit répondre:
«Mais pourquoi dialoguer ? Ici, l’islam a tout prévu, il y a un statut qui couvre tous les besoins des non-musulmans, la charia a tout prévu».
Puis le recteur musulman se reprend:
«Mais s’il s’agit d’un dialogue pour les musulmans qui vivent hors des terres d’islam, à ce moment-là, il n’y a pas de mal à dialoguer, car cela facilitera la vie des musulmans en terre non-musulmane, et fera mieux connaître l’islam à l’Occident.»
«Chers Jean, Georges, Stéphane et Bernard, votre mort ignominieuse me fait une peine immense et je voudrais qu’elle ne soit pas inutile».
Vous rendez inutile la mort de tous ceux que l’islam massacre depuis 14 siècles en refusant obstinément de nommer le mal. Vous n’avez pas prononcé le mot «islam» une seule fois dans votre lettre.
Ce génocide est ordonné dans le coran, qui est la parole de Dieu pour les musulmans. Il a commencé du vivant et sous les ordres de Mahomet, et avec sa participation active. Ce n’est donc pas une «mauvaise interprétation» des versets du coran, comme le prétendent les imams sirupeux qui vous invitent à boire du thé à la menthe dans le patio de la mosquée. La biographie de Mahomet est aussi sanglante que certains versets du coran, donc les jihadistes ont très bien interprété la mission meurtrière qui est la leur. Car autrement ce serait bien la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une erreur d’interprétation dure depuis 14 siècles, fait 270 millions de morts, sans causer la moindre révolte chez les musulmans qui ont interprété correctement !
Mon père, comment pourrions-nous combattre un mal que nous n’osons même pas nommer ?
Tant d’autres l’ont dit avant moi: «Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde» (12).
«Vous avez oublié la permanence de la cruauté humaine quand elle se met au service d’une cause jugée absolue».
La cruauté est certes humaine, mais toutes les religions ne recommandent pas la cruauté. En l’occurrence, cette cruauté découle d’une idéologie criminelle déguisée en religion. Mahomet a commandité l’assassinat de plusieurs de ses contemporains, hommes comme femmes, qui s’étaient moqués de lui, ou qui avaient mis en doute le fait qu’il était l’envoyé de Dieu (13). Si Dieu existait, il ne nous enverrait jamais un criminel comme prophète. En tant que prêtre, votre mission est de sensibiliser vos ouailles à ce danger. Tous les jours, des Français de souche européenne se convertissent à l’islam, et certains d’entre eux partent en Syrie ou ailleurs pour devenir des criminels, car en islam, le crime est considéré comme le plus court chemin vers le paradis. Peut-être qu’il y aurait moins de conversions à l’islam si le clergé chrétien dénonçait l’essence criminelle de cette idéologie (14). Au lieu de quoi vous nous demandez de respecter les «croyances chères à ces millions de personnes». Le nazisme avait lui aussi de nombreux adeptes !
Ce n’est pas parce-que les musulmans sont nombreux qu’ils ont raison de vénérer un criminel. Le nombre n’est pas un argument. Jésus était seul sur la Croix.
«Vous avez touché à de l’intouchable, et en réponse, vous qui étiez intouchables de par votre dignité d’homme, vous avez été plus que touchés, abattus en plein cœur».
Pourquoi seul l’islam serait-il intouchable ? Les dessinateurs de Charlie Hebdo avaient touché à toutes les religions, surtout au christianisme, mais ce sont des musulmans qui les ont exécutés.
«Au-delà de toutes les décisions politiques qui seront prises, je l’espère, pour contrecarrer les actes terroristes, intercédez pour nous, chers Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, rendez-nous intelligents et respectueux des croyances d’autrui pour que la France se distingue encore par sa hauteur civilisatrice».
L’intelligence ne consiste pas à respecter les croyances d’autrui quelles que soient ces croyances. L’intelligence consiste à faire la différence entre une croyance respectable et une idéologie criminelle déguisée en religion. Et à démasquer la seconde.
Vous qui avez été revêtu du Christ, comment pouvez-vous respecter une «croyance» qui légalise la lapidation, l’amputation, la décapitation, l’égorgement, le crucifiement, la pédophilie, l’esclavage, le viol des captives, le pillage, le mariage forcé, le mariage de jouissance (15), la polygamie, la répudiation, et le jet d’homosexuels dans le vide (16) ?
Ces horreurs ont été autorisées par Mahomet, et parfois commises de ses propres mains.
En tant que chrétienne, je me sens trahie par vous et par de nombreux membres du clergé chrétien. Au lieu de vous joindre à notre combat sous la bannière du Christ, vous nous conseillez de courber l’échine devant une pseudo-religion qui nous extermine petit à petit, pendant que ses adeptes poussent le toupet jusqu’à se poser en victimes. Il ne faut pas vous laisser attendrir par les musulmans de votre entourage, qui vous donnent du «mon Père» avec des sourires obséquieux. Il s’agit d’une déférence provisoire, car pour attaquer le troupeau, il faut d’abord séduire le berger.
En Orient où je suis née, les prêtres sont régulièrement capturés par des musulmans, torturés, scalpés, et égorgés. Nous retrouvons leurs dépouilles mutilées, avec les yeux crevés, la langue coupée…bref je vous épargne le reste. Si vous aviez de la compassion pour vos collègues massacrés sous d’autres cieux, ou pour les chrétiens enchaînés dans les geôles musulmanes, comme Asia Bibi au Pakistan, Mariam Ibrahim au Soudan, et bien d’autres (17), vous n’oseriez pas nous exhorter à ménager la susceptibilité de nos bourreaux, qui nient le sacrifice de Jésus, en prétendant qu’il n’a pas été crucifié. D’après Mahomet, Jésus nous a trompés en nous faisant croire qu’il s’est sacrifié pour nous, mais en réalité il s’est éclipsé au dernier moment, laissant crucifier un pauvre hère à sa place. Nous chrétiens ne sommes pas supposés nous offusquer de la manière dont les musulmans défigurent notre religion, nous accusent de tri-théisme (18), et d’avoir falsifié la Bible, ni du fait qu’Allah nous traite dans le coran de mécréants, d’associateurs, d’impuretés, d’infidèles, d’hypocrites, d’impies et d’égarés.
Dans ce sens-là, l’insulte ne mange pas de pain, il n’y a pas de quoi en faire tout un foin.
«Seule la bonté personnelle qualifie un être et l’ennoblit jusqu’à la moelle, je le crois. Pour cela, je mourrais».
Hélas, votre bonté mal orientée signe notre mort collective, et donc la fin du christianisme. Car votre bonté envers l’islam nous expose au mal, alors que votre mission est de nous en tenir éloignés, et même de nous en dégoûter. Vous êtes supposé nous présenter le christianisme comme une manière de vivre, pas comme une doctrine masochiste et suicidaire de soumis, qui s’inclinent indifféremment devant le bien comme devant le mal, ouvrant les bras à Dieu comme au diable. Votre manque de lucidité ne vous permet pas de nous guider, nous chrétiens, dans le combat que Jésus nous commande de livrer contre le mal.
Car l’islam est un mal, mon Père. Vous le sauriez si vous aviez lu le coran.
La Sainte Vierge (dont vous avez accolé le prénom au vôtre) n’était guère tendre avec le serpent, symbole du mal. La Mère de Jésus n’a pas donné de leçons de «vivre-ensemble» avec le mal, qu’elle a écrasé sous ses pieds, elle qui était la bonté-même. C’est la seule et unique manière de procéder, car la diplomatie face au mal n’a jamais payé. On ne dialogue pas avec le mal, on ne peut pas l’amadouer, ni le juguler, ni le séduire. C’est son rôle à lui de nous séduire, et c’est à nous de lui résister coûte que coûte.
Souvenez-vous de la légende de Saint Georges, qui a trouvé sous les remparts d’une Cité un dragon féroce, qui exigeait des habitants de la ville qu’ils lui livrent chaque jour des jeunes gens ou des jeunes filles, sous peine de mettre le feu à la Cité. Tous les jours, le dragon dévorait les malheureuses personnes qui lui était livrées. Ce sacrifice quotidien ne calmait pas sa voracité, au contraire il l’entretenait. Saint-Georges décida de briser le cycle de la terreur en affrontant le dragon, en terrassant le mal. C’était un pari risqué, mais ne pas le tenter allait livrer toute la Cité à une disparition progressive mais certaine.
Ce n’était donc pas le dragon qui menait la Cité à sa perte, mais la peur des citoyens d’affronter le dragon.
Nous sommes un peu dans la même situation: l’islam dévore notre pays chaque jour un peu plus. Plutôt que de l’affronter, le démasquer et le chasser, nous le caressons dans le sens du poil. Dans l’espoir de l’apprivoiser, nous lui livrons régulièrement des parcelles de notre liberté, de notre pays, hypothéquant ainsi l’avenir de nos enfants, et réduisant à néant les sacrifices de nos anciens.
Jésus nous a recommandé d’aimer nos ennemis, mais de combattre le mal. S’il est vrai qu’à force d’amour, un ennemi pourrait se transformer en ami, il en est autrement pour le mal. En aimant le mal, nous ne le transformerons pas en bien. Au contraire, notre amour pour le mal nous transformera, et fera de nous des malsains, voire des malfaisants. Le mal n’est pas une mode, ou un péril ponctuel, qui finira par passer si en attendant nous faisons le gros dos ou profil bas. Tant que le bien existera, le mal sera son adversaire. C’est une lutte dans laquelle notre clergé est supposé nous assister.
Si en tant que Pasteur, vous ne vous sentez pas capable d’épauler vos brebis dans ce combat, il vaut mieux que vous nous laissiez nous organiser comme un troupeau sans berger, plutôt que de nous prendre par la main pour nous mener allègrement vers notre sacrifice collectif sur l’autel de l’islam.
Là où je suis née, aller à la messe est un exercice périlleux, car bien que les chrétiens d’Orient ne caricaturent jamais Mahomet, leurs églises sont régulièrement la cible d’attentats meurtriers.
C’est donc en France que j’ai goûté au plaisir d’aller à la messe le coeur léger. Mais quand je lis votre lettre, je perds l’envie d’aller à l’église, parce-que je m’y sens encore plus anxieuse que lorsque je vivais en Orient.
Car dans les églises d’Orient le danger est physique, et il vient de l’extérieur. Tandis qu’en Occident le danger est moral, et il vient en partie de l’Eglise elle-même.
De grâce, mon Père, lisez le coran.
EVA
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(1) http://www.blog.sami-aldeeb.com/2015/01/22/lettre-dun-pere-catholique-aux-dessinateurs-de-charlie-hebdo/
(2) Comme en témoigne Wafa’ Sultan, une psychiatre Américaine d’origine syrienne, ex-musulmane, dans son livre «A God who hates» (Un Dieu qui hait), ainsi que la journaliste chrétienne Brigitte Gabriel, Américaine d’origine libanaise, dans son livre: «Because they hate» (Parce-qu’ils haïssent)
(3) «Ne faiblissez pas et n’appelez pas à la paix quand vous êtes les plus hauts (les plus forts), qu’Allah est avec vous, et qu’Il ne vous frustrera pas [du mérite] de vos oeuvres. » Coran, sourate 47, verset 35
(4) A l’approche du moment de son arrestation, Jésus a demandé à ses disciples de s’acheter une épée, et a demandé à ceux qui n’avaient pas d’argent de vendre leur manteau pour s’acheter une arme. Il craignait non pas pour lui-même, mais que ses compagnons ne soient blessés ou tués pendant son arrestation. Il n’a pas demandé d’épée pour lui-même.
Au moment de l’arrestation de Jésus, Saint Pierre a usé de son arme, blessant l’oreille de Malchus, le serviteur de Caïphe, le souverain sacrificateur. Voyant que Pierre n’était pas en danger, Jésus lui ordonna de ranger son arme, guérit l’oreille du serviteur, et se laissa arrêter sans opposer de résistance.
(5) Saint Maximilien Kolbe est un prêtre polonais qui, en 1941 à Auschwitz, a offert sa vie en échange de celle d’un père de famille. Le Pape Jean-Paul II l’a canonisé en 1982, en présence du père de famille que le Père Kolbe a sauvé, et qui a survécu au camp de concentration.
(7) Ce qui n’est pas un problème à la condition que ces exemplaires du coran ne soient pas des traductions édulcorées, comme celle de Malek Chebel, par exemple, afin d’endormir la méfiance des lecteurs non-musulmans.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/01/26/01016-20150126ARTFIG00414-quand-des-salafistes-offrent-le-coran-en-plein-paris.php#xtor=AL-201%C2%A0
(8) Le philosophe Rémi Brague fait cette remarque dans la préface du livre «Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans» du Père François Jourdan (Editions l’Oeuvre spirituelle)
(9) La citation est de Jean-Henri Fabre (1823-1915), qui était un homme de science, fasciné entre autres par la botanique.
(10) Les conflits inter-musulmans n’opposent pas uniquement des musulmans sunnites à des musulmans chiites (Irak), ou bien des musulmans sunnites contre des musulmans alaouites (Syrie), mais aussi des musulmans sunnites entre eux, comme le prouvent les nombreux massacres commis en Algérie dans les années 1990, pendant lesquels des Algériens sunnites massacraient d’autres Algériens sunnites, décimant des familles entières de civils, n’épargnant ni femmes ni enfants ni personnes âgées.
(12) Albert Camus est l’auteur de cette citation, mais sous une forme différente:
« Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde ».
(13) Les deux exemples les plus connus sont ceux du poète Kaab ibn al Achraf, et de la poétesse Asma bint Marwâne, que Mahomet fit assassiner par surprise, parce-qu’ils s’étaient moqués de lui. Asma bint Marwâne fut poignardée pendant son sommeil, entourée de ses 5 enfants, le petit dernier couché sur son sein. Kaab ibn al Achraf fut trompé par un compagnon de Mahomet, qui se lia d’amitié avec lui pour gagner sa confiance, puis revint le voir accompagné par d’autres hommes, et l’assassina par surprise, alors que Kaab se croyait en présence d’amis. Le tout avec l’approbation de Mahomet.
(15) Note pour les jeunes lecteurs:
Le mariage de jouissance (en arabe: zawâj al mout’aa) est la version maritale du C.D.D.
Il s’agit d’un mariage à durée déterminée, qui peut durer une demi-heure, quelques jours, un mois, un an, ou plus. Initialement prévu pour les musulmans qui font le jihad loin de leur foyer et de leur(s) épouse(s), il permet aux hommes musulmans de satisfaire leurs besoins sexuels sans pour autant commettre l’adultère, puisqu’ils se marient légalement pour une heure, un jour, ou plus. Le mariage de jouissance est souvent utilisé dans le cadre de la prostitution, pour se prémunir contre le risque de lapidation pour adultère. Des imams présents dans les hôtels de passe marient à longueur de journée, moyennant finances, les prostituées avec les clients de passage. Ces couples éphémères divorcent aussitôt l’acte sexuel accompli dans l’une des chambres de l’hôtel.
Ainsi les jeunes musulmanes qui partent en Syrie pour servir de repos du guerrier aux jihadistes sont mariées plusieurs fois par jour, avec chaque jihadiste qui partage leur couche. Mais les captives non-musulmanes ne sont pas épousées par les jihadistes, car elles ont un statut d’esclaves, et Dieu autorise dans le coran tout musulman à avoir des rapports sexuels avec ses esclaves sans les épouser. Le mariage de jouissance est traduit «mariage provisoire» dans les langues occidentales, car c’est moins choquant pour les Occidentaux. Mais en arabe, on dit mariage «de jouissance» (mout’aa) et pas «provisoire» (waqti).
(16) http://www.islamisation.fr/archive/2014/12/10/l-etat-islamique-jette-un-homosexuel-du-haut-d-un-immeuble-5507443.html
http://www.sudinfo.be/1193353/article/2015-01-19/le-nouveau-scandale-de-l-etat-islamique-ils-jetteraient-des-homosexuels-dans-le
(17) http://resistancerepublicaine.com/2014/pour-comprendre-la-condamnation-a-mort-dasia-bibi-et-lhorreur-islamique-par-eva/
http://www.siwel.info/Soudan-Meriem-Ishag-jeune-maman-condamnee-a-mort-pour-apostasie-accouche-en-prison_a6335.html
(18) Le concept de la Sainte Trinité sert d’excuse à Mahomet pour accuser les chrétiens d’adorer trois dieux, et d’être qualifiés d’associateurs (ou associationnistes), c’est à dire coupables d’associer autre chose à Dieu, qui ne devrait pas avoir d’associé. En islam, l’associationnisme est plus grave que le meurtre.
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Merci Eva pour cet article.
Voici une vidéo qui vous intéressera :
F**k the Pope https://www.youtube.com/watch?v=TXZv9DDCBYw
Paul Joseph Watson dit tout haut ce que nombreux pensent tout bas. « Le pape est un prostitué politique. »
@Eva
Très bien votre lettre.
J’avais lu ce texte du P. Zanotti, et je l’avais trouvé mou. Il est la coqueluche de certains cathos, qui se repassent ses textes en béant d’admiration, or je n’aime pas les effets de mode.
Il est clair que le Christ a dit sans ambages leur vérité aux pharisiens, aux marchands du temple. Pourquoi alors ne pas dire leur vérité aux musulmans ?…C’est un devoir de la leur dire. Avec diplomatie certes, mais il faut la leur dire. Le P. Zanotti a une fâcheuse tendance à ménager l’islam. Peut-être parce qu’il habite Marseille et qu’il lui arrive d’être menacé ? mais a-t-il le droit de se laisser intimider ?…
@Christian
Pas le temps de commenter aujourd’hui mais impossible de laisser sans réponse votre prose :
« » »l’Eglise c’est toujours mélangée les pinceaux ,déjà en 1940 elle approuvait les Allemand. » » »
Aaaah non pas du tout ! D’abord il y a eu une encyclique contre le nazisme avant la guerre, ensuite lisez Simon Epstein « le paradoxe français » : les premiers résistants ont été de droite et cathos. Et le nombre de prêtres qui sont morts en camps de concentration…quant à Pie XII, on connait aujourd’hui le montage fait par le KGB pour le discréditer. J’arrête là faute de temps mais non, non, l’Eglise n’a jamais approuvé les Allemands et leur système nazi !!!
l’ a t’ elle combattu, dénoncé ?…
mais je ne suis pas trop au fait de tout cela
Merci Eva
Cet article est tout simplement parfait pour expliquer ce que les chrétiens vivent en France et en Europe de par la soumission à l’islam du clergé. Dans le Nord, où je vis, les prêtres sont de véritables propagandistes au nom du hamas pour boycotter Israël. Des messes dominicales se transforment en prêche pour l’islam sans demander l’avis aux chrétiens. C’est pour cette raison que je vais rarement à la messe et encore moins à confesse. Je n’ai pas confiance en un prêtre qui prêche l’islam et son déploiement au détriment des chrétiens assassinés d’orient.
Je suis particulièrement heureuse de voir que des chrétiens réagissent devant cette islamisation des catholiques pour que la paix sociale soit respectée. Une paix bien fragile nous l’avons vu le 7 janvier 2015.
J’espère un jour que nous pourrons nous rencontrer et agir contre cette islamisation destructrice qui menace d’une guerre l’Europe avec la complicité du clergé, des hauts rabina et des hommes politiques de tous bords. Un combat qui se jouera sur les années à venir!
Amen
Corinne
saint Ignace de Loyola disait qu’il faut nous occuper de nos PROCHAINS j’en conclus donc des gens qui nous entourent: chômeurs longue durée de nationalité française, sdf dormant sur des trottoirs en hiver tandis que des structures s’ouvrent pour des réfugiés venus de loin et qui ne sont certes pas des prochains!recevoir des milliers de personnes de moeurs et de religion différentes est une plaie pour nos concitoyens que la pauvreté guette de plus en plus!ce n’est plus supportable mais peu de responsables politiques s’en soucie
PS : pour monsieur Jo nous ne sommes ni homophobes ni bêtement féministes il y a des croyants parmi nous que je respecte donc tout ce que vous nous dites est dicté par la haine et c’est bien dommage pour vous car la haine dévore!
La grande majorité des membres du clergé Catholique sont aujourd’hui devenus ce que l’ont nommait au 19éme siècle des démocrates dits « Chrétiens » et qui à l’époque n’étaient qu’une poignée de jeunes novices ecervelés membres d’une organisation qui fut dissoute par l’Eglise, et qui se nommait « le sillon ».
Hélas, cette poignée de démocrates dits « Chrétiens » finit malgré tout, par prendre de plus en plus d’ampleur au sein du clergé, et surtout depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Ce clergé démocrate « Chrétien » qui depuis le 19éme siècle transforma progressivement et finalement un Christianisme de combat et de résistance qui durant plus de milles ans façonna la France, en une utopie gauchiste totalement déconnecté du réel, et par la même sacrificatrice des populations Chrétiennes mêmes.
Ont ne le répétera donc jamais assez, ces démocrates prétenduement « Chrétiens » allant jusqu’à renier les Croisades, sont les PIRES ennemis du Christianisme.
Merci, Eva, de ce fort beau texte qui illumine tout le sordide ambiant.
Eva, vous m’avez bouleversée! Votre article est remarquable, excellent en tous points et je ne peux qu’approuver chacune de vos paroles et toute votre pensée. Moi-même catholique pratiquante, je me révolte contre cette apathie de certains prêtres (pas tous, heureusement!) et, quoi que disent ces imbéciles, ces traîtres, je ne leur obéirai pas ! Pas plus qu’à l’homme en blanc… Vous dites avec juste raison, que l’on ne peut pas et l’on ne doit pas s’allier avec le mal, volontairement ou par bêtise comme aujourd’hui, mais que certains ouvrent les bras à Dieu et au mal…Je voudrais vous raconter une anecdote qui me fut contée par un prêtre, sévère mais juste et absolument génial au point de vue théologie (et drôle aussi! Il aime beaucoup les b.d !) Il avait fait un pélerinage au Mont St Michel avec des fidèles et, dans l’église du Mont, il eut la surprise de voir l’un des pélerins mettre 2 cierges devant la statue de l’Archange. « Pourquoi deux ? » lui a-t-il demandé. « Oh! répondit l’autre sans se troubler, un cierge à St Michel, le second au démon…terrassé…on ne sait jamais…il faut se concilier tout le monde »! Mon cher père en est resté sans voix !!! Notre clergé nous trahit, c’est incontestable, il a déformé le message du Christ qui était « doux et humble de coeur ». Oui, mais doux ne signifie pas mou. Ce qui est mou, c’est la crotte dégueu dans laquelle on pose le pied par inadvertance et qui pue. Le véritable amour lui, est dur comme le roc. Quant à l’humilité, ne pas confondre avec l’humiliation ! Jésus ne s’est jamais vanté de quoi que ce soit, jamais ! Il ETAIT ! Il arrivait et sa présence devait être telle, que l’on ne voyait que LUI ! Mais il n’a jamais dit « adorez-moi »! Et quand ils ont voulu le « faire roi »…il s’est tiré, seul. Alors que l’autre, le mahomet,il s’est déclaré « l’envoyé » de Dieu » et s’est pris et fait prendre pour le nombril du monde !!! Je pense que nos prêtres ont commencé à dérailler à partir de lénine qui a dit « pour détruire l’Eglise, infiltrons les séminaires » et que le coup de grâce a été porté à partir de Vatican II qui les a transformés en véritables lopettes, nous débitant des prêches sucrés, socialistes et indigestes ! Il y aurait tant de choses à dire! Mais j’arrête là, chère Eva et je vous remercie de cet article que je vais relire et, bien entendu, envoyer à tous mes contacts (cathos !)
Jésus disait souvent « ne parlez pas de ce que vous avez vu », « n’en parlez pas », « ne dites pas ce que j’ai fait »…etc…ce qui signifiat dans la bouche de Jésus : pas tant que le moment n’est pas venu (sa crucifixion , puis sa résurrection).
Catho pratiquant, c’est l’ignorance de la secte du mal de Mahomet, qui me terrifie le plus parmi les fidèles, qui croient benoîtement et béatement ce que le monde leur dit de croire…alors qu’ils sont sensés ne pas appartenir au monde !!!
Qui n’appartient pas à ce monde, comprend donc la nuisance extrême de l’Islam. Qui suit le Christ voit clair comme l’eau de roche !
Bonne soirée !
Monsieur le Pape,
puisque vous prétendez porter la parole du Christ, puis-je vous rappeler que celui-ci nous demande d’aimer NOTRE PROCHAIN comme nous-mêmes ? Pas n’importe quel individu, mais celui qui nous est PROCHE, celui qui partage notre mode de vie, notre culture, notre civilisation, peut-être un peu notre religion, non ?
Eva demande de lire le Coran, j’ai envie de conseiller aussi de lire intelligemment la Bible.
Bon revenons à nos moutons,l’Eglise c’est toujours mélangée les pinceaux ,déjà en 1940 elle approuvait les Allemand.
Ben non l’Eglise ne s’est pas toujours trompée, disons souvent, mais l’Eglise c’est quoi ? Le Pape et ses acolytes qui vivent en robe dans un des plus grands palais du monde (au nom de l’humilité chrétienne, je suppose) ? L’appareil bureaucratique d’un Etat (le Vatican) qui gère ses propres intérêts bien avant ceux du monde chrétien? Ou bien le peuple catholique qui lui a des avis fort divers (c’est heureux!) et qui en plus ne se confond pas avec le peuple protestant ou le peuple orthodoxe, etc.
Eva, qui nous laisse une étude plus que sérieuse sur le devoir de résistance, ne représente-t-elle pas la quintessence du christianisme concret ? N’est-elle pas, avec beaucoup d’autres, l’EGLISE telle que nous l’aimons ? Alors laissons le pape rencontrer et féliciter le dictateur sanguinaire de Cuba (celui qui n’est plus au pouvoir) et essayer de nous donner mauvaise conscience à propos de l’invasion actuelle : je lui dénie formellement le droit de parler au nom des Catholiques, et encore moins de la Chrétienté. est-ce que je risque l’excommunication pour cela ?
Hé Jo vous vous trompez de site .ici ont est contre l’islam, et contre les envahisseurs. On est de vrai Patriotes et de véritable Résistants.Trouvez vous un site qui fait la gloire des musulmans et de leurs religions.Nous sur se site ,nous ne serons jamais d’accord avec vous.
« De grâce, mon Père, lisez le coran. »
Catholique pratiquant, converti récent, je puise partout où je le peux moi même pour mettre en lumière l’incohérence de la se..te de haine et du rejet.
Où je me rends, j’essaie d’évoque le livre de Majid Oukacha, par exemple, (en fin de messe, sur un stand du CCFD…) car, à l’heure actuelle, j’ai envie que ce super gars, brillant, remporte des palmes de patriotisme et de francité, tant son amour de la France et de notre civilisation éclate, tout en se gardant bien de parler du Christ (ce en qui je crois qu’il a raison, ce n’est pas le bon timing pour cela)
Chacun fait sa part.
la part du père Zorkine né juif converti au Christ, est profonde, sur un plan spirituel élevé. Lire la conversion de veronique Levy (sœur de BHL) pour comprendre combien Jésus Christ touche si profondément les entrailles de ceux qui vivent pleinement ce lien direct dans leur sphère intime.
Jésus a abordé la samaritaine, il a abordé les pires des pécheurs, et ils se sont convertis : ce n’est pas un miracle, c’est une intelligence de cœur supérieure.
Le film Human de Yann Arthus Bertrand démontre les bienfaits de la main tendue, au travers du témoignage d’un assassin, dont l’éducation s’est faite à coups de bâtons…ou plus loin celui d’une femme battue, dont le mari a , par humilité, donc par Amour (par hasard ce ne sont pas des musulmans), accepté d’aller voir un psy.
Ce que souligne de manière peut être indigeste pour certains, le Père , c’est que le combat sur soi nécessite de garder foi en la capacité de transformation de l’autre : la vertu d’espérance est ce qui nous guide pour transformer les musulmans nés malgré eux musulmans en chrétiens capable d’un cœur ouvert à 360 degrés, et qui seront à leur tour capable d’alerter les convertis à l’Islam de leurs erreurs (comme y arrive très bine à mon avis Majid Oukacha)
Hier meurtrier, demain repentir, tel Saint Paul, fondateur de l’église.
Hier juif persécuteur, demain chrétien frère des pauvres et des rejetés : St Paul.
Hier musulman persécuteur, demain apostat, frère amoureux des français de souche.
C’et cela le combat pour l’espérance, celui qui , je le pense englobe tous les combats pour préserver notre civilisation, notre bonheur de vivre en ce pays, en paix, encore.
Ce qui compte c’est garder l’espérance et démontrer que cette espérance habite les cœurs des patriotes, chrétiens, catholiques, athées (dont certains ont été ou sont dans le rejet du Vatican (pour des raisons personnelles liées à leur histoire personnelle, donc blessures non guéries, ou par conscience erronée, celle fabriquée en mode 24/24 par les médias)
Zanotti…pas zorkine…désolé
Je suis très surpris qu’un texte authentiquement chrétien et d’une telle qualité figure sur ce site sectaire gauchiste, athée, féministe, homosexualité et genriste plutôt que par exemple sur Le salon Beige ou un site royaliste. Mais bon, je conçois que provisoirement, pour combattre le Mal, il faille parfois s’allier avec nos persécuteurs bicentenaires contre d’autres, musulmans et tout aussi résolu à la perte des chrétiens mais nous martyrisant, eux, depuis presque un millénaire et demi.
Je laisse Eva vous répondre. Je me contenterai de vous dire que le sectaire c’est bien vous. Et maso menteur en sus, les républicains n’ont jamais persécuté les chrétiens (combien de morts ? combien d’emprisonnements ? combien d’églises brûlées ? ) ils ont demandé que l’Etat ne soit pas sous la tutelle de l’Eglise ce qui est bien autre chose. Au nom de quoi les athées devraient-ils obéir aux diktats des églises ?
Ben moi je ne suis pas surpris que tu écrive encore des conneries !
A mon avis, tu as escaladé l’arbre de la bêtise, mais tu as fini par tomber, et dans ta chute, tu t’es mangé toutes les branches.
sectaire gauchiste, tu peux être plus précis, parce que moi je suis de droite, je fout quoi dans une secte de gauche ?
athée, raté, je suis Protestant pratiquant.
féministe, ben oui, j’aime ma femme, tu dois préférer battre la tienne chaque jour comme le commande le coran.
homosexualité, mince, encore raté, demande à quelqu’un de te lire les articles de Philippe Bescond-Garrec… Il est homo !
Mais tu voulais peut être dire homosexualiste, ce qui démontre que toi t’es homophobe.
Note que je m’en fout, mais je préfère un homo heureux et Patriote à un hetero frustré dans ton style.
Genriste, Christine a déjà dit ce qu’elle pensait de la théorie du genre.
Christine a un mail pour me contacter.
Je te dis ça au cas où tu serais vexé et que tu aurais envie de serrer tes petits poings (tu pourra venir avec tes amis antifas, mais moi je serai seul, j’aime pas partager quand je démonte des tronches)
Je ne finirais pas par un « pauvre con »…
… Il est possible que tu ne soit pas pauvre !
Salut, et à bientôt j’espère (mais pas ici, pas par écrit… Face à face ! )
@JO
Bonjour, je suis catholique pratiquante, lectrice du Salon Beige, contre le mariage pour tous et adhérente à Résistance Républicaine et je suis très loin d’apprécier vos remarques déplacées et de très mauvais goût!
Vous qui semblez si documenté sur l’histoire de France et du catholicisme, je suis très surprise que vous ignoriez que ce sont les francs-maçons et pas les athées qui intriguent pour la perte du catholicisme!
Révisez vos classiques avant de venir nous chier une pendule!
http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2014/12/quand-le-pape-leon-xiii-accusait-la.html
Bien envoyé Coco
Bonjour Madame Tasin,
Je pense qu’il y a erreur: l’article que j’ai posté hier n’est pas cette lettre au Père Zanotti.
Cette lettre a déjà été publiée sur R.R., mais sous forme de commentaire.
Ce que je vous ai proposé hier ne vous est pas parvenu ?
Peut-être ai-je oublié de valider après avoir posté mon commentaire ?
Aïe Eva il y a un souci ce texte tait en attente le 28 ou le 29, comment est-il arrivé là si ce n’est pas vous qui l’avez mis ??? je viens d’en découvrir un autre, qui commence par ceci mais il me smeble que c’est aussi un article déjà publié ? ????
Chère Madame Tasin,
Je lis souvent que des Français musulmans comme Malika Sorel, Lydia Guirous ou Fawzia Zouari sont des patriotes, au même titre que Pascal Hilout, ex-musulman.
Or Madame Sorel et Cie n’ont jamais critiqué l’islam, ni mentionné les nombreux versets violents du coran. Contrairement à Pascal Hilout, Malika Sorel n’a jamais déclaré avoir quitté l’islam, et n’a jamais mentionné les crimes de Mahomet.
Résultat: Pascal Hilout a été condamné par la justice, et Madame Sorel a reçu la légion d’honneur.
C’est le Saint Esprit Mme Tasin….. Je n’ai jamais compris pourquoi vous n’aviez pas publier ce splendide texte….. Le Seigneur voulait que le message parvienne au Père Zanotti voilà tout!
Pourquoi Coco ? j’avais refusé de le publier ???? je ne me souviens de rien de tel
Non, vous aviez dit qu’il était trop long pour le publier alors vous l’aviez seulement inséré en format PDF téléchargeable à la suite d’un article.
J’ai toujours penser qu’il méritait un article à lui tout seul. C’est fait maintenant!
Bonsoir Madame Tasin,
La lettre au Père Zanotti est depuis des mois dans la section brouillon de la plateforme de R.R., car vous pensiez le publier en tant qu’article, et vous l’aviez finalement publié en lien seulement, sur lequel il suffisait de cliquer pour le lire.
La raison est que j’avais dit que je voulais l’avis des chrétiens de Résistance Républicaine, car je ne pensais pas que ce texte intéresserait les non-chrétiens.
Ce texte ciblant seulement une partie de votre lectorat, vous n’avez pas jugé utile de le publier en article, mais en lien.
Mais ce n’est pas moi qui l’ai mis sur la plate-forme, il y était quand je me suis connectée avant-hier pour poster l’article concernant Malika Sorel, qui lui n’a jamais été publié, car je ne l’ai jamais proposé à la publication.
Seul notre ami Luc Forgeron l’a lu, il y a déjà longtemps, je voulais avoir son avis, et je me souviens qu’il avait été ému.
Chère Eva il se passe des choses étranges sur l’interface du site mais je commence à comprendre… si j’avais mis votre article sur le père Zanotti en brouillon vous avez dû l’ouvrir puisque en accédant au site vous accédez à tous vos articles en brouillon.. et donc il a été rafraîchi et est remonté à la date d’hier ce quim’a permis de le voir. Comme vous m’aviez prévenu que vous aviez mis un article j’ai pensé que c’était celui-ci. de ce fait je n’ai pas vu l’autre… Par contre ce qui m »inquiète c’est que je ne vois plus l’autre sur Malika Sorel vous l’avez supprimé ?
Ne vous inquiétez pas Madame Tasin, je vais remettre cet article sur la plateforme dès que j’aurai un moment, et je répondrai aux commentaires de ce fil de discussion.
Je suis en train de mettre la dernière main au travestissement de mon appartement en vue de l’anniversaire de ma filleule.
Elle va avoir dix ans, elle est encore dans sa période « cruche », aime le tulle, les paillettes, les sequins, le velours…
Mon appartement re-décoré en fonction de ses goûts ressemble à un lupanar de style second empire.
Si les enfants avaient bon goût, ça se saurait…
Et si je n’avais pas de l’humour, je crois que je serais partie dormir à l’hôtel.
Merci Eva pour cet éclat de rire !