Je suis un djihathée autoproclamé

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Clio : « T’as vu »… la BELLE banlieue !

 

Que faire en période de confinement ? Spéculer sur le retour en tsunami de la meute muzz banlieusarde ? Fantasmer sur les présentatrices LCI ? Pour ma part, je booste quotidiennement mon dico perso en tentant de ne porter ombrage à la magnifique langue française.

 

Djihathée, nom commun inclusif et adjectif : fondamentaliste athée aux méthodologies djihadistes

 

Étymologie : compression MPEG-4 de djihadiste et athée

 

Phonétiquement, « djihathée » est fort proche de « diarrhée » et effectivement ça pourrait faire mal aux fesses des muzz et musettes.

 

Un djihathée est fin stratège : dans son combat, il a appris à s’unir aux forces judéo-chrétiennes en respectant les paroles de l’excellent analyste Guillaume Roquette : « A-t-on déjà vu un terroriste s’exclamer : Jésus est grand ? »

 

Au quotidien, un djihathée se manifestera sous diverses formes pacifiques et ses roquettes sont généralement verbales.

 

Sous la clef de sol de la fabuleuse Edith Piaf, un professeur de banlieue djihathée remontera les bretelles de la sorte.

 

Johnny, tu n’es pas un ange

Momo, tu n’es pas un ange

Ne crois pas que ça m’dérange

Et crois bien, que ça m’dérange

Jour et nuit, je pense à toi, toi, te souviens-tu de moi

Jour et nuit, tu penses à rien, te laves-tu les doigts

Qu’au moment où ça t’arrange ?

Au moment où ça t’démange ? (les roustons)

 

Je suis djihathée dans l’âme. Déjà gamin, après avoir dégusté « Cent mille dollars au soleil » de Henri Verneuil, j’avais crobardé (étymo crobard) les plans de La Mecque 2.0, muée en gigantesque station-service alimentant le trafic routier arabe de marchandises Nord-Sud. Quant à la Pierre-Noire, j’y vois là un excellent accoudoir de buffet restoroute.

 

Aujourd’hui, je propose de muer la mosquée Arrahma Busserine à Marseille en médiathèque-discothèque au profit des jeunes et des marins en transit avides d’expériences charnelles.

 

Sauf erreur de ma part médiatique, le processus d’islamisation du nord-ouest des Alpes n’est déjà plus qu’un lointain souvenir dans l’esprit des Occis dentaux et comme en Wallonie, la Macronie n’est en mesure de résoudre ni la crise identitaire ni la crise sanitaire.

 

Paris redécouvre le chant des oiseaux et il serait judicieux d’emmener de force les ronds-de-cuir macronistes vers les banlieues islamiques temporairement pacifiées par le confinement car tel serait leur aspect un jour de grande cohue judéo-chrétienne avec bals populaires et courses de meules en prime.

 

Question à cinq francs français : masque FFP2 + hijab autorisé = niqab hors-la-loi ?

 

La chanson française est un merveilleux organisme vivant en plein devenir. Voilà à quoi devraient ressembler nos banlieues, Clio aux commandes vocales.

 

Au fond, les amateurs avisés d’histoire sont mieux préparés mentalement au choc Covid-19 : ils gardent en tête l’espagnole de 1918, la grippe de Hong-Kong de 1968-70 (plus de 17.000 décès directs en France) et l’épidémie de rougeole ayant décimé en 2019 5.300 enfants de moins de 5 ans en République Démocratique(ment Kleptocrate) du Congo.

 

Covid-19 est une leçon d’humilité pour des Occidentaux totalement aseptisés. Covid-19 a sa leçon d’humidité puisque cette saloperie semblerait s’épanouir à du 47-49%.

 

Richard Mil+a

Infographie publiée le 18 mars 2020

 

Selon les scientifiques de l’Université du Maine, le coronavirus se propagea le long d’une seule zone climatique

 

Conditions idéales de propagation : entre 5 et 11°C avec taux d’humidité 47-49%

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1 Comment

  1. Ce n’est pas la Clio que je connaissait mais je trouve que celle-ci chante fort bien. Elle détonne un peu dans la cité parce ce sont plutôt des silhouettes moins avenante auxquelles on est habitué dans ce genre d’endroit. Il règne comme un atmosphère de je ne sais quoi . Disons que l’on se met à rêver à ce qu’aurait pu être un cité sans tags où de jeunes femmes peuvent errer sans crainte, tout en pensant à ses peines de cœur et non pas à se garder de la faune habituelle. .C’est pourtant comme cela que j’ai connu ma cité de jeunesse , si ! si! il y avait des jeunes filles qui pouvaient s’y déplacer ! On y draguait et la majorité des couples se fréquentaient dans le quartier. Et ce n’est pas parce qu’elles ne portaient pas le voile qu’elles étaient des filles faciles pour cela, je dirais même moins parce que les réputations faisaient vite le tour de la cité. Cela me fait penser au film du soleil vert où le vieux à la fin regarde le film de ce qu’ était ce paradis auparavant l
    Est ce que ces cités ne sont pas les symboles de l’impossibilité de vivre ensemble . Un vivre ensemble qu’y a été d’autant plus asséné qu’il ne pouvait se réaliser dans de telles conditions de submersion migratoire.

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