Photo : En bon parasite, Mohamed M’Barki, candidat LREM est logé à bas prix par la solidarité française…tout en étant proprio !
Ces macronistes n’ont peur de rien.
Ah, ce n’est pas la morale et le civisme qui les étouffent !
Monseigneur dispose d’un logement social au cœur de « son » quartier de Montmartre : un atelier d’artiste de 73 m² avec terrasse !
Prix de cette location sur le marché privé ? Assurément plus de 3000 € par mois !
Prix payé en HLM : 652 € / mois hors charges !
Formule de Macron du « en même temps » appliquée aux copains :
Logement VIP « atelier d’artiste » de 73 m² avec terrasse !
+Appartement place du Tertre
+Un autre de 30 m² récemment vendu au prix du marché (car on joue sur tous les tableaux)
+Sa compagne, artiste également, est aussi propriétaire d’un appartement rue du Montcenis, dans le 18e arrondissement.
Monsieur l’artiste :
« Je n’ai rien à me reprocher », « rien à cacher » (Le Parisien)
Place du Tertre : le Paris de carte postale, c’est quand même mieux que la Tunisie ou la banlieue des sans -dents
Montmartre : c’est un quartier touristique absolument inabordable pour le sans-dents qui pourra tout juste se payer un café en terrasse et encore !
Montmartre : c’est le quartier top où habite aussi le communiste Brossat ! Au milieu des touristes, loin des vilains migrants de la Chapelle !
A Paris, le candidat LREM Mohamed M’Barki, qui figure sur la liste de P. Y. Bournazel, est propriétaire mais également logé en…HLM depuis…20 ans!
Et dire que sans les élections, personne n’aurait mis le nez dans les petites affaires de ce monsieur !
Combien sont cumulards comme lui ?
Et ces gens arrivent à dormir et à se regarder dans la glace ? Et à répondre tranquillement aux interviews sur le sujet, comme dans l’article ci-dessous où il « s’explique » !
Ces parasites osent même se présenter aux élections pour représenter les citoyens en toute décontraction !
Pendant ce temps, des personnes courageuses sont obligées de faire de longs trajets chaque jour depuis la banlieue pour aller travailler ou étudier !
Les HLM de Paris (et les logements sociaux dans toute la France), c’est tout un système de copinage à remettre à plat !
Le Parisien
Municipales à Paris : un candidat LREM propriétaire mais logé en… HLM
Mohamed Midani M Barki, figure de Montmartre et candidat LREM sur la liste de Pierre-Yves Bournazel, est logé en HLM tout en étant propriétaire dans le quartier.
A quatre jours du premier tour des municipales, l’affaire tombe mal. Alors qu’Agnes Buzin (LREM), candidate à la Mairie de Paris, préconise de « mieux contrôler le logement social » et que Pierre-Yves Bournazel, sa tête de liste dans le XVIIIe arrondissement de Paris demande « un meilleur suivi des familles » logées en HLM, l’un de leurs candidats est en HLM. Et pas que…
Mohamed Midani M Barki, en 17e position sur la liste de Pierre-Yves Bournazel, occupe non seulement, avec sa compagne, un logement social à Montmartre (XVIIIe), propriété de la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris) mais il est aussi propriétaire d’un appartement place du Tertre (XVIIIe) [le top à Montmartre !]. Il en avait « un autre de 30 m2, mais, explique l’intéressé, je l’ai vendu ». Combien ? « Au prix du marché », explique l’intéressé.
Précisions de Valeurs actuelles
Un logement obtenu il y a 20 ans
C’est en 2000, sous la mandature Tiberi, que cette figure incontournable de Montmartre, peintre, porte-parole du Carré des artistes et rédacteur de Paris Montmartre, obtient un logement social au cœur de « son » quartier, un atelier d’artiste avec terrasse.
Une des priorités du programme d’Agnès Buzyn est pourtant de “mieux contrôler le logement social”…
L’indécence à son maximum. Mercredi 11 mars, Le Parisien révèle qu’un certain Mohamed Midani M Barki, en 17e position sur la liste de Pierre-Yves Bournazel dans le 18e arrondissement de Paris, occupe actuellement un logement social avec sa compagne… tout en étant propriétaire d’un appartement. Contacté par le quotidien francilien, l’intéressé ne s’en cache même pas !
Un appartement qui lui a rapporté 11 070 euros en 2015
Figure incontournable de Montmartre, ce peintre de métier a obtenu un logement social au cœur de « son » quartier, un atelier d’artiste avec terrasse, rapporte Le Parisien.
Un logement de 73 m² au sol, loué à 652 euros par mois et 188 euros de charges mensuelles [note : c’est le prix d’une chambre de bonne de 9 m² avec WC sur le palier !]
Seulement, Mohamed Midani M Barki dispose également d’un appartement place du Tertre, dans le 17e arrondissement, dont il est propriétaire. Il en avait même « un autre de 30 m² » mais l’a « vendu ».
Sa compagne, artiste également, est aussi propriétaire d’un appartement rue du Montcenis, dans le 18e arrondissement.
Le peintre de Montmartre a d’ailleurs parfaitement exploité ses différents appartements. L’un d’eux lui a rapporté 11 070 euros sur la seule année 2015. Il continue de louer celui de la place du Tertre sur une plateforme.
Le logement social, l’une des priorités d’Agnès Buzyn
Mais pas de problème pour l’intéressé, contacté par le quotidien francilien. Il n’a « rien à se reprocher », « rien à cacher ». « J’ai attendu 14 ans pour obtenir ce logement. Et la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris, dont dépend son HLM, NDLR] connaissait l’existence de nos appartements », se défend-il. Et en effet, Mohamed Midani M Barki avait obtenu son logement sur intervention d’un des bras droits d’un certain Jean Tiberi, ex-député et maire du 5e arrondissement.
Une magouille qui passe mal à trois jours du premier tour des élections municipales. D’autant plus que l’une des priorités affichées du programme d’Agnès Buzyn est de « mieux contrôler le logement social », quand Pierre-Yves Bournazel, tête de la liste du 18e où figure Mohamed Midani M Barki, préconise, lui, « un meilleur suivi des familles »… Contacté par Le Parisien, ce dernier s’agace, dénonçant une « manœuvre » et expliquant qu’il n’était « pas au courant ».
Le projet pharaonique d’Hidalgo pour loger les copains :
N’oublions pas qu’Annie Dingo, candidate à sa succession, a promis de lancer des travaux pharaoniques dans la capitale pour 20 milliards d’euros afin de loger “à prix abordable” les classes moyennes : ses électeurs !
Car les logements sociaux sont attribués, bien sûr, par une “commission impartiale et objective”, ce fonds de clientélisme électoral, qui a fonctionné sous Chirac, Tiberi, Delanoë et maintenant Hidalgo.
Source et détails du projet :
"Faites ce que je dis, pas ce que je fais" #LTD pic.twitter.com/9Uf8Eqqf8l
— Pierre Liscia (@PierreLiscia) April 28, 2019
621 total views, 2 views today
Oui vous avez raison Paco ce genre de magouilleur sait se mettre du côté de ceux dont ils pensent qu’ils peuvent les protéger de tout y compris de leurs escroqueries. Et il est vrai que LREM a la particularité d’attirer les mouches.
Le momo en question, je l’ai toujours vu s’afficher avec les bonnes personnes, au bon moment ! Très copain copain avec ceux qui ont les mains sur les manettes ! Et là je parle de quelque chose que j’ai vu se faire des décennies durant…
Lorsqu’on fait provisoirement semblant, en attendant d’avoir fini de mettre la main sur le pays, et qu’on est copain à Trouduc, on ne risque rien.
On ne nous parle plus « d »alexandre ».
rien de neuf sous les tropiques » fait ce que je te dis mais pas ce que je fais!!!
c’est tout le problème de nos élus aucun ne représente les Français ils ne représentent que leurs intèréts et comme le dis très bien Mr Fillon avec sa Pénéloppe , »de quoi m’accuse t-on puisque tout les élus le font !!
Je me souviens d’une député socialiste qui elle (tarn 81)avait carrément pris son mari!! Voyez ce n’est pas par ce-qu’on donne une marche a suivre aux citoyens que nous les élus sommes obligés de la suivre !
Après cette mascarade n’amuse plus les Français qui certains ont mème décidé de ne plus perdre leur temps a aller voter pour ces guignols!
Messieurs les élus faites le ménage ,vous n’étes plus crédibles!!
Qu’est ce qu’il est de si choquant ? Tous les « tavarichi » (camarades) ont bénéficié du socialismo-communisme depuis toujours. La différence est que dans les pays communistes ça se faisait au grand jour et chez nous sous notre nez, ni vu ni connu.