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Piotr Krysiak est à sa manière journaliste d’investigation. Il publie en 2018 « Dziewczyny z Dubaju » (Les Filles de Dubaï) où il relate le sort de prostituées exclusives polonaises cédant au charme des yachts, des cocktails sur plage de Dubaï et d’un islam pervers.
Pedigree de ces belles-de-nuit : modèles, célébrités, finalistes de concours de beauté et même artistes chapeautées par des souteneuses bien au fait du faîte des désirs arabo-musulmans.
À Dubaï, elles réalisent toutes les fantaisies sexuelles et perversions – pas toujours de leur plein gré – au profit de princes et d’hommes d’affaires des Émirats. Leur miss•ion sexuelle dure deux mois durant lesquels elles empochent l’équivalent de plusieurs années de boulot selon l’équation : deux mois au turban dubaïote = deux ans au turbin polaque.
Les gratte-ciel ne se refusent rien
Les gratte-fesses ne se refusent rien
Les petits risques du métier
Loin d’être une fiction littéraire, l’enquête de Piotr a secoué la mouvance de celles qui offrent leur corps à des fins lucratives. Piotr est ici détective sur initiative personnelle et son but n’est pas de passer l’islam arabe au tamis mais ses investigations dévoilent tout de même l’immense corruption éthique des hautes sphères du monolithe sunnite.
Sans les nommer formellement, il a plus que suggéré les identités des esclaves sexuelles rémunérées. Il écrit : « Celle-ci remporta le concours Miss Polonia, celle-là quelques titres européens, une autre participa au programme Top Model ». Pour les internautes polonais, il faudrait évidemment être aveugle pour ne pas décrypter les identités sur base des visages anonymes répandus sur la toile, la liste des passagers Varsovie-Dubaï pouvant satisfaire les détectives plus pointus.
Piotr assume ses actes puisqu’il n’a fait que transmettre la vérité au public. La prostitution est légale en Pologne et cela lui évite de bien fâcheuses tracasseries judiciaires même si les vedettes sexuelles incriminées l’ont menacé de poursuites bien avant la parution du livre, le contenu de certains SMS de ces dames étant bien loin du billet doux, limite censure.
Il a également publié en 2018 « Diler gwiazd » (Le Dealer des étoiles) au sujet du roi de la cocaïne polonais fournissant politiciens, journalistes, artistes et pire encore leurs enfants. Aux dernières nouvelles, Piotr est toujours en vie.
Piotr Krysiak, le scandaliste made in Poland
Dans un registre bien moins froufrou, la Pologne entretient des relations avec les pays arabes mais d’ordre quasi exclusivement économique comme l’exportation de volaille industrielle, d’immenses fermes polonaises ayant l’Arabie Saoudite comme client exclusif. Le pur-sang élevé en Pologne est une cavalerie de prestige fort appréciée des émirs, à cheval non seulement sur les nobles Polonaises mais aussi sur les nobles principes. Pour ceux que ça intéresse, quelques infos en addendum.
Pour le reste, le Polonais a du Moyen-Orient l’image de contrées arriérées où la femme n’a pas vocation participative. En Pologne, la tradition du baisemain est restée vivace, n’en déplaise à une Schiappa qui nous lâchera encore sa chiasse verbale pour traitement dégradant.
Traitement dégradant ? Certains pensent qu’il vient de Berlin via Brüssel ou Berlin Bis
Moralité
Ne dites jamais à un émir que la Mer Rouge a la forme d’un con. Il risque de ne pas comprendre le sens argotique érotique de ces trois lettres et vous risquez d’être perversement Persée dans une mer de sang rouge.
Richard Mil
Addendum
Les pur-sang arabes de Janow Podlaski, 10 km de la Biélorussie
Version polonaise mais les images parlent d’elles-mêmes…
Haras de Janow Podlaski : une identité européenne entièrement intacte
Galopeur « Ya-ya »… y’a de quoi se battre les Patriotes !
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l’œuvre d’une société ouverte d’un capitalisme ultras libéral et décomplexé , honte a »nos » gouvernement apatride , qui laisse faire et fermes les yeux , honte a cette société qui ne défend plus ses (nos) femmes .
c’est notre devoirs d’hommes européen (de civilisation européenne ) de protéger nos femmes .
il faut a tout prix que dès l’enfance et a l’école (qui ne fait pas sont travail) que l’ont explique ce qu’été la traite des blanches . car il s’agit bien de traite de blanches . penser a ces belles filles (femmes) entres les mains de ces sous races , me donne envie de vomir . mais protéger ne veux pas dire excuser , ces filles qui écartent les jambes aux allogènes , mérite une bonne correction , de notre part !