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Ce qui se passe dans ce collège est emblématique de ce qu’est devenue l’Education Nationale. Et pas seulement en Seine-Saint-Denis.
Même Libé crache le morceau, dans un article à propos du collège République ( le mal-nommé) de Bobigny ( Seine-Saint-Denis). La dictature des syndiqués de Sud Education alliée aux immenses difficultés d’enseigner dans ce territoire perdu de la République y a fait de la vie des autres profs un enfer et a gâché le peu de chances qui restaient aux élèves désireux de s’en sortir (combien d’entre eux ? L’histoire ne le dit pas qui parle d’une certaine Awa mettant sur le dos des profs la fin de ses ambitions mais racontant sans état d’âme que si elle a pris une baffe de son prof, c’est qu’elle chahutait avec un copain en cours…).
Naturellement, à aucun moment Libé ne parle des difficultés d’enseigner avec le public de Seine Saint-Denis… Libé rapporte les situations de bordel en classe sans y voir maldonne, se contentant de dénoncer la dictature des syndiqués à Sud Education, une poignée de profs décidés à imposer par la dictature gauchiste leurs idées, leur mode de fonctionnement… leur pouvoir.
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–L’absentéisme des profs dépasse l’entendement. La faute aux syndiqués de Sud Education qui interdiraient aux autres profs -et à l’établissement – de gérer correctement les élèves… mais aussi la difficulté d’enseigner à Bobigny. Que n’évoque pas Libé, évidemment.
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-Sud education est puissant : le collège est un des mieux dotés de France. Ben oui, « des moyens, des moyens » crient-ils sans cesse. Et face au bordel ambiant, ils les ont obtenus. Sans aucun effet, mais cela ne devrait pas étonner nos lecteurs.
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–Des profs terrifiés qui filent doux, un principal qui maigrit à vue d’oeil et vomit avant chaque Conseil d’Administration. Au collège République, le personnel est donc divisé en deux clans, l’ambiance digne d’une trame de téléfilm. «On dirait les Montaigu et les Capulet», glisse une enseignante terrifiée. «Vous ne pouvez pas imaginer ce qu’on vit ici depuis des années. On est cloués au pilori.». «En fait, c’est un petit groupe de personnes qui, pendant des années, avait la mainmise totale sur l’établissement. Ils sont très investis syndicalement et, pour eux, tout est politique. Leur priorité, ce n’est pas seulement l’enseignement.» Il parle d’une salle des profs physiquement divisée en deux avec «la famille SUD» d’un côté, et les autres à l’écart. «J’ai vite compris que pour travailler pour les élèves, il ne fallait pas exprimer un avis différent du leur.». A commencer par ne pas se présenter aux élections du personnel sur une autre liste. «Ils broient toute personne ayant un avis contraire,explique un enseignant qui a quitté République depuis plusieurs années. Si vous n’êtes pas avec eux, vous êtes ignoré, méprisé, considéré comme stupide.» Un autre raconte «la misère», avec insultes et rumeurs, quand il a essayé de leur tenir tête pour que les élèves de troisième partent en stage, comme dans tous les collèges. «Mais ici non. Car pour ces profs, c’était participer au grand capitalisme ! Et toute l’équipe devait obtempérer.». Une partie de la salle des profs, parfois pour avoir la paix, adhère à leurs idées. Notamment les plus jeunes, qui débarquent souvent pour leur premier poste en Seine-Saint-Denis. L’une d’eux, partie depuis, raconte : «Au début, je les idéalisais. Ils avaient l’expérience, des convictions fortes. Je me disais qu’eux savaient s’y prendre avec les élèves.» Mais assez vite, elle tique : «Leurs projets pédagogiques étaient intéressants, mais pas menés de la bonne manière : ils n’étaient pas dans l’intérêt de l’élève mais pour le confort de l’enseignant.» Elle parle aussi de ces noms d’oiseaux qui volent dans la salle des profs : des «salope», «sale pute», «collabo», à tout bout de champ. Une professeure, syndiquée, elle, à l’Unsa a porté plainte pour harcèlement, une plainte classée sans suite. Elle aussi devrait être mutée à la demande du rectorat.
La lâcheté et le conformisme des profs m’ont toujours ahurie. Leur souci d’être politiquement corrects ( donc « à gauche ») alliée à la difficulté du métier en fait des moutons serviles juste capables de pousser leurs élèves des lycées à aller manifester pour les clandestins…
Le principal qui vomissait a eu une mutation et son successeur a alerté le Rectorat, sans cesse, le harcelant chaque jour en lui signalant ce qui se passait dans son établissement. Apparemment ça a mis quelques années avant que le Mammouth ne bouge. «Je ne comprends pas ce qu’ils fabriquent, rage un enseignant. Ils ont tout dans les mains. Il faut casser cette dynamique de groupe néfaste.». Des enquêtes… qui viennent seulement d’aboutir à ce coup de poing sur la table. Je ne sais si République est sauvé pour autant. On est en Seine-Saint-Denis…
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–Pas un seul jour où tous les profs sont présents. En moyenne 7 des 70 profs absents chaque jour, toute l’année.
–Des élèves insupportables, des profs qui craquent, une baffe qui vole et un prof qui s’excuse en pleurant auprès des enseignants, un prof bordélisé à mort écrit au tableau « Vous êtes des porcs sans avenir » … et regrette, s’excuse…un prof qui fait subir à un élève ce qu’il fait subir à ses condisciples se flagelle et culpabilise à mort.
–Je ne sais quelles bonnes âmes ont alerté Blanquer, mais les torgnoles volent : 2 syndiquées à Sud Education mutées d’office à la rentrée (mutées, pas mises à la porte, évidemment… elles vont recommencer d’imposer leur loi ailleurs, une fois qu’elles auront pris leurs marques) ; d’autres ont reçu un blâme. Naturellement, mutés et blâmés sont soutenus par toute la clique habituelle des anti-France : Une pétition a été publiée dans Mediapart, avec le soutien de 250 universitaires, responsables associatifs, syndicalistes et politiques. Alexis Corbière (député La France insoumise), Marie-George Buffet (députée PCF), Olivier Besancenot (NPA)… Tous ont signé, les yeux fermés.
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Voici le tableau en condensé de ce qui fut, dans une autre vie, l’instruction nationale. Et qui touche, peu ou prou, tous les établissements de France et de Navarre. Tous ceux qui sont en zone islamisée connaissent l’impossibilité d’enseigner face à des ados refusant notre culture, notre pays, nos valeurs, l’autorité des femmes etc. Mais tous connaissent les pouvoirs exorbitants donnés aux élèves, le mythe de l’élève roi au centre du système éducatif qui nous revient dans la gueule en boomerang, le refus de la sanction, de l’exclusion, la culpabilisation et les mauvais traitements subis par les profs voulant imposer leur loi.
Et vous n’avez pas idée de tout ce qui se passe dans un grand nombre d’établissements gérés par des peigne-cul (appartenant eux aussi ou ayant appartenu à Sud Education ? C’est possible).
On ne reviendra pas ici sur le vide sidéral des programmes, sur les désastreux contenus d’enseignement, sur les consignes d’évaluation et de notation dignes d’UBU roi, sur l’islamisation de nos programmes…
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C’est la Bérézina puissance 1000.
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Quant à Sud Education…
Novembre 2017 : stage syndical interdit aux Blancs
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Récidive en mars 2018 : stage syndical pour enseigner la fin du Roman National et la lutte des races. Stage sous les auspices d’Houria Bouteldja.
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Janvier 2018 : stage interdit aux hommes ( depuis Schiappa et Macron ont organisé un débat interdit aux hommes, on voit tout de suite de quel côté du manche ils sont)
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Mars 2018, Sud education s’en prend à Beltrame… Lui rendre hommage en classe serait « renouer avec la rhétorique nationaliste et l’aggraver. »..
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Il attend quoi, Edouard Philippe, pour dissoudre Sud Education ?
Ils attendent quoi, les Français, pour mettre les Macron et Blanquer dehors ? Ce sont eux qui communautarisent et morcèlent les Français, qui coupent la France en 2, partout, à l’école comme dans l’entreprise, comme dans la rue.
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J’en ai vu des comme ça ailleurs aussi… et ils étaient bien soutenus. Je suis partie et au bout du compte avec du recul, je m’en suis mieux portée même si cela n’a pas été simple, et je ne le regrette pas, c’est salvateur.
Il y a longtemps qu’à la place des profs j’aurais fait ma valise et serais partie. Il y a des fois où il faut prendre des risques et rien ne m’aurait obligée à subir cela question de survie et quand celle-ci est en danger, il faut réagir. Ces gens avancent et prennent le pouvoir car on les laisse faire et l’accepter est se manquer de respect.
Si beaucoup réagissaient comme cela, les choses seraient obligées de changer car des profs on en a besoin; Cela se dessine d’ailleurs, j’ai entendu parler de certains jeunes qui ont donné, après leur premier poste, leur démission. Voilà des courageux !
Et maintenant, de plus en plus, ils ont du mal à pourvoir certains postes et beaucoup ne veulent plus passer le concours…
Les enseignants il y en a des bons des Louis Chagnon des Christine Tasin, la regretté Anne-Marie Delcambre qui enseigna au lycée Henri IV, … et puis il y a tout ces minables qui ne sont que des petits syndicalistes divisés dans deux petites chapelles syndicalistes tremblant comme des feuilles devant l’islamisation, tremblant comme des feuilles devant les élèves les plus racailleux, mais encore capable de manipuler les élèves consentants des quartiers plus tranquilles et encore préservé pour aller les faire manifester sur des sujets qui en réalité ne mangent pas de pain comme « Le climat », tous des Charlie qui en réalité finissent par devenir de plus en plus des Charlots.
Les Frères musulmans qui font de l’entrisme doivent bien rigoler de voir ces crétins de futurs dhimmis s’écharper entre eux entre chapelles syndicales.
C’est un peu comme les querelles entre maronites et les melkites et les grotesques histoire de coiffes oude tarbouches en pleine occupation ottomane : ah ces nigauds de chrétiens avec leurs affaires!
La triste Seine-Saint-Denis est déjà devenu un territoire occupé et les non-musulmans n’y ont plus que quelques hochets pour se divertir, un peu comme des poissons rouges dans un bocal, ils peuvent se rassurer en se disant qu’il ne finirons pas fris si dans les programmes d’histoire ils respectent les gros mensonges que l’on enseignera sur la religion d’amour et de paix, tout en déféquant sur le propre passé de leur pays notamment quand celui-ci fut obligé de résister aux invasions islamiques dès le 8e 9e siècle!
Non le joug musulman ni en Espagne ni au Portugal ni en Grèce ni nulle part ne fut un temps de siècles d’or pour des peuples soumis.
S’ils pleurnichent maintenant c’est de leur faute ils ont flatté ces minorités ils ont craché sur leur propre pays en s’imaginant d’ailleurs qu’ils en attireraient les grâces ils leur ont ciré les babouches et si ça se retourne contre maintenant c’est bien fait pour eux!
Les plus prévoyants de ces quelques collabos s’imaginent peut-être qu’ils finiront comme les phanariotes de l’Empire ottoman.
Autant commencer par le califat de Saint-Denis!
Les territoires perdus de la République mais où les Français de souche et de coeur non muzz n’ont plus droit de cité ?
Aujourd’hui , le film « Class 84 » fait figure de gentille comédie , même si un des petits voyous se fait découper sur la scie circulaire . Un moment de calme dans ce film est quant un prof au bout du rouleau fait la classe avec un revolver dans la main , étrangement les élèves écoute dans le silence . pour le prof , la mort sera violente peut après .
a+
alf
sud ce syndicat est un ramassis de bobos , rien ne m’étonne venant de leurs part !
Bonjour,
Il faut lire l’article de « Libération » en entier.
Ces gens de Sud sont abominables.
Le sommet de leurs méfaits réside donc la conclusion.
Celle d’Awa qui pensait devenir avocate et dont ce collège, sous la dictature de Sud, a ruiné les ambitions …
Bonjour,
Ce qui est rassurant, c’est qu’il y a une résistance de certains professeurs contre ces totalitaires de Sud.
Ces professeurs résistants sont terriblement à plaindre …
Sud éducation est un ramassis de salauds et de salopes tyranniques , qui sont soutenus par les bobos gauchiottes ,députailles et l’ultra gauchiotte besancenot et autres traîtreset nuisibles à la Nation . C’est sûr ça va en faire du monde sur la bascule à charlot après jugement.
« L’histoire ne le dit pas qui parle d’une certaine Awa mettant sur le dos des profs la fin de ses ambitions »
le prénom de la fille ( faut savoir) c’est Hawa
et en rebeu c’est Eve !
même pas la pudeur de traduire en Français (si haï …..) le prenom
« Ils attendent quoi, les Français, pour mettre les Macron et Blanquer dehors » Hélas: Beaucoup attendent 2022 pour le réélire! Triste mais vrai.
DANS TOUTE CETTE NAVRANCE ENFIN UNE BONNE NOUVELLE :
« Un cas d’infection virale probablement rapportée d’Afrique et très dangereuse diagnostiquée en France © Sputnik . Michail Kirejew
FRANCE
19:37 30.06.2019URL courte
le début de la fin ??
et le bonheur d’ apprendre que la fin de l’ humanité viendra bien de ce continent ou une bande de singes a decidé de marcher sur ses bras arrière…car elle avait enfin compris que pour cueillir des fruits c’était plus avantageux
que de grandes idées, decouvertes, inventions ont pu emerger de creuset de l’ intelligence ………………….