Des europhiles, des dictateurs, des pourris. Tous sans exception. Bref, c’était la saison « petits meurtres entre amis ».
Courrier international fait un bon récapitulatif des têtes couronnées… Que des gens qui n’aiment pas leur pays ni le peuple.
Mais Lagarde mérite une mention spéciale. Elle a toutes les tares… et elle est à la tête de la Banque Centrale Européenne, donc aux ordres de Merkel.. ça va swinguer !
Elle s’était pourtant retrouvée au tribunal pour une affaire de détournement de fonds publics…
http://resistancerepublicaine.com/2016/09/07/christine-lagarde-directeur-du-fmi-en-proces-pour-avoir-permis-un-detournement-de-fonds-public/
.
Quelques-uns de ses hauts faits :
Christine Lagarde adore l’invasion migratoire !
http://resistancerepublicaine.com/2015/11/13/lagarde-et-le-fmi-veulent-encore-plus-de-migrants-pour-nous-remplacer/
.
Petits meurtres entre amis, vous dis-je…
.
Lire en complément cet article de François Billot de Lochner :
http://www.libertepolitique.com/Actualite/Editorial/Au-secours-Lagarde-revient
.
Qui sont les nouveaux dirigeants de l’Union européenne?
Le siège de la Commission européenne à Bruxelles.REUTERS/Yves Herman
Après quarante-huit heures de négociations, les Vingt-Huit ont trouvé ce mardi 2 juillet un accord sur les nominations à la tête des institutions européennes. Portraits.
■ Ursula von der Leyen (Commission européenne)
Pour Ursula von der Leyen, cette désignation à la tête de la Commission européenne est un retour aux sources, observe notre correspondant à Berlin, Pascal Thibaut. C’est en effet à Bruxelles qu’elle est née, en 1958. Son père est fonctionnaire européen et sa fille grandit dans la capitale belge jusqu’à l’âge de 13 ans, ce qui explique son excellent français. Elle vit ensuite en Basse-Saxe, une région que son père, un chrétien-démocrate, dirige durant quatorze ans. Après des études d’économie puis de médecine, elle vit durant quatre ans en Californie avec son mari. Le couple a sept enfants, une famille modèle qu’Ursula von der Leyen a souvent mise en avant.
Sa carrière politique commence sur le tard, mais elle est fulgurante. Après un poste de ministre en Basse-Saxe, elle est appelée au gouvernement par Angela Merkel dès la victoire de cette dernière en 2005. Proche de la chancelière, Ursula von der Leyen a la même longévité : après avoir été ministre de la Famille, puis du Travail et des Affaires sociales, elle est à la Défense depuis six ans. Elle devient la première femme à occuper ce poste en Allemagne. Longtemps considérée comme la dauphine d’Angela Merkel, son étoile a pâli avec une série de scandales qui ont éclaboussé la Bundeswehr et sa gestion du ministère. Sa popularité a fortement faibli.
Mais sa biographie, son engagement européen, notamment sur les questions de défense, la confiance qu’elle suscite à Paris et ailleurs ont joué en sa faveur. Son nom a souvent été évoqué comme secrétaire générale de l’Otan. Elle crée la surprise avec sa nomination comme présidente de la Commission européenne.
■ Charles Michel (Conseil européen)
Charles Michel est entré en politique très tôt. Engagé chez les libéraux dès l’âge de 16 ans, il décroche deux ans plus tard son premier mandat comme conseiller de la province du Brabant wallon. Débatteur habile et souriant en toute circonstance, ce fils d’une famille d’entrepreneurs s’avère être un véritable animal politique. À 23 ans, il devient le benjamin de l’Assemblée, avant d’être désigné ministre des Affaires intérieures du gouvernement wallon l’année suivante. En 2014, sa carrière prend son envol lorsqu’il devient, à 38 ans, le plus jeune Premier ministre de l’histoire belge.
Mais celui qui se dit attaché aux valeurs démocratiques européennes, forme une coalition avec les nationalistes flamands, avec qui le chef des libéraux avait pourtant juré de ne pas s’allier. « Une coalition kamikaze », pestera alors l’opposition. Charles Michel sera l’homme des réformes libérales, que ce soit dans la fonction publique ou sur le marché du travail. Mais son gouvernement vole en éclats fin 2018, lorsqu’il signe à Marrakech le Pacte mondial des Nations unies sur les migrations. Les ministres nationalistes flamands claquent alors la porte. Depuis, le Premier ministre était chargé d’expédier les affaires courantes jusqu’aux élections prévues cette année.
■ Josep Borrell (Haut Représentant pour les Affaires étrangères)
Il est une figure rassurante de la politique espagnole et européenne. Josep Borrel fait partie de ces barons du Parti socialiste ouvrier espagnol, rappelle notre correspondante à Madrid, Diane Cambon. Il y est entré comme militant dans les années 1970 et a été ministre de l’ancien chef de l’exécutif Felipe Gonzalez à deux reprises.
À l’âge de 72 ans, il va hériter du poste de Haut Représentant pour les Affaires étrangères européennes. Cette nomination à Bruxelles est une consécration pour ce Catalan à la chevelure blanche qui a été en charge de la diplomatie étrangère sous le gouvernement de Pedro Sanchez après plusieurs années passées loin de la politique.
Josep Borrell est un fervent défenseur de l’unité espagnole, mais aussi un partisan convaincu de l’Europe. Il connaît bien les hautes instances de l’Union européenne. D’abord député européen, il a ensuite dirigé le Parlement européen entre 2004 et 2007. Sa nomination marque le retour de l’Espagne sur la scène européenne. C’est en tout cas de cette façon que le chef de l’exécutif Pedro Sanchez a salué le départ de son ministre.
■ Christine Lagarde (Banque centrale européenne)
Après huit années à la tête du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde s’est taillé une réputation de grande diplomate, habile à forger des consensus, excellente dans l’écoute des opinions diverses des technocrates de l’institution monétaire et efficace dans sa manière calme de communiquer. Sous sa direction, le FMI a pris position sur des sujets qui auraient été tabous il y a seulement dix ans : les politiques de réduction des inégalités sociales, de promotion des femmes ou encore la lutte contre le réchauffement climatique.
Sélectionnée par les Européens pour diriger le FMI à un moment où l’on redoutait que la zone euro implose, Christine Lagarde n’a finalement pas eu à tordre les règles de l’institution multilatérale même pour sauver la Grèce, remarque notre correspondant à New York, Pierre-Yves Dugua. La BCE et les gouvernements des pays riches de la zone euro sont restés en première ligne. Âgée de 63 ans, on lui reproche encore de ne pas être économiste, de ne pas partager l’instinct des marchés, ce qui peut se révéler plus ennuyeux pour diriger la BCE que cela ne l’a été pour le FMI.
.
748 total views, 1 views today
J’ai suivi ce partage et cela m’a fait penser à YALTA où les » grands de ce monde » se sont partagés le gâteau en négociant comme des marchands de tapis. Je te laisse la présidence de la commission mais tu me laisses la BCE. Et les peuples, dans tout ça ? Les peuples ? On s’en branle ! Ils n’ont rien à dire….
Ça nous renvoie au livre de Juan Branche, crépuscule
Ne vous en faites pas. La coconne aura son plomb dans la tête coimme tous les soumis à l’islam. Justement parce que c’est exactement ce qu’elle cherche, comme tous ceux qui sont sur la liste.
On constate encore une fois inutilité de Europe, C.lagarde a été impliquée avec les magouilles dans affaire Tapie ,et il me semble qu’elle a même fait objet d’une mise en examen dans cette affaire , le comble..on la laisser gérer le FMI, et maintenant les fonds de Europe. Faut pas s’étonner qu’on a aucune confiance dans les dirigeants de notre pays et Europe…ils sont nombreux a avoir un passé noirci …en commençant par castaner par ces liaisons avec le milieux marseillais , heureusement que la France sera sauvée par islam après, instauration imminente de la république islamique française ,faite le choix judicieux d’aider a la réussite de l’ estimable république islamique Française ,comme le font heroiquement nos dirigeants et associations , qui avec aide de Dieu le tout puissant veillera a la victoire sur les mécréants qui peuples ce pays …pour ceux qui refusent la conversion il ne reste qu’une possibilité la fuite.
Que d’humour noir ou verdâtre !
Comment une femme aussi malfaisante et incompétente peut se maintenir durant des années à des postes de haute responsabilité ?
Je pense qu’elle en impose physiquement et qu’elle use de subterfuges vestimentaires et d’attifage BCBG
Ben oui ils ne sont pas fous pour certaines choses nos corrompus , ils mettent de nouvelles têtes ux commissions sachant très bien que les junker mario draghi , etc etc étaient de plus en plus contestés par la population européenne , donc pour calmer l’opposition des peuples européens , ils changent les têtes mais leurs directives sont les mêmes donc , ne nous attendons pas à un changement de politique ,l’enfumage européen va continuer de plus bel et même empirer !
Et voilà ou passe notre pognon.
avec ceux la , bel avenir !!!
l ‘on comprend le Brexit
Je me permet de vous signaler aussi:
l’élection de David Sassoli (PD) à la présidence du Parlement européen qui fait partie de l’opposition à Matteo Salvini.
« …et pour celles des banques qui souhaiteraient réaliser des opérations conformes aux dispositions de la charia … »
Nous n’avons pas élu cette femme qui tient un DISCOURS CREUX comme tous ces COMPTABLES dont parlait le Général de GAULLE car ils n’ont aucune vision pour la GAULE FRANCE qui est avant tout pour eux UN TERRITOIRE et comme disait E. Micron en Algérie SANS CULTURE » il n’y a pas de culture Française »
Du balais
Ouais la valse des pourris qui se distribuent la soupe bien grasse et qui viennent nous tondre chaque jour un peu plus pour garantie leurs fortunes et celles de leurs petits copains.. Cette Europe est un vrai terrier de chacal