A propos de ce nouveau scandale que nous évoquions hier :
Nous saluons le communiqué de la Droite Libre :
LA DROITE LIBRE S’INDIGNE DU SABOTAGE DE LA CAMPAGNE ÉLECTORALE ET INVITE À FAIRE LARGEMENT ÉCHEC À LA LISTE GOUVERNEMENTALE
13 mai 2019
Élu de son propre aveu « par effraction », le Président de la République s’évertue, avecconstance, à manipuler la campagne électorale présente de façon à perpétuer le seul cas de figure qui lui garantisse sa réélection en 2022, tout en fracturant chaque jour davantage la société française.
Par l’intermédiaire de politiciens médiocres et, manifestement désœuvrés, les équipes de la majorité présidentielle orchestrent une campagne de diffamation à l’encontre du parti dont ils veulent faire leur seul opposant, au motif que certains de ses responsables auraient rencontré un ancien conseiller de Donald Trump.
Ce serait un cas de « haute trahison » dont se serait notamment rendu coupable, Jérôme Rivière, candidat sur la liste conduite par Jordan Bardella, ancien député UMP. La Droite Libre dont Jérôme Rivière est un des fondateurs, appelle à la mesure et soutient le dépôtd’une plainte pour diffamation par la liste mise en cause. Il est du rôle des responsables politiques de nouer des liens avec des personnalités étrangères, contribuant ainsi à la fois au rayonnement de la France dans le monde et préparant les relations internationalesfutures de notre pays. Ça s’appelle tout simplement de la diplomatie.
Quant au cas particulier de Steve Bannon, il s’agit d’un des rares Américains à connaître réellement l’Europe pour avoir étudié, et continuer à le faire, les plus illustres penseurs du vieux continent. Cette affaire grotesque inventée de toutes pièces procède du sabotage désormais systématique des campagnes électorales en France, après le tragique précédent de 2017. De volonté délibérée, la majorité présidentielle veut priver lesFrançais d’un libre choix reposant sur une information complète et sereine.
Fidèle à ses principes fondateurs, La Droite Libre qui compte parmi ses membres, aussibien des citoyens n’adhérant à aucun parti politique que des militants de la totalité des formations se situant à la droite de l’échiquier, ne prend, à l’occasion du scrutin européendu 26 mai, position en faveur d’aucune liste. Mais elle appelle les électeurs à ne pas tomberdans l’opposition factice entre prétendus populistes et prétendus progressistes. En son âme et conscience, chaque citoyen soucieux de l’avenir de notre pays, aura à cœur de toutfaire pour que la liste outrageusement soutenue, en dénigrant ses adversaires, et au mépris des devoirs liés à sa fonction, par le président de la République, n’arrive ni à la première ni à la deuxième place, mais le plus loin possible, au soir du 26 mai prochain.
Christian Vanneste
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Les dernières infos de Pierre Jovanovic sur son blog
:::: https://www.jovanovic.com/blog.htm
Comme l’annonce depuis plusieurs mois Pierre Jovanovic ; ça commence à sentir le souffre puisque c’est Sputnik News qui nous livre l’info, et valide donc les révélations de Jovanovic lequel disait qu’aucune banque en Europe ne pouvait être un secours pour la DeutchBanc et que la patate chaude allait être refilée à la BNP qui bien que malade et très fragile était la seule qui pouvait panser les maux de la banque allemande.
Dans sa dernière émission sur TVLibertés, Jovanovic annonçait que les banques VENDAIENT ; elle sont toutes agonisantes.
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Cette banque qui pourrait déclencher une nouvelle crise financière mondiale
:::: https://fr.sputniknews.com/economie/201905131041104369-deutsche-bank-crise-financiere-mondiale/
Le plus grand organisme de crédit de l’Union européenne (UE), la Deutsche Bank, pourrait se trouver à l’origine de la prochaine crise mondiale. Le Fonds monétaire international (FMI) a déjà reconnu cette banque allemande comme la plus grande menace pour le système financier mondial.
La Deutsche Bank, ce pilier de l’économie européenne, pourrait-elle connaître le sort de Lehman Brothers et quel risque représenterait sa faillite?
§.- Un gouffre financier
Les problèmes de la Deutsche Bank sont apparus il y a plusieurs années, quand un trou de 12 milliards d’euros a été découvert dans sa balance financière.
Josef Ackermann, son président à l’époque, avait décidé de dissimuler cette réalité en falsifiant la comptabilité. Tout en présentant aux actionnaires de fausses informations, il affirmait que la banque disposait de fonds suffisants pour pallier toutes les difficultés. La publicité agressive déployée par la banque permettait également de maintenir l’image d’un établissement financier sûr et fiable, et, en grande partie, le soutien du gouvernement allemand.
Mais le trou financier de la banque s’est creusé, et la direction a engagé des mesures de plus en plus risquées pour redresser la situation. Ainsi, la banque s’est lancée dans les machinations avec le taux de référence Libor (avec la participation d’autres grands acteurs tels que les britanniques Barclays et Royal Bank of Scotland, la suisse UBS et la Société générale française). Quand cette information a fait surface, la Deutsche Bank a reçu une amende de 2,5 milliards de dollars, alors que l’agence S&P a revu à la baisse sa note de crédit de trois marches d’un coup, jusqu’à BBB+.
Après cela ont été révélés d’autres cas de fraude et d’abus, notamment avec les titres hypothécaires qui étaient vendus par la banque avant la crise de 2008, ainsi que des accusations de blanchiment d’argent. Par effet boule de neige, les montants des plaintes et les frais de justice ont grimpé, et, avec eux, les pertes.
L’éventuelle faillite de la Deutsche Bank a été évoquée pour la première fois par les analystes en 2013, quand l’établissement a reconnu avoir besoin de capitaux supplémentaires. Les responsables ont d’abord tenté de régler le problème en vendant 4,5 milliards d’euros d’actions. Puis il a été proposé aux investisseurs 8 milliards d’actions, mais avec une remise de 30% par rapport à leur valeur marchande, ce qui a suscité l’indignation de ceux qui avaient acquis ces titres plus tôt.
Deux ans plus tard, les tests de résistance ont mis en évidence que la Deutsche Bank manquait encore d’argent. Fin 2016, pour la première fois depuis la crise financière mondiale, la banque a rapporté des pertes nettes de presque 7 milliards d’euros.
§.- Les titres dérivés, une «arme de destruction massive»
Au même moment, le FMI a qualifié la Deutsche Bank de «plus grande source de risque parmi les banques mondiales d’importance systémique». Depuis, on entend régulièrement des prévisions annonçant la faillite du plus grand établissement financier européen.
C’est le portefeuille gigantesque de titres dérivés, estimé à 46.000 milliards d’euros — soit 14 fois le PIB de l’Allemagne — qui est considéré comme la menace principale.
…./….
Nous accusons !
636 universitaires et chercheurs ont à ce jour signé l’appel ci-dessous.
:::: http://www.tlaxcala-int.org/article.asp?reference=26020
IMG : Pedripol, Contexto, Espagne
:::: http://tlaxcala-int.org/upload/gal_20269.jpg
Depuis le 17 novembre 2018, plusieurs centaines de milliers de citoyen·ne·s expriment leur inquiétude face à un pouvoir sourd à leurs revendications. Ils trouvent la force et le courage de prendre la parole en disant haut et clair qu’ils en ont assez et ne subiront plus les effets des politiques néfastes qui depuis plusieurs décennies pillent impunément leur travail et les biens communs.
Les voix des gilets jaunes ont permis de mettre à nu les mensonges et les pseudo-justifications « scientifiques » données par le pouvoir et la meute de ses courtisans pour couvrir l’ampleur et l’importance de la prédation. Leur soulèvement a montré le vrai sens d’une politique qui a sciemment organisé le transfert des biens laborieusement accumulés par 95 % de la population vers les 5 % des couches les plus aisées. Leur force a été de faire prendre conscience de la duplicité d’un pouvoir, osant se féliciter d’avoir multiplié par quatre les énormes richesses détenues par une infime minorité.
Avec la grande majorité des Français.es, nous nous sommes reconnu.e.s dans la prise de conscience des gilets jaunes. Chacun.e de nous a pu constater que, dans tous les secteurs de la société, nous étions confronté.e.s aux effets des mêmes politiques qui tendent à aggraver constamment les inégalités sociales.
D’emblée, les demandes et les attentes de changement nées avec ce soulèvement populaire ont été clairement développées. Elles se sont aussitôt heurtées à un pouvoir qui n’a cessé d’en ignorer le contenu pour en affadir la portée déstabilisante. Ce fut d’abord le silence assourdissant d’un président et de sa cour, murés dans leur palais. Ce fut ensuite la tentative de duper la foule avec les fausses promesses et les petites aumônes concédées en faisant encore payer les moins aisés et les services publics. Ce fut aussi la mise en place d’un simulacre de consultation d’où l’on avait très savamment extirpé toute possibilité d’interaction et de débat. Ce fut, surtout, la décision claire et réfléchie d’empêcher par tous les moyens l’expression publique des demandes et des revendications.
[…]
Il faut que s’arrête cette violence d’État !
Nous accusons le ministère de l’Intérieur de provoquer sciemment les réactions de violence dans nos villes, sur les ronds-points et les lieux de discussions publiques, afin de criminaliser toute personne qui s’oppose à ses lois et à ses politiques funestes.
Nous accusons le gouvernement d’employer contre des civils des armes de guerre bannies dans l’ensemble des pays occidentaux en ignorant les mises en garde répétées de plusieurs organismes internationaux.
Nous accusons la hiérarchie de la magistrature d’avoir accepté de couvrir cette politique néfaste en appliquant aveuglément et servilement les ordres donnés par le pouvoir exécutif.
Nous accusons l’Inspection Générale de la Police Nationale d’avoir diligenté des enquêtes de façade et qui, à notre connaissance, n’ont débouché sur l’interpellation d’aucun membre des forces de « maintien de l’ordre ».
Nous accusons celles et ceux de la presse et des médias télévisuels qui ont accepté de se transformer en porte-voix du ministère de l’intérieur et de la préfecture sans accomplir aucun contrôle sur leurs sources.
Nous appelons l’ensemble des citoyens à se joindre au mouvement social pour dénoncer la dérive autoritaire du gouvernement et nous exigeons la démission de M. Castaner ainsi que l’ouverture d’une commission d’enquête indépendante afin de faire la lumière sur les dérives des vrais responsables de sorte qu’ils soient traduits en justice
FORMULAIRE de SIGNATURE À REMPLIR
:::: https://framaforms.org/nous-accusons-1557004350
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VOIR AUSSI :
Nous accusons ! (texte signé par des universitaires et chercheurs),(assez similaire à la pétition déjà affichée sur gilets jaunes de corrèze ici : https://giletsjaunes19.fr/plus-de-4000-intellectuels-et-universitaires-soutiennent-les-gj/)
Dernière porte de sortie avant l’enfer
Ne nous y trompons-pas, l’électorat macronien (ce qui lui reste encore) ne se dissipera pas…
Le seul moyen de « le » battre et de lui infliger une fessée est de ne pas nous éparpiller. Les petites listes peuvent-être sympathiques, j’en conviens, mais il s’agit de notre devenir. Ne franchissons pas le point de non retour. Ils accentuent la pression, ils accélèrent, parfaitement conscients que le temps les menace. Les verrous se mettent en place. Perdre 1, 2, 3% dans un éparpillement des voix peut nous coûter très cher. Pensons-y le 26 mai au matin… « Il » compte là-dessus, ne lui donnons-pas ce plaisir.
Tous aux urnes ! Votons efficace !
Il est plus que temps de retrouver notre Héritage. Peut-être un rendez-vous avec l’Histoire !
Amen !
Et dire que le grand remplacement à déjà commencé :
Regardez si vous pouvez le reportage sur la coupe d’Afrique des nations d’Evry (salut manu Valls le déserteur) et vous cherchez les blancs et les non-musulmans
https://rmcsport.bfmtv.com/football/un-quartier-d-evry-organise-sa-propre-can-avec-un-impressionnant-succes-1690678.html
Alors votez utile, volte Marine.
En ce qui me concerne, il peut bien marcher sur les nuages ou au plafond…