Marine : « le CCIF est un collectif de fondamentalistes islamistes »
Concernant l’islam, un tweet remarquable contre le CCIF :
📹 "Le "Collectif contre l'islamophobie en France" est un collectif de fondamentalistes islamistes, qui cherche à empêcher toute critique du fondamentalisme islamiste en la qualifiant d'"islamophobe". Je m'élève contre cela !" @France3tv pic.twitter.com/HH3r7n3ipB
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) March 17, 2019
Le souci est qu’on ne peut plus rien dire.
Donc Marine continue à parler de « fondamentalisme islamiste » par précaution.
De plus, on est très peu informé.
Par exemple, qui parie que les « filles » ayant agressé un couple de lesbiennes à Lyon étaient des « beurettes » ?
Nous rapportions samedi qu’un couple de femmes avait été agressé la veille au soir sur le parvis du centre commercial de la Part-Dieu. Une bande de filles en avait été à l’origine avant de prendre la fuite.
Selon le Parisien, les victimes disent avoir été la cible d’insultes homophobes parce qu’elles se tenaient la main. L’une d’entre elles, gendarme en Meurthe-et-Moselle, aurait menacé en retour le groupe belliqueux en lui faisant remarquer que l’homophobie était un délit.
C’est là que plusieurs jeunes femmes se sont jetées sur les amoureuses âgées de 20 et 23 ans pour les rouer de coups. Allant même jusqu’à utiliser un cutter pour lacérer le visage d’une des victimes.
Un lieu, des circonstances qui rappellent l’agression de Marin Sauvajon.
Sur les 8 furies, une seule a été retrouvée pour le moment. Elle est âgée de 17 ans et a été placée en garde à vue à Lyon vendredi soir. Elle nie les faits malgré le fait qu’elle ait été retrouvée en possession du cutter.
Le parquet a ouvert une enquête mais n’a pas encore communiqué. On ne sait donc pas si le caractère homophobe est retenu ou non à ce stade.
On ne sait rien du profil des « filles » comme dit « Lyon mag », c’est l’omerta dans la presse…
Mon professeur de khâgne avait doctement expliqué à la classe qu’on ne doit pas employer le mot « filles » couramment car cela désigne des prostituées dans la pureté de la langue en dehors d’un contexte de filiation.
On doit faire état de « jeunes filles » ou « petite fille » de préférence.
Cette expression vise à faire naître un sentiment de complaisance et d’indulgence envers ces furies.
Note d’Antiislam
Comme le souligne Maxime, le propos de Marine (sans doute, en effet, une contrainte de sa position de femme politique) est limité par le fait qu’elle ne se permet pas la critique de l’ « islam » tout court.
Mais, bon sang !
Nous sommes dans un pays occidental, pas dans l’un des 57 foutoirs totalitaires que sont les pays musulmans.
Toute doctrine, chez nous, peut être examinée, contestée, rejetée !
On peut être anti-platonicien, anti-chrétien, anti-kantien, anti-marxiste etc etc en Occident, comme on le veut !
On peut être anti-islam.
Je dirais même, quant à moi, qu’en tant qu’ami de la civilisation, ON LE DOIT !
Cela serait un comble !
Cette secte malfaisante qu’est l’islam nous agresse depuis 1400 ans, avec constance, et nous n’aurions pas le droit d’en penser du mal parce que une masse de ses sectateurs, profitant largement de nos largesses, s’est installée chez nous et veut nous l’interdire !
Ca suffit !
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Le CCIF demande une participation financière pour continuer ses bonnes oeuvres contre l’islamophobie – qui n’est pas un délit mais une opinion, bref contre des gens qui ont peur de ce que cette religion représente de plus cruel, la charia sous toutes ses formes. Bref, il demande des sous aux gens qu’il est prêt à poursuivre en justice si ces braves donateurs – ou leurs proches – ne partagent pas sa vision. « En même temps », on ne donne pas des sous à ce genre d’association si on ne partage pas les mêmes points de vue me direz-vous, mais, bon, on connaît la cohérence de certains, à mettre sur le même plan que ceux qui votent toujours pour les mêmes et qui pleurent après coup !
Le CCIF va sûrement porter plainte contres ces lesbiennes pour propos et provocation islamophobes – un crime selon eux.
Et il y aura des gauchistes pour les soutenir.
il y a qq années un groupe de maghrébines avait attaqué une jeune fille qui s’était exposée au soleil, en maillot dans un parc, étendue sur une serviette, ce que l’on appelle chez nous, » prendre un bain de soleil »,
sans doute qu’en islamie, ça s’appelle un appel au viol
tout simplement , il est tout à fait normal de se promener avec un cutter !! alors comme le testing , il y avait des intentions , et çà marche .. comment se fait il que le journal ne le dise pas ! c’est tout de même signé ! C’est la même chose que de se promener avec un couteau, C’est comme pour Marin , c’est tout à fait normal de mettre un matériau lourd dans le tube de sa canne .. les circonstances sont les mêmes : ne pas s’embrasser dans la rue ! Donc c’est intentionnel ! je suppose qu’elles vont avoir des années de prison !!
J’ai toujours eu un couteau (genre Opinel ou Pradel) dans une de mes poches. C’est culturel chez moi, c’est un outil qui sert de temps en temps. Mais aujourd’hui, c’est un révolver qu’il faudrait pouvoir trimbaler à portée de main, et ça risque de devenir de plus en plus nécessaire !!
La spice di counasse peut toujours nier l’agression, si c’est bien le cutter on retrouvera l’ADN de la victime, et à moins d’invoquer l’intervention mystérieuse d’Allah qui aurait déposé lui-même l’ADN dessus à l’insu de son plein gré (ce qui d’ailleurs signifierait qu’Allah veut qu’elle soit reconnue coupable), ça va être dur de prétendre n’y être pour rien.
Elle doit donc être particulièrement stupide.
Mais faut-il s’en étonner, quand on sait que 90% des musulmans ne lisent jamais de livres en-dehors du coran?
S’ils le lisent, ils sont sensés le réciter !
La plupart ne connaissent que quelques passages et quelques phrases. Voilà pourquoi ils ont besoin de « savants » de l’islam, imams, oulémas, ayatollahs, etc., pour leur dire quoi faire.
» Selon le Parisien, les victimes disent avoir été la cible d’insultes homophobes parce qu’elles se tenaient la main. L’une d’entre elles, gendarme en Meurthe-et-Moselle, aurait menacé en retour le groupe belliqueux en lui faisant remarquer que l’homophobie était un délit. »
De nouveau, la presse aux ordres tente d’exonérer la responsabilité des auteurs de ces faits. Quand le parisien écrit aurait menacé en retour, il ne s’agit en fait que d’une information envoyée aux agresseurs concernant le droit.
Ecrire qu’il s’agit d’une menace tend à faire croire aux lecteurs que ce sont les victimes elles-mêmes qui se sont montrées menaçantes.
Le Parisien est un journal de gauchistes très très à gauche, très islamophiles et adeptes de la culture de l’excuse.
Il reprennent donc naturellement en le validant l’argumentaire victimaire des agresseurs musulmans ou immigrés en toutes occasions.
Des pourritures.