En appel, le patron du Cénacle, qui, provoqué par deux voilées vraisemblablement envoyées par le CCIF avait refusé de les servir a vu sa condamnation maintenue, mais allégée. Même le procureur, d’habitude plutôt conciliant avec le CCIF, avait demandé dans son réquisitoire si les 2 voilées n’étaient pas là pour un testing…
C’est que ce repas dans un restaurant fort éloigné des lieux de vie des voilées était plus que suspect…. Certes, la réputation du Cénacle n’est plus à faire, mais de là à faire 120 km pour venir y dîner…
Néanmoins, testing or not testing, la loi est formelle, un commerçant ne peut refuser de servir un client fût-il en maillot de bain (quoique… ) ou voilé. Cela a coûté il y a 10 ans sa maison, son entreprise, son couple et quelques dizaines de milliers d’euros à Fanny Truchelut.
Le patron du Cénacle avait fait appel et a été moins lourdement condamné lors de cette seconde instance.
Les 5000 euros d’amende dont 2000 euros avec sursis deviennent 3000 euros avec sursis, exit l’obligation de voir figurer la condamnation dans les locaux du restaurant, plus 1000 euros de dédommagement des frais d’avocat.
Chronique de l’islamisation qui avance inexorablement, avec l’aide active de politiciens et de juges refusant de voir que l’islam est un système politique totalitaire qu’il faut combattre.
Mais nous nous pencherons aujourd’hui sur les petits coqs hargneux du CCIF qui glapissent, par la voix de leur avocat :
« Le maintien de la condamnation en appel est une victoire symbolique. Le montant ne représente rien. Ce que nous voulons, c’est faire comprendre aux gens que l’islamophobie en France est un délit. Ruiner les personnes n’est pas notre but », a fait savoir Ouadie Elhamamouchi l’avocat de la partie plaignante, au site Yabiladi.
https://lemuslimpost.com/islamophobie-condamnation-appel-confirmee-restaurateur-cenacle.html
Faire comprendre aux gens que l’islamophobie est un délit… L’avocat en question avoue qu’il n’est pas là pour défendre les voilées, mais pour éduquer ré-éduquer ces Français qui ne connaissent rien à la charia. La critique de l’islam est interdite dans le Coran… à tous. musulmans ou non musulmans.
Autant dire que, par cette phrase, Ouadie Elhamamouchi dit clairement qu’il confond le Code Pénal français et le Coran.
Le CCIF milite clairement pour l’introduction de la charia dans le Code Pénal français. On le savait déjà, mais ça va mieux en le disant.
Question du jour : que fait le Ministère public de ces affirmations fantaisistes et dangereuses ?
Depuis des lustres que le CCIF, sur ses sites, dans ses déclarations, dans les prétoires, répète ce mensonge total, il n’y a pas eu un Ministre de la Justice pour le rappeler à l’ordre ? Pas un, votre honneur.
Ni Dati, ni Urvoas, ni Taubira (évidemment ! ), ni l’éphémère Bayrou, ni Belloubet… ni aucun de leurs collègues n’ont levé le petit doigt pour remettre les choses à leur place et demandé aux procureurs qui acceptent que le CCIF soit partie civile de rappeler cette évidence. Quant à le leur demander dans les soirées parisiennes où Marwan Muhammad parade, petit four halal en main et Champomy dans le gosier… vous n’y pensez pas, Mââme Michu, ça ne se fait pas !
Il faut avouer que le CCIF joue allègrement des différents sens que le mot islamophobie a pris… grâce à ses bons offices !
Je ne connais qu’un seul sens, donné par l’étymologie : être islamophobe, c’est avoir peur de l’islam. Point barre. Et quand on a peur de l’islam, on peut en arriver à le haïr. Le sens le plus évident si on rapproche islamophobie et xénophobie : on peut avoir peur de l’étranger, on peut donc en arriver à le haïr. C’est le sens du suffixe grec « phobe ». Je suis islamophobe et j’en suis fière. L’islamophobie n’est pas un délit mais de la légitime défense.
Naturellement les mauvaises langues veulent donner un autre sens au mot en s’appuyant cette fois sur un sens dérivé du suffixe grec. Une phobie, une peur irrationnelle, comme l’arachnophobie, par exemple.
Dans ce cas il faudrait savoir. Si l’islamophobie était une phobie au sens pyschiatrique, elle serait irrationnelle, et les islamophobes des déséquillibrés irresponsables ne pouvant pas être condamnés, non ?
Un troisième sens se développe, grâce aux bons soins du CCIF et de ses pairs, les dhimmis. L’islamophobie serait le fait de s’opposer à l’islam Et AUX MUSULMANS !
L’islamophobie se définit étymologiquement comme la peur ou la crainte de l’islam, mais le sens a été déplacé vers la notion d’une « hostilité envers l’islam et les musulmans1 ». Née dans la première moitié du xxe siècle, la définition de ce mot varie suivant les milieux et les périodes. De nombreuses divergences quant à son origine existent, et certains y voient une manipulation sémantique visant à empêcher toute critique de l’islam. La presse francophone, ainsi que des institutions et des organisations internationales de lutte contre les discriminations, utilisent le terme pour désigner un phénomène de stigmatisationsociétal à l’encontre des musulmans2. Wikipedia.
Et comme le CCIF, les Indigènes de la République, les droidelhommistes et toutes les associations musulmanes sont très actives, notamment à Bruxelles, peu à peu les instances européennes finissent par utiliser leur langage…
Pourtant les choses sont simples, et établies officiellement par le Haut Conseil à l’Intégration présidé à l’époque par Michel Rocard. Haut Conseil dissous par Hollande car il était trop critique sur l’islam, ses rapports sur ce qui se passe dans nos banlieues, c’est des bombes.
Un autre sens peut être donné à Islamophobie : celui de critique de la religion. Pour Thomas Deltombe41, « En fonction des définitions possibles des mots utilisés, on doit bien distinguer deux positions : l’islamophobie de type raciste (« musulman » comme catégorie ethnique) ou « xénophobe » (l’islam comme élément « étranger ») et la critique légitime des dogmes religieux, quels qu’ils soient. »
Le Haut Conseil à l’intégration fondé par Michel Rocard s’est prononcé à ce sujet en 2003 lorsqu’il a rappelé unanimement que :
- En République, la critique de la religion, comme de toutes les convictions, est libre.
- Elle est constitutionnellement garantie et fait partie de la liberté d’opinion et d’expression.
- Elle ne saurait être assimilée au racisme et à la xénophobie42.
Wikipedia.
C’est d’ailleurs le sens que Fourest, ex-égérie des medias et de la laïcité, avait donné elle aussi :
Caroline Fourest soutient que le mot homophobie (et par extension lesbophobie, xénophobie, handiphobie ou mélanophobie) n’a rien à voir avec le terme islamophobie (et donc par extension judéophobie) car le premier stigmatise une phobie envers des individus pour ce qu’ils n’ont pas choisi, ce qui constitue un racisme, et le dernier confond la haine de l’islam (et non des musulmans) avec le choix qu’il représente. L’hostilité envers une croyance, une religion, une idéologie relève des appréciations personnelles et de la simple liberté d’expression49. Sa position est donc la même que celle du HCI citée plus haut. Wikipedia
Le débat fait rage… mais le CCIf, unilatéralement a tranché, l’islamophobie serait un délit !
Unilatéralement… pourtant les opposants et autres linguistes sont nombreux à montrer les dangers du prosélytisme du CCIF ! Même le MRAP n’est pas d’accord, c’est dire !
Le concept d’islamophobie, ainsi que le terme lui-même, ont été critiqués sur plusieurs aspects. Des opposants au concept soulignent que le terme mélange la critique d’une religion à celle de ses adeptes. Ainsi pour Régis Debray, l’usage du terme islamophobie s’apparente à un chantage qui amalgame la critique d’une religion avec l’injure faite aux fidèles de cette religion51.
Didier Delaveleye, pour le Mouvement contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie (MRAX), rappelle la construction du mot et le sens qui en découle :
« En voilà un qui est au hit-parade des mots problèmes : l’islamophobie. Ce terme s’est imposé aujourd’hui pour désigner l’hostilité spécifique vis-à-vis de la population de religion ou d’origine musulmane. Toutefois, cette simple définition pose déjà un problème puisque littéralement, l’islamophobie ne désigne pas la crainte du musulman, mais la crainte d’une religion particulière, l’islam. »52
[…]
Le dessinateur Charb, assassiné dans l’attentat perpétré en janvier 2015 contre le journal Charlie Hebdo, dresse un « réquisitoire virulent » contre l’utilisation du mot « islamophobie » avec la « complicité des médias », dans un livre posthume intitulé Lettres aux escrocs de l’islamophobie qui font le jeu des racistes :
« Si demain les musulmans de France se convertissent au catholicisme ou bien renoncent à toute religion, ça ne changera rien au discours des racistes : ces étrangers ou ces Français d’origine étrangère seront toujours désignés comme responsables de tous les maux. […]
Les militants communautaristes qui essaient d’imposer aux autorités judiciaires et politiques la notion d’ « islamophobie » n’ont pas d’autre but que de pousser les victimes de racisme à s’affirmer musulmanes54,55. »
Pour le politologue spécialisé de l’islam Gilles Kepel, l’islamophobie « est un concept récent qui repose sur une ambiguïté dans la mesure où il se présente comme le symétrique de l’antisémitisme. Alors que la lutte contre l’antisémitisme criminalise ceux qui s’attaquent aux juifs sans empêcher pour autant la libre critique des textes sacrés, le combat contre l’islamophobie fait de toute réflexion critique sur l’islam un interdit absolu. L’ambiguïté entretenue par le CCIF et certaines associations antiracistes qui tendent à confondre antisémitisme et islamophobe est donc une imposture. La lutte contre l’islamophobie consiste à faire encore que la vision la plus rigoriste de l’islam ne puisse plus être mise à distance, y compris par les musulmans eux-mêmes, lesquels, le cas échéant, se font traiter d’apostats »56. wikipedia
Quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils fassent, je continuerai à me dire islamophobe et à en être très fière.
Quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils fassent, je continuerai à me battre contre l’islam, cette idéologie obscurantistes, misogyne et totalitaire.
Quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils fassent, je continuerai à dénoncer les oeuvres du CCIF et son existence, police de la pensée, n’ayant qu’un seul but, transformer notre pays en pays musulman.
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Pour ne pas risquer de problème, si j’étais restaurateur, je ferais toute ma cuisine au saindoux. C’est bon et sain.
La loi oblige tout commerçant à servir tous ses clients, qu’ils soient voilés, habillés comme un clochard, en maillot de bain … etc. Cependant , en faire une affaire d’état et condamner le commerçant à une amende disproportionnée, je trouve ça excessif ! D’autant plus que, dans certaines banlieues islamisées, une femme entrant dans un café ne sera pas servie, elle sera peut être expulsée (plus ou moins violemment). Ce qui n’est pas légal non plus. Deux poids deux mesures !
« Quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils fassent, je continuerai à me dire islamophobe et à en être très fière.
Quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils fassent, je continuerai à me battre contre l’islam, cette idéologie obscurantiste, misogyne et totalitaire.
Quoi qu’ils en disent, quoi qu’ils fassent, je continuerai à dénoncer les oeuvres du CCIF et son existence, police de la pensée, n’ayant qu’un seul but, transformer notre pays en pays musulman. »
Bravo Christine j’adhère totalement.
Sur le plan métaphysique : Il y a, peut-être, (la « volonté » définie par Schopenhauer) quelque chose derrière les phénomènes qui nous apparaissent. Mais je suis convaincu que les « religions », et surtout celle dont il est question ici, ne sont que des « délires humains », bien trop humains. Ce sont de formidables moyens de manipulation, d’asservissement, de domination aux mains de gourous, qui comme chaque être périssable, produisent, chaque jour, leur merde puante et devraient, pour cette simple raison physiologique, en tant que producteurs d’excréments, être humbles et donc renoncer aux délires idéologiques…et surtout à les imposer : cette misérable charia et son cortège de bêtises rances…
Je ne sais qu’une chose c’est que je ne sais rien ou presque rien…
Mais vous n’en savez pas plus que moi, et même plutôt moins, et n’avez accès à rien de profond sinon à votre abyssale bêtise que vous érigez en vérité absolue et non critiquable
Alors vos bobards de jobards gardez les pour vous et permettez-moi de ricaner !
Christine : je te soutiens.
Nom de Dieu,que fait la religion dans notre justice !
En l’an 2019,que fait la religion dans notre république !
Une religion sans foi ni loi,sans espérance .
Une religion venue de nulle part sauf un délire paranoïaque du premier gardien de chèvres venu .
Une religion qui ne relie rien que tisser sa haine comme un poison .
Que fait cette religion dans notre pays !
On a eu assez de mal comme ça à se débarrasser des inquisiteurs et autres saint dominique ,on a eu assez de mal à se débarrasser du péché originel et de toute la clique .
Alors c’est pas pour accepter les ducon ouakbar de la terre entière .
Rentrez chez vous , retournez d’où vous venez :le néant de l’humanité ,les faux prophètes ,les gourous à deux balles .
Vous nous emmerdez et vous n’avez rien à faire chez nous .Même ma postière le dit .
HAMAMOUCHI
le grand Hama chie mou !!
fait de suite penser au grand mamamouchi de Molière, ce comique impayable qui sévit depuis 5 ans au barreau de Paris
la aussi la « discrimination positive » a fait des ravages
entre les « praisentéman » et les » mon client il est trés zontil », passer un aprés-midi peut se revéler trés distrayant
une bonne note aux familles de sub sahariens, dont l’ avocat est toujours en « pays » et qui arrivent 17 membres de la famille, pour servir de « supporters », intervenant dans les conclusions, manifestant trés fort leur satisfaction ou leur désaprobation…
VRAIMENT FOLKLO !!
ET ………… fréquentes et grosses pintes de rire assurées 😆 😆
Bravos! madame Tasin.
Ne pourrait-on pas dire « coranophobe », un terme qui ne vise ni cette prétendue religion, ni leurs croyants, mais bien le rapport qu’ils ont au texte (la soumission, islam) et qu’ils font subir à ceux qui les entourent, muzz ou non?
Cela permettrait de sortir de la stigmatisation ambiante que vous décrivez, en pointant bien le noeud du problème.
Bonne continuation, et surtout tous mes encouragements.
Bonjour,
Il n’y a pas que le Coran qui soit en cause en fait.
La biographie de Mahomet,la Sira, est tout aussi à vomir.
Je ne parle même pas des hadiths, dont on peut trouver facilement des listes sur la Toile, qui sont pires que le Coran et la Sira.
C’est bien tout le corpus musulman, l’islam en entier qui est tolitaire et doit être mis en cause …
Que voulez-vous attendre d’une prétendue religion qui est en réalité ce que nous appelons aujourd’hui une secte à gourou, fondée par un pervers narcissique psychopathe cupide, libidineux qui ne cherchait qu’à satisfaire ses appétits en tous genres, de richesse, de pouvoir et sexuels, en se prétendant l’envoyé de Dieu pour contrôler et fasciner ses adeptes, naïfs ou intéressés?
Mahomet était le Claude Vorhilon (Raël), le Gilbert Bourdin, le Ron Hubbard, le Robert Spatz, le Jo Di Mambro, le David Koresh, le « révérend » Jim Jones du VIIe siècle, la guerre et l’assassinat en plus (Pour Di Mambro, Koresh et Jones, on a aussi eu l’assassinat, et même la guerre – ce qui montre bien qu’on est dans la même logique).
Intéressante video sur la secte OKC du gourou Robert Spatz:
https://www.dailymotion.com/video/x5vkl6r
A certains moments, le parallèle avec Mohammed est saisissant, quand on a étudié sa biographie et les débuts de l’islam. Les images de la secte donnent l’impression de plonger en 622.
Mounir Mahjoubi candidat à la mairie de Paris
Posté le 7 mars 2019 12:19 Modifié le 7 mars 2019 13:51 EMMA FAURY
Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État au numérique, a annoncé être candidat à l’investiture LREM pour la mairie de Paris pour les municipales de 2020.
Le secrétaire d’État au numérique a annoncé dans une interview au Parisien qu’il sera candidat à l’investiture En Marche aux élections municipales 2020 à la mairie de Paris.
« Je serai candidat à l’investiture. Aujourd’hui, j’ai un projet et une volonté forte pour Paris. Certains n’osent pas le dire, mais il ne faut pas avoir de fausse pudeur. Je serai candidat dès que le processus de désignation sera ouvert », a-t-il confirmé dans les colonnes du quotidien.
https://news.sfr.fr/actualites/politique/mounir-mahjoubi-candidat-a-la-mairie-de-paris.html
On nous fait croire à l’integraTino et au vivre ensemble, mais dans les faits ils ne s’integrerone jamais et ne vivront jamais avec nous.
Selon leur volonté relayée par nos autorités, c’est nous qui devons nous adapter à eux et être heureux qu’ils tolèrent que nous puissions vivre encore, chez nous à côté d’eux.
Ils ne sont pas fous, ils faut bien qu’il y aient des connards qui bossent pour payer leurs allocations.
Petit à petit nous devenons leurs esclaves en travaillant pour financer le coup social et la fraude sociale dont ils sont les principaux profiteurs,avec leurs multiples épouses et leurs ribambelles d’enfants presque tous délinquants, plus les médicaments envoyés au bled aux frais de la sécu, les cousins qui viennent se faire opérer sous couvert de la carte vitale qui sert pour toute la famille et les amis et les retraites que nous continuons à verser à des personnes qui sont mortes depuis longtemps.
Et en même temps Macron fait les poches des étudiants et des retraités et maintenant voudrait une deuxième journée travaillée au profit d’un social.
En plus il faut supporter l’atteinte incessante à nos coutumes,crèches, croix, fêtes religieuses catholiques, tenues vestimentaires,porc dans les cantines et restaurants et admettre leurs revendications, voilés, sales de prières, prières de rue, mosquées, hallal. Ramadan, etc…
Elle est où l’intégration dans tout çà, ils ne s’ intégrent pas, ils sont en train de nous désintégrer.