Tel est le titre d’un article du Figaro angoissant (voir en fin d’article). Une réalité. Qui ne nous apprend rien.
Naturellement, l’OCDE en déduit que la France laisse ses jeunes à l’abandon, et l’UE de demander à Macron de s’occuper un peu plus de ses descendants d’immigrés.
Uniquement.
L’UE se soucie comme d’une guigne des Français issus de Français qui sont quand même 1,8 million sans emploi non plus…
Nous avons pour notre part une autre explication que l’OCDE sur le nombre élevé d’immigrés et de descendants d’immigrés oisifs et sans formation. Enfin pas une, mais DES explications, qui se cumulent.
-Boycott de l’école par ces gens issus d’une autre culture, opposés à découvrir la culture du pays d’accueil et encore plus opposés à s’y intégrer. Merci l’islam, merci la charia.
-Ces mêmes djeunes non seulement ne travaillent pas à l’école mais en sus empêchent ceux qui le voudraient de le faire, immigrés ou Français d’origine.
-La France, un véritable Eldorado pour qui veut vivre de prestations sociales et d’allocations familiales, sourtout quand on vient d’ailleurs. Pourquoi se fatiguer ?
-La France et ses territoires perdus de la République, un véritable paradis du dealer qui gagne des fortunes sans rien faire, a le rôle envié de caïd et apprend au petit frère de 10 ans qu’il n’est pas besoin de bosser à l’école, faire le guet suffit pour rouler sur l’or, même à 10 ans.
-La France, quel que soit le gouvernement, est régie par les gauchistes et droidelhommistes qui se battent pour que les nuisibles et les inutiles aient droit à tout sans rien faire. Et les gouvernements en place acquiescent et obéissent.
Nous avons aussi des explications concernant le nombre d’oisifs de chez nous :
-Quant à nos jeunes à nous, quel avenir dans nos petites villes de province où il n’y a plus d’usine, plus de boulot, où on survit dans la précarité avec des salaires et des retraites de misère ? Macron ( et ses prédécesseurs ) ont fait de la France profonde un désert. Plus d’hôpitaux, plus d’écoles, plus de commerces, plus de services publics… Les jeunes n’ont même plus les moyens de passer le permis et encore moins d’acheter une voiture pour aller travailler, fût-ce une voiture de 1000 euros. C’est ça la mondialisation, c’est ça l’UE qui obligé à délocaliser à tour de bras, qui envoie les Polonais travailler chez nous et autorise les patrons à payer les charges sociales… à la Pologne. Et que dire de l’école qui fait garderie et manipulation au lieu de former nos jeunes et de les sortir du marasme ?
-Et puis, est-ce bien normal de continuer à nous imposer des mineurs isolés, qui nous coûtent 50000 euros par an chacun, quand les nôtres sont dans le désespoir et l’inactivité ?
Macron, démission !
Trois millions de jeunes totalement oisifs, dont 40 % issus de l’immigration
Par Jean-Pierre Robin
Mis à jour le 20/01/2019 à 19h06 | Publié le 20/01/2019 à 18h40
ANALYSE – Ces chiffres de l’OCDE sur les 15-34 ans résument tout le mal français.
Deux longs mois d’hiver et de ténèbres où il n’est question que de pouvoir d’achat et de justice fiscale. La croissance, le chômage, les déficits, la conjoncture internationale pour le moins incertaine, etc., tous les autres aspects de la vie économique et sociale du pays sont passés à l’as. La France vit sur son rond-point, comme Diogène sur son tonneau, hors du monde. Chacun de nous est devenu la dupe consentante de cette obsession nationale de la fiscalité portée à incandescence comme jamais. Et pour sa part Emmanuel Macron est le premier à en être prisonnier.
Dans sa «lettre aux Français» publiée le dimanche 13 janvier à 20 heures tapantes pour présenter le grand débat national, le président de la République a exposé sa conception des discussions lancées officiellement deux jours plus tard, le 15 janvier à Grand Bourgtheroulde, dans l’Eure. Rien de plus légitime alors que l’idée de cette thérapie de groupe à l’échelle de l’Hexagone lui revient quoi qu’on en pense. De même, était-il normal que le chef de l’État énumère une trentaine de questions qu’il souhaite voir évoquer. Le mot «impôt» (ou ses synonymes «taxe» et «fiscalité») revient à douze reprises dans sa lettre, reflétant la délétère passion française pour les polémiques fiscales. En revanche, les mots «jeunesse» et «production» sont totalement absents de son propos.
Les trois «ni»
C’est là que le bât blesse. Car s’il est un problème douloureux, à la racine de tous nos maux, c’est bien celui-ci: un nombre aberrant de jeunes Français se trouvent aujourd’hui à l’écart de toute activité productive, dans la plus parfaite oisiveté, «la mère de tous les vices» selon la sagesse populaire. Ainsi l’OCDE, l’Organisation de coopération et de développement économiques, vient-elle de calculer ce chiffre terrifiant présenté l’autre semaine lors d’un séminaire OCDE-Ajef (Association des journalistes économiques et financiers): «En France, 3 millions de personnes âgées de 15 à 34 ans ne sont ni en enseignement, ni en formation, ni en emploi, dont 40 % sont de jeunes issus de l’immigration», a-t-il été dit lors de cette réunion consacrée à l’intégration des migrants dans les pays de l’OCDE.
Précisons bien chacun de ces termes et des chiffres tels que nous les a communiqués Jean-Christophe Dumont, chef de la division des migrations internationales à l’OCDE. Les trois «ni», «ni en emploi, ni en enseignement, ni en formation» forment désormais le concept le plus pertinent pour appréhender la situation des jeunes vis-à-vis du marché du travail. Ce que les Anglo-Saxons, qui adorent les acronymes, appellent les «NEET» (not in employment, education, or training), notion développée à la fin des années 1990, dans un rapport de l’administration britannique.
L’UE a demandé à la France (ainsi qu’à l’Autriche et à la Belgique) «d’améliorer l’insertion sur le marché du travail des descendants d’immigrés»
L’OCDE, décryptant les données de l’enquête emploi de l’Insee (2017), dénombre en France très exactement 2,850 millions de «NEET» qui ont entre 15 et 34 ans. Cela représente un taux d’inactivité de 18,1 % pour cette tranche d’âge qui rassemble 15,750 millions de gens (et un taux de chômage stricto sensu de 14,3 % selon l’Insee, sachant que pour une partie de ces jeunes l’inactivité est un choix plus ou moins délibéré).
Sur les 2,850 millions de «NEET», 1,75 million sont des «natifs de natifs» pour reprendre la formulation de l’OCDE signifiant qu’ils sont «nés en France, de parents nés eux-mêmes en France». Entre parenthèses, les statistiques «ethniques» sont interdites dans notre pays comme chacun sait, mais l’Insee et l’Ined sont tout à fait autorisés à demander le lieu de naissance dans leurs enquêtes!
Grâce à quoi l’OCDE peut identifier 1,090 million de personnes vivant en France, «ni en emploi, ni en enseignement, ni en formation» et qui sont «issus de l’immigration» (soit un sur quatre). Cette expression recouvre deux cas de figure: d’une part, les 500 000 «NEET» nés à l’étranger (définition de l’immigrant), dont 445.000 dans un pays autre que l’Union européenne, et d’autre part les 590 000 «NEET» nés en France et «ayant au moins un parent né à l’étranger».
De ce décompte qui ferait un excellent exercice pour les insomniaques en mal de sommeil, on se gardera du moindre commentaire. À chacun de se faire son opinion. Rappelons seulement qu’au vu de ce constat, l’Union européenne a demandé à la France (ainsi qu’à l’Autriche et à la Belgique) «d’améliorer l’insertion sur le marché du travail des descendants d’immigrés» (recommandation du
7 mars 2018).
On se demande comment l’Hexagone pourrait être une terre d’asile accueillante alors qu’il est incapable de bien traiter ses autochtones.
Les eurosceptiques vitupéreront contre «ces eurocrates qui se mêlent de tout». Mais il faut se rendre à l’évidence: notre pays intègre certes très difficilement ses immigrants mais tout aussi mal «les Français de souche» pour dire les choses crûment. Et d’ailleurs on se demande comment l’Hexagone pourrait être une terre d’asile accueillante alors qu’il est incapable de bien traiter ses autochtones. La comparaison avec l’Allemagne est édifiante, qui affiche une proportion des 15-34 ans «ni en emploi, ni en enseignement ni en formation» de 7 % pour ses autochtones et de 10 % pour les personnes issues de l’immigration. La Suède et la Suisse ont des performances similaires.
En l’occurrence le territoire français est l’un des plus désœuvrés de l’OCDE, ce «club des pays riches» comme on la présente souvent. De même la France arrive dans le dernier tiers du classement de l’OCDE mesurant les compétences de base des adultes en lecture et en calcul (enquête PIAAC). Le tableau est cohérent: la difficulté des jeunes Français à s’employer découle directement de leurs carences culturelles sur un marché mondial ultraconcurrentiel. «Quand je me regarde je me désole, quand je me compare je me console»: ce proverbe nous a longtemps servi de viatique. Il est hélas devenu obsolète. Un vrai sujet de débat!
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C’est triste à dire…très triste… mais une guerre remet bien les choses en place
Je crois que la France va finir par faire faillite, ça ne se peut pas dépenser comme ça pour des migrants/ déserteurs et ne jamais payé la facture.
C comme pour un bateau tu as de la place pour 50 personnes et on en mets 300. Alors tout le monde se noie. L’avenir est sombre.
J’aimerais savoir comment on peut arriver au chiffre de 40% de descendants d’immigrés parmi les chômeurs, quand les statistiques ethniques sont interdites.
Par ailleurs, ce chiffre de 40% signifie peut-être tout simplement que 40% des jeunes sont issus de l’immigration.
Il faut dire que l’Ecole y est pour quelque chose !
Plusieurs aspects :
1/ Enseignant dans le professionnel au début de ma carrière les choses étaient déjà claires. L’EN et ses professeurs en majorité intello-gauchos n’aiment pas le monde du travail, considèrent que s’y diriger est symbole d’échec social et scolaire… Combien n’ai-je pas entendu de fois dénoncer la sélection par l’échec ? Si échec il y a, il faut apprendre à le surmonter… Et des intelligences, il y en a beaucoup de différentes…
D’autre part le système avec sélection permettaient à des jeunes issus des milieux dits défavorisés de s’extraire et de réussir, ce qu’il ne font pas dans un contexte de nivellement des savoirs…
2/ L’Ecole désormais a dévalué l’effort, les choses devant venir d’elles mêmes, comme il se dit, apprendre à apprendre, autrement ce qui revient à ne rien apprendre si vous n’y êtes pas poussé ou si votre penchant !
3/ Dans le contexte immigrationniste, les immigrés sont considérés par l’EN comme des personnes défavorisées, la compassion victimaire mal placée a accéléré et aggravé cet absence d’effort…
Le résultat, tout le monde en pâtit.
Les enfant d’immigrés à qui il n’est demandé AUCUN effort d’assimilation, voire sont même CONFORTÉ dans la DIFFÉRENCE et dans la MÉDIOCRITÉ*. L’ELCO en est le symbole visible, a priori pour retourner au pays… Vous en avez beaucoup vu des nés en France partir dans le pays de leurs parents !
* : si certains s’en sorte, c’est que des profs sont exigeants et que quelques familles veulent s’assimiler malgré la pression communautaire -croissante- à ne pas le faire.
Quand aux français, dans le contexte égalitaire, on ne les enseigne pas, on nivelle leur savoir à minima sur ceux des enfants issus des milieux immigrés !
C’est curieux car sur le site du grand débat on trouve des fiches thématiques et concernant l’item immigration et intégration on peut lire :
La part des personnes immigrées dans la population française était de 7,4 % en 1975 et de 9 % en 2013. En comparaison internationale, la France est dans la moyenne des pays de l’OCDE. Deuxième pays le plus peuplé de l’Union européenne, elle se situe 16e sur les 28 en proportion des étrangers dans la population totale. En 2015, 7,3 millions de personnes nées en France ont au moins un parent immigré, soit 11% de la population. Parmi eux, 45% sont d’origine européenne (Espagne, Italie, Portugal), 31% sont issus du Maghreb, 11% d’Afrique Subsaharienne, 9% d’Asie et 4% d’Amérique et Océanie
Alors on ne peut pas utiliser le statistiques ethniques pour envisager que l’immigration pourrait polluer notre vivre ensemble (couts sociaux, financiers,…) mais les utiliser pour dire que les étrangers ne posent pas de problèmes là on met ces chiffres bien en avant. Mais si je compte bien en 2015 42% des naissances en France ont aux moins un parent immigré, et souvent deux, du Maghreb et d’Afrique subsaharienne soient plus de 3 millions de naissances de binationaux à 95% musulmans qui auront 2 passeports et qui auront eux aussi des enfants binationaux.
SOURCE : https://granddebat.fr/media/default/0001/01/8c954969fbba1f2cc8b27ac2c2537c458ae76915.pdf
La France est gouvernée par des élitistes qui n’ont jamais rencontré un seul immigré de leur vie .
Ils n’ont jamais au grand jamais parlé,essayé de communiquer de quelconque façon que ce soit avec un (ou une) immigré .
Ils ne savent rien de la façon de se comporter ,de « comprendre » un problème qu’a un immigré en dehors de « combien ça me rapporte » et « dégage vielle pute – ou viielle merde de français « ..
Ils ne se sont jais heurtés à la mauvaise foi,au mensonge, au mépris qui suinte de leurs propos pour n’importe quel sujet de la vie quotidienne aujourd’hui en France ..
Ils n’ont jamais été sidérés par leur indigence à vivre au quotidien une vie correcte , ils n’ont jamais été sidérés par le fait que même quand on est plus que corrects avec eux et cherchant à les aider,leur réaction est toujours potentiellement hostile,soit parce qu’on est une femme ,soit parce qu’ils ont une réaction de rejet viscérale contre notre éducation,nos codes ( en perdition ) de « politesse » ,vous savez,le truc qui permet de ne pas se foutre sur la gueule toute la journée ..
Politesse qui fout le camp à toute allure car il semble que tout français « mortifié » (comme a dit un psychiatre en parlant des gilets jaunes ) finira par se mettre au diapason ;
La société se détruit lentement mais sûrement sous l’influence des plus ignares,des plus vulgaires,des plus agressifs .
C’est comme ça :une société s’acculture (perd sa culture ) toujours à l’avantage du plus primaire et plus violent .
De l’intégration ?Mais ils ne savent même pas de quoi ils parlent ,nos petits marquis qui trouvent ces nuisibles » adoables » mais qui n’en ont approché aucun et aucune à moins de 20 km .
La preuve,ce connard de Macron qui s’est approché de ces bombes à désintégration (caraîbeénnes et francaoui-marocaine ) et qui a eu droit à un doigt d’honneur et au remugle nauséabond d’un garde du corps ,barbouze devant l’éternel ,qui l’ a roulé dans la farine jusqu’aux omoplates .
Voilà ce qui se passe quand on les approche de moins de 20km les « immigrés » . .Eh oui, les petits marquis se font désintégrer .
Les français en ont assez,les français en ont ras la casquette de leurs raisonnements fumeux ,à tous ces petits marquis qui ne sont jamais sortis de leurs ministères , de leurs beaux quartiers et de leurs belles îles en mer .
Les français ne peuvent plus avaler une miette de leur incompétence et leur hypocrisie .
Le débat des maires nous a bien éclairés sur le sujet . Ils sont tout aussi incompétents que leurs maîtres .
On ne peut pas disposer d’un indicateur de l’oisiveté.
Par exemple, une personne, jeune ou non, peut être autoentrepreneur ou même profession libérale (jeune avocat isolé en cabinet individuel par exemple) et passer des jours sans avoir le moindre client.
Sur le papier, il a un emploi, mais en fin de mois, il peut n’avoir un revenu que de quelques centaines d’euros.
Un artisan faisant des ménages peut travailler 5 heures par semaine faute d’avoir assez de clients et gagner 200 euros par mois… oisif ou pas ?
Idem pour les temps très partiels en réalité assez fréquents dans le milieu associatif (des contrats à 12 h/semaine…).
Au contraire, on peut ne pas avoir d’emploi mais avoir un ou des projets réels. Avec la réforme de l’emploi, cela peut ne pas être suffisant aux yeux des pouvoirs publics pour être comptabilisé comme un actif qui ne se complaît pas dans l’oisiveté…
D’ailleurs, sur le terrain, le fait de préparer un concours n’est pas vraiment considéré comme une démarche de recherche d’emploi par les agents de pôle emploi. Comme si la réussite à ce genre d’épreuve ne se préparait pas, comme si ça tombait du ciel…
Ces statistiques sont utiles pour Macron car elles nourrissent son approche simpliste entre les « rien » et les autres, au service de son projet viscéralement anti-social.
D’ailleurs, le trafic de drogue est désormais intégré dans le PIB. Celui qui deale est considéré comme un plus gros bosseur que celui qui apprend la culture de son pays pour la transmettre en travaillant dans un établissement d’enseignement, un musée, un château, des expositions…
En complément de mon commentaire précédent concernant l’invasion par Sebta ou CEUTA
SEBTA/CEUTA sur huffpostmaghreb.com
:::: https://www.huffpostmaghreb.com/news/sebta/
tres bon article
c’est exactement la realite
La récolte actuelle des gilets jaunes pourrait trouver son prolongement au travers de la jeunesse .
C’est en regardant une vidéo de l’Acte X à Toulouse que ce sentiment m’est venu: beaucoup de jeunes parmi les manifestants qui se sont faits gazés et tirés comme des lapins
Les jeunes ne supportent pas la répression . Donc leur révolte va gronder je pense. Surtout que l’e RIC correspond parfaitement à leur conception de l’engagement démocratique
Les Actes futurs vont être ceux de la jeunesse je pense . Et là Macron va souffrir car ils ne vont pas se laisser faire à tout point de vue et ils n’hésiteront pas à affronter les FDO en s’organisant en conséquence
Avec eux plus il y aura de blessés dans leur rang et plus ils défendront
Enfin c’est ce que j’espère pour que la jeunesse retrouve elle aussi la maîtrise de son avenir