L’islamisation de l’Europe sous la férule allemande, c’est aussi ça, le Traité d’Aix-la-Chapelle

Préambule

Lors de sa visite ‘historique’ – le 20 Novembre 1977 en Israël -, en vue de la signature d’un accord de Paix avec Israël, Sadate fit une apparition remarquée lors du cocktail donné en son honneur à l’Hôtel du Roi David à Jérusalem. Applaudi par tout le gratin des dhimmis Israéliens, il y arbora une cravate rouge et noire ornée… de croix gammées sénestrogyres ! (Voir photo de la cravate en gros-plan).

J’étais présent à la manifestation de protestations contre cette ignominie et abjecte offense au peuple hébreu que Sadate nous jetait à la face. Mais les médias gauchos-bobos israéliens, repris en chœur par ceux du monde entier, nièrent tout d’abord le fait ! Puis, devant l’évidence, ils tentèrent de le justifier en alléguant que Sadate avait mis cette cravate suite à une inadvertance de mauvais goût de son secrétaire-majordome, ou pour faire “un ultime clin d’œil à son passé de pronazi repenti”.

Le courageux journaliste-reporter français Jean-Pierre Péroncel Hugoz fut le seul qui relata cet « incident » dans son ouvrage « Le Radeau de Mahomet » (Ed Lieu Commun, p. 78, 1983), mais il n’eut aucune répercussion sur les médias et les dirigeants politiques corrompus.

Car il faut le savoir, Sadate était un nazi militant. Voici d’ailleurs ce qu’il écrivait en septembre 1953, dans l’hebdomadaire cairote El Moussawar(L’illustré), dans le cadre d’une lettre chaleureuse adressée à Hitler, suite à la rumeur que ce dernier était encore en vie, caché en Egypte : « Mon cher Hitler. Je vous félicite du fond du cœur. Même s’il vous semble que vous avez été battu, en réalité vous êtes le vainqueur. Vous pouvez être fier d’être devenu immortel en Allemagne. Nous ne serions pas surpris si vous y apparaissiez de nouveau ou si un nouvel Hitler se levait dans votre sillage.» Signé : Anouar El-Sadate.

On peut se demander – à juste-titre -, pour quelle raison aujourd’hui ‘remuer’ cette vieille histoire ?

La réponse est la révélation récente d’accords secrets, nommés « Traité d’Aix-la-Chapelle », entre Macron et Merkel. J’y fais un parallèle (ténu mais factuel) entre le prochain dépècement et équarrissage de la France en commençant par l’Alsace, avec ce qui se passa à l’époque entre Begin et Sadate lorsque l’Etat d’Israël fut amputé du Sinaï en échange d’un bout de papier signé par l’ancien nazi Sadate.

Ce traité d’Aix-la-Chapelle entre Macron et Merkel qui semble avoir surpris, voire « estomaqué », beaucoup de « Gilets jaunes » patriotes, était en réalité on ne peut plus prévisible, lorsqu’on sait quelles sont les intentions à long terme de ce couple diabolique aux initiales MM.

Certes, il aurait été bon de rappeler à Mme Merkel l’histoire récente de l’Allemagne de lui suggérer de s’occuper de ses propres « oignons » nauséabonds et de ne pas s’ingérer de manière condescendante, hautaine et insupportable, de style « patronal », dans les affaires internes de la République française. Mais au-delà de la colère justifiée de tout Gaulois patriote et afin de saisir le pourquoi du comment, il nous faut faire un lointain saut historique.

I Condensé de la collusion pangermaniste-panthéiste et panarabiste-islamique

La collusion entre les pangermanistes Allemands et les panarabistes musulmans (« les musallemands ») afin de désintégrer tout sentiment de patriotisme et d’identité ethnolinguistique des peuples d’Europe, ne date pas d’hier !

Depuis toujours, et cela remonte aux premiers siècles des conquêtes panarabistes-musulmanes, les peuplades germaniques-teutonnes- allemandes-saxonnes furent pour ainsi dire fascinées par les hordes des conquérants mahométants.

Des chroniques de l’époque des « Croisades » (XIème-XIIème siècle après J.-C) relatent que les princes germains croisés développèrent à l’égard des conquérants arabo-musulmans une relation dichotomique à la fois de jalousie et d’admiration latente.Parmi les croisés qui se soumirent à Salah al Din (Saladin) et se convertirent à l’islam après la défaite de Karney-Hittim (nom d’une ancienne localité hébraïque proche du Lac de Galilée), la majorité écrasante était des Teutons ! Tandis que les autres croisés, et principalement les Gaulois (Francs) comme Renaud de Kérak (et ses fiers soldats) préférèrent la mort plutôt que l’islam !

Plus tard, à l’époque des “Lumières”, ce sont principalement des lettrés et des philosophes allemands qui ont introduit en Europe la traduction et l’étude du Coran. Ce sont également eux qui au XIXème siècle étaient les plus fervents “orientalistes”, eux qui ont développé les thèses ahurissantes que tout le Proche et Moyen-Orient serait à l’origine “arabe”, eux qui ont forgé les théories fumeuses “d’un mouvement de migrants bédouins d’Est en Ouest dans tout le Croissant fertile” en extrapolant ainsi la présence dérangeante des peuples indigènes du Proche-Orient comme les Hébreux-Cananéens, les Araméens, les Assyriens, les Babyloniens etc…

Alors que toutes les recherches historiques, archéologiques, étymologiques ont amplement prouvé que l’orientation dans l’espace géographique (donc les points cardinaux) des Hébreux-Cananéens, des Araméens, des Assyriens etc…, était d’Ouest en Est !

Le terme même de “Croissant fertile” avec sa connotation musulmane sous-jacente, est une “perle” allemande. Ainsi que “sémite”, “sémitisme” et “antisémitisme” qui sont des terminologies désastreuses et factices de linguistes et philologues allemands comme Von Schlözel, Noeldecke, Marr etc…, et cela afin d’y intégrer la “composante arabe fondamentale”.

Jusqu’aujourd’hui, les croquis “d’arbre des langues sémitiques” qui pullulent sur Wikipédia reprennent ceux de ces « orientalistes » allemands. Ils y placent la langue arabe (en fait l’esperanto coranique qui est l’idiome le plus tardif des langues malencontreusement appelées “sémitiques”!) avant toutes les autres langues du Levant, y compris avant l’antique langue hébreue-cananéenne ! Et ce afin d’accorder à la langue pseudo « arabe » une préséance et un cachet d’antériorité qu’elle n’a pas.

Lors de la Première Guerre Mondiale, l’Allemagne recherchait déjà des alliés musulmans, et ses plus fidèles furent les Ottomans. Les consuls allemands installés à Istanbul étaient parfaitement au courant du génocide qui se préparait contre les Arméniens, les Grecs pontiques, et les Assyriens, tous chrétiens. Non seulement ils ne bougèrent pas le moindre petit doigt pour l’en empêcher, mais c’est sous leur regard bienveillant que les Ottomans perpétrèrent ce génocide précurseur de celui qui allait s’abattre sur les Hébreux (« Juifs »). Pire ! Ils semblèrent satisfaits de se débarrasser ainsi de ces chrétiens qu’ils considéraient comme pro-Russes.

Hitler ne fut donc pas ni le précurseur et ni l’instigateur de l’Axe allemand-musulman. Certes, sa fascination pour Muhammad et son admiration pour le panarabisme islamique, n’avaient pas de limites. Son fantasme secret et son péché mignon était de voir le Reich devenir musulman.

Et ce n’était pas pour rien qu’il regrettait que les allemands ne se soient pas convertis à l’islam. Voici à ce sujet quelques extraits de ses propos recueillis par son bras-droit Martin Borman et autres chefs nazis !

Les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple…. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l’esprit juif.” (Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180).

Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais pas pour le fade paradis des chrétiens !” (Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141).

« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. L’islam récompense l’héroïsme, il promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés ! » (Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297)

Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. La religion musulmane serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante.(Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138).

L’allié italien nous a gênés presque partout. C’est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire… Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient… Tout l’Islam vibrait à l’annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c’eût été notre intérêt et notre devoir… Il y avait une grande politique à faire à l’égard de l’Islam. Cette politique aurait suscité l’enthousiasme dans tout l’Islam. C’est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l’Atlantique à celles du Pacifique.(Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 17 février 1945, p. 100)

Tous les doctrinaires nazis d’ailleurs ont tenté, afin de galvaniser les troupes SS, de leur décrire les Walkiries et le Walhalla (Wal-Allah ?) comme un copié-collé du paradis d’Allah du Coran avec ses nymphes hourieséternellement vierges, déflorées, et repucellisées, et ses éphèbes batifolant avec les shahids.

L’idée-même de la “solution finale” par extermination totale des Juifs est une trouvaille du panarabisme palestiniste musulman, puisqu’elle venue à Hitler de la part de son ‘ chouchou’, le Grand Mufti Haj Amin el Husseini.

En effet, le ‘Grand Mufti’ persuada Hitler de ne pas se contenter de chasser les Juifs car ceux-ci “ iraient tous en Palestine ” et empêcheraient la création d’un “Empire allemand-musulman” qui s’étendrait jusqu’en Perse. « Il vaut mieux les exterminer sur place« , lui suggéra- t-il.

Les camps de concentration et d’extermination ne sont donc pas une affaire uniquement allemande (sans dédouaner le moins du monde les nazis), mais aussi panarabiste- islamiste-palestiniste.

Comment croire après cela que la collusion muzallemande soit uniquement le fruit du hasard ? Comment s’imaginer qu’une Angela Merk-Allah pense uniquement à faire activer les fabriques de voitures boche, lorsqu’elle invite plus d’un million de “migrants” anciens jihadistes à violer et faire de beaux petits enfants muzallemands à des Teutonnes de Cologne, d’Hambourg, ou d’ailleurs ?

Rien de nouveau sous le soleil rouge et noir des croix gammées et des croissants en forme de cimeterres ! Il y a d’ailleurs trop d’accointances et “d’atomes crochus” entre Allemands et musulmans, pour qu’il puisse en être autrement ou de s’imaginer qu’il s’agisse d’une simple coïncidence.

Et pourtant, cela n’a pas empêché certains « chroniqueurs » (révisionnistes ?) de christianiser Hitler, en dépit de son antichristianisme viscéral et d’une virulence et violence inouïes.

Certes, après son ascension au pouvoir en 1933, Hitler signa un « concordat » avec l’Église catholique « garantissant les droits de l’Église ». Mais l’article 14 stipulait que « Les nominations d’archevêques, d’évêques et toute autre nomination ne deviendront définitives que lorsque le représentant du Reich aura donné son accord.»

Cela signifie qu’en fait l’Eglise catholique passait désormais sous la tutelle directe d’Hitler !

Quant à l’Eglise protestante (luthérienne), Hitler l’a forcée à ajouter à la « confession de foi » une mention d’adhésion aux idées du régime hitlérien et lui interdisant la publication de tout écrit théologique n’allant pas dans le sens de l’idéologie de l’« Église du Reich ».

Il est aussi à noter que lors de la Nuit des Longs Couteaux, les dirigeants des mouvements de jeunesse catholique furent exécutés par les SS. Le Vatican adressa des lettres de protestation. En vain. En 1937, le Vatican condamna officiellement l’idéologie nazie (Voir encyclique Mit Brennender Sorge du pape Pie XI). Cette encyclique condamnant les théories raciales du régime nazi fut interdite de diffusion par la Gestapo. Suite à sa lecture publique dans les églises, 1100 prêtres allemands sont arrêtés. 447 d’entre eux ainsi que plusieurs évêques sont déportés dans des camps de concentration, et près d’une centaine y périrent.

En fait, Hitler ne cessa de vitupérer contre les chrétiens, catholiques ou protestants. Voici quelques-unes de ses vociférations :

«Nous éprouvons une violente sensation de colère à la pensée que des Allemands ont pu s’enliser dans des doctrines théologiques (chrétiennes), quand sur la vaste terre il y en a d’autres, comme celle de Mahomet, qui à l’inquiétude religieuse offrent un aliment d’une bien autre valeur.»

« Le paysan doit apprendre à haïr l’Église. Il doit apprendre progressivement par quels trucs les prêtres ont volé leur âme aux Allemands. Nous gratterons le vernis chrétien et nous retrouverons la religion de notre race. »

« Je vous garantis que, si je le veux j’anéantirai l’Église en quelques années… Il suffira d’y porter un coup sérieux pour le démolir. Je leur donne tout au plus quelques années de sursis. »

« Je leur arracherai leur masque de respectabilité. Et si cela ne suffit pas, je les rendrai ridicules et méprisables. Je ferai tourner des films qui raconteront l’histoire des hommes noirs. Alors on pourra voir de près l’entassement de folie, d’égoïsme sordide, d’abrutissement et de tromperie qu’est leur Eglise. On verra comment ils ont rivalisé d’avidité avec les Juifs… Nous rendrons le spectacle si excitant que tout le monde voudra le voir et qu’on fera de longues queues à la porte des cinémas… »

« Laissons de côté les subtilités. Qu’il s’agisse de l’Ancien Testament ou du Nouveau, ou des seules paroles du Christ, comme le voudrait Houston Stewart Chamberlain, tout cela n’est qu’un seul et même bluff judaïque. Une église allemande ! Un christianisme allemand ? Quelle blague ! On est ou bien chrétien ou bien Allemand, mais on ne peut être les deux à la fois. »

« Pour notre peuple, tout dépend de savoir s’il restera fidèle à la religion judéo-chrétienne et à la morale servile de la pitié, ou s’il aura une foi nouvelle forte, héroïque, en lui-même, en un Dieu indissociable de son destin et de son sang. »

« Le fascisme peut, s’il le veut, faire sa paix avec l’Église. Je ferai de même. Pourquoi pas ? Cela ne m’empêchera nullement d’extirper le christianisme de l’Allemagne. 

(Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, Paris, Hachette, 1995 (1939), pages 91-99. Ces propos furent prononcés en 1933-1934).

 «Le christianisme est une religion marquée du sceau des Juifs, une religion de dégénérés et de malades, dont la morale, sous le nom de charité, de pitié, de résignation, de pardon des injures, d’amour du prochain, enseigne la faiblesse, la peur, la lâcheté, les scrupules, le déshonneur, s’oppose à toutes les vertus martiales ».

(André François-Poncet, Souvenirs d’une ambassade à Berlin de 1931 à 1938, Paris, Flammarion, 1946, page 80.)

« Le germanisme dut ainsi rétrograder lentement, mais sans arrêt, devant cet abus sournois de la religion, et la défense même des intérêts allemands fut complètement négligée. Le clergé catholique tel quel causait un brutal préjudice aux droits des Allemands. Il paraissait donc que l’Église non seulement n’était pas de cœur avec le peuple allemand, mais qu’elle se rangeait de la façon la plus injuste aux côtés de ses adversaires. La raison de tout le mal, d’après Schoenerer, résidait dans le fait que la tête de l’Église catholique ne se trouvait point en Allemagne ; et c’était là une cause suffisante de son attitude hostile aux intérêts de notre nation.»

(Adolf Hitler, Mon Combat : Mein Kampf, Le Vaumain (Oise), Nouvelles Éditions Latines, 1934 (1924), pages 112-113.)

Toute la relation d’Hitler avec la chrétienté était fondée sur la manipulation afin d’arriver à ses fins. Il avait besoin des catholiques pour prendre le pouvoir, mais une fois devenu « Führer », il a montré son vrai visage foncièrement anticatholique et anti-chrétien et ses principes moraux, qu’il considérait comme des ersatz du judaïsme !

Ni Hitler et ni ses « sbires » tels que Goebbels ou Göring n’étaient chrétiens. Ils étaient foncièrement anti-chrétiens. Ils prônaient un pseudo « panthéisme aryen » rétro-germanique. Mais en vérité, leur seule foi était le nazisme, teinté d’islamisme !

II Comment empêcher l’Allemagne de redevenir hitlérienne ?

Il y a 70 ans, le grand rêve d’Hitler était de voir l’Allemagne devenir musulmane.  Aujourd’hui, son fantasme islamisant semble devenir une réalité. Au rythme effréné de l’immigration-invasion musulmane sur le territoire allemand, les « Germains aryens » sont en passe de tous devenir des musulmans en deux-trois générations !

Comment donc contrecarrer cette inéluctable issue et conjurer ce funeste destin ?
Certains pensent qu’il faut (en vertu des Accords d’après-guerre) de re-scinder l’Allemagne en deux Etats, Allemagne de l’ouest et Allemagne de l’est. Cette solution est la seule capable de neutraliser la politique germano-expansionniste de la chancelière Merkel, par le biais de migrants islamistes, dont l’afflux non seulement met en péril la sécurité de ses citoyens, mais sa liberté.

Cette éventualité de deux Allemagnes respectueuses des valeurs laïques, démocratiques et humanistes, pourrait en effet être l’unique option réaliste pour déjouer l’apparition d’une nouvelle puissance hégémonique et pangermaniste-islamiste sur le sol européen. Elle serait la condition sine qua non afin d’instaurer un apaisement durable apte à rétablir la paix interne pour la nation allemande. Elle serait aussi la garantie pour empêcher l’émergence du spectre d’une guerre civile, voire d’un conflit intereuropéen. En parallèle, ces deux Allemagnes seront astreintes à faire preuve d’accueil plus chaleureux et de davantage de mansuétude envers les réfugiés persécutés parmi les Yezidis et les chrétiens d’Orient, ainsi que parmi toutes les minorités ethniques et religieuses opprimées, devenues minoritaires dans leur propre patrie ancestrale, suite à un colonialisme panarabiste islamique prédateur et criminel au point qu’elles  sont aujourd’hui menacées d’extinction.

A contrario, la poursuite d’une politique laxiste envers l’immigration islamiste torpillera l’existence de ces deux Allemagnes et risquera de créer tout d’abord des conflits interminables sur son sol et à terme dans toute l’Europe, y compris une possible nouvelle Guerre mondiale.

Et si ces deux Etats allemands se plaignent d’ingérence, il faudra leur répondre : « Que Diable, c’est le prix à payer pour avoir enfin la paix et la sécurité, et surtout pour empêcher l’islamisation de l’Europe » !

Epilogue

Il y avait (et il y a encore) dans les tréfonds des peuplades germaniques une propension à l’expansionnisme, à la conquête, à la prédation, y compris une soif de sang et de crime inextinguible, que ne pouvaient satisfaire les valeurs de l’humanisme d’un Hébreu nommé Jésus.

Exactement comme il en est des tares meurtrières et totalitaires, inhérentes à l’idéologie-théologie panarabiste-islamique, et à son fer de lance palestiniste. Elle ne peut se contenter des 23 Etats dont elle s’est déjà accaparés et appropriés. Elle veut aussi et surtout Israël !

Et après Israël, ce sera le tour de la France que l’hydre à deux têtes « musallemand » convoite avidement. Et si la France tombe et se soumet à l’ogre, ce sera la fin des haricots pour toute la civilisation humaine !

Seule une alliance entre les deux peuples – Hébreu et Gaulois –, est susceptible de barrer la route à cette sombre et macabre échéance ! Cela a l’air d’un vœu pieux ou d’une chimère, mais j’y crois. Sincèrement.

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28 Commentaires

  1. A Shalhevet. Je pense que vous n’avez pas compris la raison de l’intervention de Christine Tasin. Et si je peux me permettre de répondre à sa place, il me semble qu’elle vous faisait remarquer qu’il faut savoir à un moment donné achever le « ping-pong » lorsqu’il ne mène à rien. Elle s’est aperçue que vous vous attardiez à des points de détails (fastidieux et sans importance ?), alors que je m’efforçais à faire une analyse large qui touche à l’idéologie.
    C’est pourquoi, elle a conseillé que notre petite polémique (qui ne touche pas vraiment au sujet et qui n’est pas susceptible d’intéresser le plus grand nombre de lecteurs ), se déroule en dehors de RR : soit par courriel (mail) soit par le biais de mon blog, soit par toute autre plate-forme. .

  2. Comme tjs M . Belhassen vos articles sont vraiment enrichissants , moi qui adore l’histoire je suis comblée .!
    Débarrassons nous vite du couple infernal macron/ merkel. Comme vous le dites.

  3. On est loin de tout savoir , merci pour toutes ces précisions que je découvre , nous sommes en train de nous refaire avoir et le gamin a une lourde responsabilité mais ceux qui dorment actuellement aussi, peut être plus .

  4. C’est déjà fait :

    « Apprendre l’hébreu en France, c’est facile,
    par Sonia BARZILAY-NAUD, Directrice du Centre national de l’hébreu »

    « Dans l’enseignement supérieur, on trouve l’hébreu à différents niveaux : des départements d’études hébraïques permettent d’étudier du DEUG au doctorat à Paris 8, à l’INALCO, à Strasbourg I, à Lyon III. Ces formations peuvent déboucher sur les concours du CAPES et de l’agrégation d’hébreu. Par ailleurs, nombreuses sont les universités qui proposent des cours d’hébreu validés comme « seconde langue », « langue étrangère » ou « cours optionnel » : Paris IX Dauphine, Paris III Créteil, Université Stendhal Grenoble III, Université Paul Valéry Montpellier III, Université de Toulouse le Mirail, Université Michel de Montaigne Bordeaux III. L’hébreu est présent également dans les Grandes écoles et dans les écoles de commerce (École normale supérieure, ESSEC, ESCP.). Ces cours sont validés comme « seconde langue », « cours optionnels » ou, en réponse à une demande des étudiants, comme cours d’enrichissement personnel. »

    https://www.aplv-languesmodernes.org/spip.php?article193

    Cependant, l’étymologie des mots de la langue Français vient essentiellement du Latin (80 %) et du Grec d’où leur place première (et encore… on déprécie le Latin proche de notre Histoire pourtant) dans l’Enseignement. Excellent pour le travail intellectuel aussi.

    • :Merci Amélie pour toutes ces références concernant l’enseignement de l’hébreu, et je m’en réjouis.
      La langue française est en effet fondamentalement latine, avec aussi des mots grecs assez nombreux.
      Mais pour ce qui est des noms propres, la présence de l’hébreu est manifeste : Joseph, Jésus, Jean, Matthieu, Paul, Elie, Simon, Jacques, Jonas, Thomas, Joakim, Marie, Anne, Suzanne, Elisabeth, Isabelle, Léa, Noa, etc…
      Par contre le prénom hébreu (Emmanuel) de Macron, me fait grincer les dents. Car tout nom a une signification en hébreu et « Emmanuel  » (dont la forme hébraïque originelle est Imanou-El), signifie « Avec nous Dieu » ! Or s’il y a un Dieu sur terre (ce dont j’en doute fort), il serait surement contre Macron !

      • Merci David pour toutes ces riches précisions.

        Il est vrai que beaucoup de prénoms (certains prénoms peu usités reviennent à la mode, et ceci initié par de « jeunes » parents ce qui me semble positif et de bonne augure) viennent de l’Hébreu, je pense que cela est dû à nos racines catholiques.

      • Sinon, je connaissais les rapprochements d’Hitler et des Nazis ainsi que leur fascination pour l’islam.

        Je crois que l’origine des Aryens objets du fantasme d’Hitler), était à rechercher du côté oriental, j’avais lu cela quelque part ou vu dans un documentaire concernant Hitler si mes souvenirs ne me trahissent pas (mais je n’ai pas creusé plus), et j’en avais été étonnée, même si les Nazis préconisaient un physique plutôt nordique.

        C’est peut-être là aussi un des points d’ancrage de cette fascination pour l’islam.

  5. Merci pour cet article passionnant qui met en évidence les connivences entre nazisme et islam (quand on pense qu’il s’est trouvé des juges allemands pour condamner le journaliste Michael Stürzenberger pour les avoir évoquées!)
    Par contre la solution qui consiste à opposer les « Gaulois » aux Allemands ne me paraît pas souhaitable, cela signifierait raviver l’antagonisme franco-allemand qui a engendré tant de malheurs.
    La paix, l’entente et l’amitié entre la France et l’Allemagne depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale a quand même permis une période de stabilité et de prospérité jamais connues en Europe.
    Quant à la solution qui consiste à découper l’Allemagne en morceaux me fait penser à ce qu’aurait été l’histoire de l’Europe si une nation alémanique avait pu se consister, en clair si Clovis n’avait pas vaincu les Alamans à Tolbiac…
    Permettez-moi donc d’évoquer d’autres pistes. Il faut, me semble-t-il, revenir aux sources de la nation allemande : L’Allemagne s’est constituée quand les Germains sont entrés en contact avec les civilisations Hébraïque et Romaine aux frontières de l’Empire Romain sur l’arc Rhin & Danube. C’est le Saint Empire Romain Germanique (Heiliges Römisches Reich Deutscher Nation). Rappelons qu’à cette époque Berlin n’existe pas et que la Prusse est un pays peuplé par des Slaves ( Prusse = Po Rossya = à côté de la Russie).
    Pour combattre l’islamisation il faudrait donc rappeler avec force la contribution essentielle des Hébreux à la création et au développement de la nation allemande – Pourquoi n’apprend-on pas l’Hébreu dans les écoles françaises et allemandes au même titre que le latin ou le grec ?! Et le rapprochement, voire la fusion entre la France « latine » et l’Allemagne « germanique » ne pourrait être qu’une bonne chose.

    • Bonjour Karl der Hammer. Toute piste pour barrer la route à l’islam en Europe et dans le monde est souhaitable. Mais d’abord, il faut se débarasser du tandem Macron-Merckel.
      Je pense en effet que l’enseignement de l’hébreu (en particulier à la place de l’esperanto coranique appelé « arabe ») au même titre que le grec et le latin, serait une bonne chose. Non pas pour des vues politiques sournoises, mais tout simplement pour enrichir le bagage intellectuel des Européens, et en particulier ceux qui ont une culture biblique chrétienne.

  6. Bonjour,

    Je reprends les mots de « clairement » : merci de tout coeur pour cet article.

    Votre évocation du génocide des Arméniens me remet un souvenir en mémoire.

    Je ne sais pas si vous avez des informations sur cette histoire que j’ai lue je ne sais plus où.

    Il y a eu un espion britannique, devenu par la suite citoyen israélien et agent du Mossad, qui a été témoin direct de la collaboration des Allemands au génocide des Arméniens.

    Il a écrit une série de lettres au renseignement britannique, à l’époque, décrivant le génocide et contenant des mises en garde prophétiques sur l’évolution future de l’Allemagne.

    • Bonjour Antiislam. Je ne suis pas au courant de cet espion britannique témoin de la collaboration allemande au génocide des Arméniens, et cela m’intéresserait d’en savoir davantage.
      Par contre, j’ai enquêté sur le mouvement hébreu clandestin « NILI » qui lutta contre l’empire ottoman et dont les membres furent les premiers à avertir la communauté internationale du génocide. En vain.
      Sarah Aharonson, une militante de NILI (qui fut plus tard violée et exécutée par Jamal Pacha un des dirigeants ottomans) envoya des missives alarmantes où elle dénonçait les crimes de masse et les horreurs commises sur des dizaines de milliers de femmes arméniennes violées puis brulées. Son frère Aharon Aharonson rédigea un fascicule « Maudit Empire ottoman ». Abshalom Feinberg (qui fut assassiné par des bédouins) rédigea lui aussi un manifeste « Pour l’Arménie » contre le génocide en cours. De même Eytan Balkind, le combattant hébreu anti-ottoman. Ou encore Yossef Lichynsky. qui fut pendu.
      Il y eu aussi le consul américain Morgentau, ainsi que les consuls français,anglais, suédois qui protestèrent et s’insurgèrent. Mais rien n’y fit.
      Seuls les généraux allemands (sauf un, Max fon Shuibner Richter !) justifièrent le génocide des Arméniens !

      Il y a encore beaucoup à dire, peut-être dans le cadre d’un article.

      Bonne journée.

      • Bonjour,

        Merci de ces informations dont j’ignorais tout.

        Un article serait, en effet, plein d’intérêt.

      • @David Belhassen
        Sarah Aharonson n’a pas été exécutée par Djemal Pacha. Torturée atrocement par les ottomans à Zikhron Yaacov, elle ne fournit aucune info, ni elle délivre ses camarades de « Nili ». Ils ordonnent de la transférer à Nazareth. Elle sait qu’elle risque d’être transférée ensuite à Damas pour y être encore torturée, puis la pendaison (Lishansky et Belkind de « Nili » ont été pendus à Damas par la suite). Donc elle demande de la laisser rentrer à la maison pour se laver et se changer des vêtements. La maison familiale est vide, les ottomans avaient déjà capturé ceux qui y étaient. Sous la douche, elle tente de se donner la mort avec le petit pistolet, dissimulé par la famille dans l’encadrement de la porte. Mais elle n’est que mortellement blessée et souffre terriblement. Dr Hillel Yaffé arrive pour la soigner, elle refuse et elle lui demande d’accélérer sa mort. Elle décède trois jours plus tard.

        • A Shalhevet. C’est en quelque sorte une exécution retardée après les sévices et les tortures que Sarah Aharonson a subies.

    • Je ne suis pas au courant pour l’espion anglais mais la présence de Rudolf Hoess futur commandant d’Auschwitz en tant que combattant dans l’armée allemande sur le front ottoman en 1915 et ensuite comme instructeur et conseiller dans les unités turques en 1916 chargé de détruire de toute trace de présence arménienne non seulement humaine mais aussi symbolique (cimetière lieux de cultes nom de lieux etc ) ne semble pas être le fruits du hasard.
      Pour mémoire en 1904 en Namibie alors colonie allemande les allemands vont massacrer les Héréros (60000 morts sur une population de 80000 personnes) principalement à la mitrailleuse mais aussi dans un camps où chaque personne était tatouée à son arrivé,soumis au travaux forcés avec des rations dérisoires et des châtiments extrêmes pour les rebelles: sur 3500 personnes incarcérées 200 survivants… En 2004 quand les descendants Héréro ont demandé des comptes et la reconnaissance de leur souffrance Angela Merkel alors au sommet dans les sondages et auprès des gouvernants étrangers leur a dit que c’était de l’histoire ancienne et que les preuves n’étaient pas suffisantes pour réclamer excuses et réparations.L’Allemagne a une mémoire sélective.

      • Bonjour,

        Merci : je connaissais le massacre des Héréros mais j’ignorais la présence de Hoess en 1915.

      • Décidément, je vois que le génocide et le camp de concentration sont une spécialité allemande… Et malheureusement ils savent faire ça « bien »… La « qualité allemande », peut-être ?

    • @Antiislam
      C’est Aharon Aharonson qui fait un rapport détaillé au bureau du ministère britannique de la guerre. Aharon et sa sœur Sarah furent des témoins oculaires de la tragédie arménienne. Elle assiste aux horreurs durant son voyage de 3 semaines, de Constantinople à Israël. Terrorisée par tout ce qu’elle a vu, notamment les corps des arméniens non enterrés, mangés par des chiens, elle arrive traumatisée. Elle bascule donc en faveur des britanniques. Aharon a vu les massacres d’arméniens en Irak et en Syrie ainsi que la vente des arméniennes dans le marché aux esclaves à Damas. Dans son premier rapport, il compare aussi avec la destruction du 2e Temple et dit que le massacre arménien équivaut au document historique sur le massacre de juifs perpétré par Titus. Il estime que les juifs en Israël et que les chrétiens ottomans vont subir le même sort. Et il implique l’influence des allemands sur les massacres d’arméniens. Les britanniques éditent et archivent ce rapport en omettant délibérément ces deux passages. Dans son deuxième rapport il relate le pillage des biens arméniens et leurs distributions aux turcs influents. Ces vols nommés « une colonisation interne », furent suggérés par les allemands. Sur les conseils des allemands, les turcs massacrent sauvagement les arméniens en faisant appel aux « services » des fanatiques musulmans circassiens. Les rapports de Aharon en entier sont attestés par les historiens, y compris la correspondance de membres de « Nili ».
      Les prévisions de Aharon se réalisent peu à peu. Djemal Pacha se met à persécuter à tout va et à expulser. Nombreux juifs possèdent aussi une nationalité étrangère. Il les contraint à n’avoir que la nationalité ottomane et expulse cruellement ceux qui refusent, puis il expulse à sa guise d’autres qui ont accepté. (Plus tard il expulsera 9000 juifs de Jaffa). La crainte augmente quand il exige des juifs de déposer leurs armes qui leur servent à se défendre contre les attaques arabes. Car il l’a exigé aussi aux arméniens avant de les massacrer. 200 000 chrétiens du Liban meurent affamés par les ottomans. Des bateaux avec des vives fournis par des donateurs juifs américains, sont saisis par les ottomans qui les distribuent aussi à la population arabe.
      « Nili » en tant que cellule d’espionnage en faveur des britanniques, fut créée par rapport aux exactions ottomanes. Mais les massacres d’arméniens furent l’élément déclencheur.

      • A Shalhevet. Les membres du « NILI » se voyaient avant tout comme des résistants, des partisans, des activistes clandestins contre l’occupant ottoman et non comme « cellule d’espionnage » en faveur des Britanniques.
        S’ils ont fourni aux Britanniques des renseignements précieux, c’est au nom de leur combat contre l’oppresseur ottoman.
        Prière donc de ne pas les réduire au statut « d’espions » en faveur des Britanniques.

        • @David Belhassen
          Bien sûr que la vocation de « Nili » était le combat contre les ottomans. J’ai d’ailleurs dit que c’était contre les exactions ottomanes. Mais là c’était un point sur le lien de « Nili » avec les britanniques et les rapports de Aharon Aharonson faits aux britanniques. Evidemment que parallèlement, « Nili » a mené plein d’autres actions, y compris ses actes pour secourir le Yichouv (les habitants juifs en Israël) de la famine. Sarah par exemple, avait supervisé les dons des juifs américains etc.
          Quant à Sarah, de mon point de vue, c’est un acte de courage inouï de mettre fin à ses jours, à 27 ans, afin de ne pas trahir ses camarades. Cet acte de bravoure mérite d’être mis en lumière, à fortiori, lorsque vous nommez un personnage (Djemal Pacha) comme étant celui qui l’a exécutée, ce qui est faux.

          • A Shalhevet. Vous faites toujours dans l’anecdote, sans jamais relever le côté idéologique révolutionnaire du NILI. Ce qui vous intéresse chez Sarah Aharonson est soit « la supervision des dons pour le Yshouv » (ce même Yshouv qui l’a trahie), soit si la manière détaillée (certes héroïque) par laquelle elle a mis fin à ses jours suite aux tortures, supplices, et sévices qu’elle a subies de la part de son tortionnaire Djamal Pacha.
            Et si vous ne voyez pas de lien de cause à effet entre ce qu’elle a subu de la part de ses tortionnaires et si vous considérez son suicide comme n’étant pas une exécution, vous avez de graves problèmes de compréhension.
            De même, si vous ne cernez pas le combat des membres du NILI comme un combat de libération du peuple hébreu pour recouvrer sa terre ancestrale, et que pour vous ce combat se résume à « espionner en faveur des Britanniques », vous avez un double problème d’analyse historique et idéologique.
            Faire une analyse historique et idéologique, ce n’est pas faire de l’historiette, distinction qui ne semble pas vous être évidente.

          • Shalhevet vous me gonflez. Vous nous cassez les pieds avec vos remarques négatives sempiternelles. David et nous avons autre chose à faire que de lire, répondre, trier etc. Tout cela relève de discussions privées qui n’ont rien à faire ici. Allez discuter avec David sur son blog s’il a la patience de répondre, et basta !

          • @Christine Tasin,
            Je respecte pleinement le combat mené par RR, auquel je m’associe. Sinon, je n’aurai pas été abonnée.
            Un corrigé historique n’est pas une remarque négative.
            Quant à David, je ne connais pas son blog. Je n’ai lu David que sur RR, comme je lis d’autres articles de RR. Et je commente comme tout un chacun. Donc, commenter sur RR des sujets que David y publie, ne relève pas d’une correspondance personnelle. Le fait qu’il publie sur RR et qu’il y répond, démontre qu’il désire partager ailleurs que sur son blog personnel. D’ailleurs, il continue à répondre sur RR et c’est normal car il répond à ce qui y est exposé, comme nous le faisons tous. En outre, s’il devait reporter les commentaires parus sur RR, vers son blog personnel pour répondre, ça serait ni queue ni tête lol 🙂

            Par ailleurs, je comprends que les discussions peuvent être embêtantes. Mais RR est ouvert aux commentaires et comme les sujets sont intéressants, cela incite à répondre. Je constate que David aussi, a du mal à ne pas répliquer lol 🙂

  7. Je ne savais pas pour l’anecdote de la cravate de Sadate… Étonnant !

    Heureusement que les Allemands ont été arrêtés par les Alliés en Égypte : sinon, que serait-il advenu d’Israël (enfin, la Palestine mandataire de l’époque) ?

    • Bonne question ! Il serait advenu ce que Hadj Amin voulait : un bain de sang !

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