Luc Peillon (Libé) veut qu’on apprenne l’arabe pour aller dans les souks de Marrakech

Des centaines de mots arabes dans la langue française ? Le sujet est récurrent depuis que Macron est au pouvoir. Hasard ou nécessité ?

Cela avait commencé il y a un an, avec Jean Pruvost

Cela avait continué avec un reportage de France info dans les rues de Paris en janvier dernier.

Sans parler de ce que nous n’avons pas su ou pas traité…

Cette fois c’est Libé qui en remet une couche, mais dans un tout autre but. Il ne s’agit pas cette fois d’attaquer le gaulois ou de prétendre que nous aurions une histoire arabe, que nous serions prêts à devenir arabes, il s’agit au contraire – admirez la perversité – de gifler Lorànt Deutsch qui a eu le front de dire qu’il était inutile d’apprendre l’arabe puisqu’il y aurait déjà 500 à 600 mots arabes en français….

Les emprunts à la langue arabe représentent 500 à 600 mots dans la langue française. Bien plus, en effet, que le vocabulaire gaulois.

Question posée par Seb durand le 25/10/2018

Bonjour,

Vous faites référence à l’émission «C à vous», diffusée mardi sur France 5, où le comédien Lorànt Deutsch faisait la promo de son dernier ouvrage, Romanesque: la folle aventure de la langue française. Invité à réagir au débat sur l’enseignement de la langue arabe à l’école, il déclare: «Je ne vois aucun intérêt à apprendre l’arabe à l’école. Sachez que dans la langue française, il y a plus de 600 ou 700 mots arabes !» Et d’ajouter: «Il y a cinq à huit fois plus de mots arabes que de mots gaulois dans la langue française, donc nos ancêtres, au niveau de la langue, sont plus les Arabes que les Français».

Interrogé par CheckNews, le linguiste Louis-Jean Calvet confirme: «Il y a sans doute entre 500 et 600 mots d’origine arabe en français, peut-être plus si nous prenons le vocabulaire scientifique spécialisé».

Même son de cloche pour le lexicologue Jean Pruvost, professeur émérite de l’université Cergy-Pontoise, lors d’une interview à France Inter, en décembre 2017: «La langue arabe est extrêmement présente dans la langue française. L’arabe est la troisième langue d’emprunt, puisque la première c’est l’anglais, ensuite l’italien. L’arabe n’a cessé d’enrichir notre langue entre le IXe siècle et aujourd’hui». Et de donner des exemples, notamment dans l’habillement: «Si vous allez dans un magasin (mot arabe), acheter une jupe (mot arabe) de coton (mot arabe), un gilet et un caban (mots arabes), vous utilisez des mots arabes».

Et lui aussi de chiffrer le nombre de mots arabes à près d’un demi-millier dans la langue française, «et même davantage si l’on compte les mots savants du côté de la faune et la flore». Bref, les Français «parlent arabe beaucoup plus que gaulois…», qui ne représenterait qu’à peine une centaine de mots.

Pour autant, selon Louis-Jean Calvet, «en conclure qu’il ne sert à rien d’apprendre l’arabe est une ineptie. Il y a des milliers de mots français en anglais, mais cela signifie-t-il qu’il soit inutile d’apprendre l’anglais?».

Et de proposer, «si le budget de Libé le permet», d’emmener Lorànt Deutsch dans les souks de Marrakech ou du Caire, «pour voir comment il se débrouille avec ses 600 mots».

Luc Peillon

https://www.liberation.fr/checknews/2018/10/26/y-a-t-il-plus-de-mot-arabes-dans-la-langue-francaise-que-de-mots-gaulois-comme-l-affirme-lorant-deut_1687976

Sur le fond, le nombre de mots gaulois et de mots arabes, nous sommes en désaccord avec Laurànt Deutsch, nous avions déjà répondu dans l’article ci-dessous :

Les cons ça ose tout c’est à ça qu’on les reconnaît.

Et des cons de compétition il y en a un paquet en l’occurrence.

« L’UNESCO fête la langue arabe ce 18 décembre, l’occasion de nous interroger sur les mots. Ce matin au petit déjeuner, vous avez peut-être commandé une tasse (mot arabe) de café (mot arabe), avec ou sans sucre (mot arabe) et un jus d’orange (mot arabe). Vous avez donc, sans le savoir, parlé arabe (ou plutôt français). « 

https://www.franceinter.fr/culture/plus-d-arabe-que-de-gaulois-dan-la-langue-francais

L’article commence très fort… Je ne sais si c’est le journaliste ou le « linguiste » interviewé qui a produit les 3 phrases ci-dessus, mais il s’y trouve, déjà, 2 mensonges : le mot « sucre » est certes arrivé chez nous par l’arabe mais il vient du persan « shekar » qui vient lui-même du sanskrit « sarkara »… Sucre est un mot d’origine indo-européenne et non sémitique. Il en est de même pour le mot « tasse », que l’arabe a pris au persan… langue indo-européenne et non sémitique.

Ils ont inventé, d’abord, une journée mondiale de la langue arabe. Ils, c’est l’UNESCO. C’était le 18 décembre dernier. 

Pourquoi cette journée mondiale ? Vous avez déjà entendu parler d’une journée mondiale du français, du chinois, du portugais ou du japonais ?  Moi, jamais.

Ceci confirme cela. Une volonté planétaire d’obliger chacun à compter avec l’islam et la langue du coran. Une volonté planétaire d’obliger chacun à remettre en cause la réalité de l’islam afin d’en faire une « religion » comme les autres ou plutôt supérieure aux autres. Et même une civilisation, tant qu’à faire. Comme s’il fallait faire oublier l’indigence des pays arabes et de leurs habitants depuis au moins 7 siècles en faisant croire qu’ils auraient apporté beaucoup à l’humanité.

Même si c’était vrai, cela ne changerait rien à l’abominable état des 57 pays musulmans, à la condition des femmes et de l’instruction, au niveau lamentable de la production scientifique et artistique, et à la fermeture sur soi qui est la leur.

En 2014, Claude Laurent nous rappelait que, selon un rapport de l’ONU, il y a eu moins de livres traduits en arabe dans les mille dernières années que de livres traduits en Espagne chaque année. Edifiant, non ?

http://resistancerepublicaine.com/2014/09/12/monde-arabe-330-livres-traduits-par-an-contre-1650-pour-la-seule-grece-par-claude-laurent/

Même si c’était vrai. Mais en plus, c’est faux.

Ils ont inventé, ensuite, une manipulation grandeur nature pour nous faire croire que l’islam ferait partie de notre culture, de notre histoire, de notre patrimoine. Pour cela, ils touchent au coeur, à la langue, la langue de la nation. 

Et c’est un gugusse qui se prétend « lexicologue » qui se colle à la tâche, un certain Jean Pruvost,  auteur de Nos ancêtres les Arabes, ce que notre langue leur doit. 

En fait les Français parlent arabe ?

J. P. : Oui, ils parlent arabe beaucoup plus que gaulois… Le gaulois, c’est à peine un centaine de mots. Pour l’arabe, on est à 500 mots et même davantage si l’on compte les mots savants du côté de la faune et la flore. Un enfant qui part faire de l’algèbre et de la chimie dans son collège est dans le monde arabe.

Menteur. Manipulateur.

Je répète. Jean Pruvost  est un menteur, un manipulateur.

Démonstration : 

Au cas où le prétendu linguiste l’ignorerait, le français est une langue latine et non sémitique… Le français, via le latin, vient de l’indo-européen, système linguistique qui a donné via des évolutions particulières la plus grande partie des langues d’Eurasie actuelle ( français, anglais, allemand, espagnol, sanskrit…. ), tandis que l’arabe fait partie des langues afrasiennes.

Il se trouve que notre langue est constituée majoritairement de latin ( et de grec pour la plupart des mots scientifiques ) et certainement pas d’arabe !   D’ailleurs, si Clovis a abandonné sa langue pour se mettre au gallo-romain, il a amené et laissé dans notre langue un certain nombre de mots francs ( le francique est bien plus présent que l’arabe dans notre langue, de même que l’anglais et l’italien qui ont laissé plus d’occurrences dans le français que l’arabe ). Bref, l’arabe arrive  bien après toutes ces langues… et souvent pour des mots empruntés par l’arabe à d’autres langues.

On s’arrêtera sur le passage concernant l’algèbre et la chimie.

Celui qui passe pour l’inventeur de l’algèbre, Al-Khwarizmi (780-850) dit lui-même s’être inspiré des travaux d’Indiens du VIIème siècle… Indiens qui ont inventé l’algèbre, comme le zéro, comme le système décimal… Et si le mot algorithme vient de son nom ce n’est pas lui qui les a inventés, il a classifié ceux de Babyloniens et d’Euclide, d’Indiens et de Persans… Bref, il n’a rien inventé.

Quant à la chimie, son père n’est pas Jaber Ibn Hayyan (721-815)  comme « ils » voudraient nous le faire croire. Il s’st inspiré des Grecs, les pythagoriciens et néoplatoniciens. Et ce sont les premiers alchimistes du Pharaon,, qui n’avaient rien d’arabe, qui auraient inventé le mot chimie selon Plutarque. Ils appelaient en effet, d’après lui, l’Egypte « chmi », à cause de la noirceur du sol…

On ajoutera qu’il n’y a pas de littérature scientifique traduite en arabe, qu’il n’y a pas de prix Nobel scientifique attribué à un Arabe, qu’il n’y a pas dans le monde arabe, une seule acropole comme celle d’Athènes, une seule forteresse comme celle de Mycènes, un seul palais comme celui de Minos, une seule oeuvre d’art comme celles, occidentales, donc regorgent les musées d’Athènes ou de Paris… Alors « nos ancêtres les Arabes », il est bien gentil, le petit père Pruvost, mais il ferait bien d’arrêter de fumer la moquette pour mieux enfumer les crétins.

D’ailleurs, quelle démesure, quelles manipulations !

Tout ce bruit pour 500 mots de prétendu arabe dans les 5 millions de mots répertoriés par le plus grand dictionnaire étymologique de la langue française, le Französisches Etymologisches Wörterbuch

Un culot éhonté. Une oeuvre de falsification de notre histoire et de nos racines impardonnable.

http://resistancerepublicaine.com/2017/12/21/nos-ancetres-les-arabes-menteur-jean-pruvost-veut-faire-croire-que-nous-parlerions-arabe/

Voir aussi les commentaires  de nos érudits sous l’article ci-dessus.

 

Sur la controverse soulevée par Libé… Libé fait du Libé, tout simplement.

Ces gauchistes font feu de tout bois.

Ils boivent du petit lait quand on leur dit qu’il y aurait plus de mots arabes que de mots gaulois en français, histoire de dire que finalement, les Franchouillards auto-proclamés Gaulois feraient référence à des ancêtres inexistants tandis que les invasions arabes auraient laissé des traces substantielles…

Mais entre-temps Blanquer a réalisé leur rêve, affirmer que nous devions apprendre l’arabe, alors, ils jubilent, ils montent sur leurs grands chevaux et se payent Lorànt Deutsch quand il dit qu’on a assez d’arabe comme ça en France ( j’aurais ajouté quant à moi d’Arabes) et qu’il n’était pas besoin d’apprendre la langue.

Et voilà Luc Peillon, journaleux à Libé qui se croit malin en proposant «si le budget de Libé le permet», d’emmener Lorànt Deutsch dans les souks de Marrakech ou du Caire, «pour voir comment il se débrouille avec ses 600 mots».

Est-ce à dire que Luc Peillon voudrait que tous les Français apprennent l’arabe pour aller hanter les souks de Marrakech ou du Caire ? Pour  quoi faire ? Et si je veux aller à Angkor, je dois apprendre le khmer ? Et si je veux aller à Pékin, je dois apprendre le chinois ? 

Evidemment que non, et Luc  Peillon se fout allègrement de nous avec cette boutade.

Alors s’il ne s’agit pas d’aller à Marrakech, à quoi ça sert, l’arabe, en France ? 

A quoi ça sert,  sinon à comprendre les Chances Pour la France et les migrants qui ne parlent qu’arabe, histoire de s’assimiler à l’envahisseur ?

Dans le métro parisien, on entend à présent plus parler arabe que français. Et cela d’autant plus qu’une certaine catégorie de la population, se croyant au bled où l’on vit dehors et où l’on se parle de terrasse à terrasse trouve tout à fait normal de faire profiter l’ensemble du wagon de ses conversations au téléphone ou avec un vis-à-vis.

Et je ne vous parle pas des frais de traduction dans les tribunaux, dans les prisons, dans les centres sociaux à la sécu, à la CAF, dans les Mairies…

Bref, Libé, en bon valet de Macron, milite intensément pour l’islam de France et sa langue, l’arabe.  Afin de préparer le passage en douceur de la France de Voltaire et de Vercingétorix à la France, 58ème pays musulman du monde.

L’histoire ne dit pas si les petits Maghrébins qui parlent un sabir particulier à chaque pays devront eux aussi apprendre l’arabe international, en sus de celui du Coran ou bien si ce sera imposé seulement aux Français d’origine.

 

 

 

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10 Comments

  1. « Est-ce à dire que Luc Peillon voudrait que tous les Français apprennent l’arabe pour aller hanter les souks de Marrakech ou du Caire ?  »

    tin! ça va etre une grosse partie de rigolade! 😆

    le marocain parle un infâme sabir d’ arabe populaire, dit Daridja, mâtiné de berbères divers, (tarifit,tachelhit,tachelhit ) d’ espagnol corrompu, de frankaoui datant de 1912
    rien de tel que ce genre de phrase que vous devriez comprendre tous, et entendu a casablanca

    « crazatou toumoubile, ramassouhou mourssou b’ mourssou »

    quand a l’ arabes parlé en Egypte, le pôv marocain exhibant son parler va provoquer l’ hilarité générale des pires Hamid du coin !! oui, allez disons que sur 10 mots egyptiens notre Chleuh va en comprendre cinq, mais prononcés a sa manière a lui, parce que prononcés a l’ egyptienne il ne restera plus que deux mots

    il leur reste l’ arabe classique, celui qu ils ont appris a l’ école, au collège, reservé aux instruits, aux lettrés, exactement ce que fut notre Latin au moyen âge, qui servit des siècles de véhicule commun a toute l’ europe

    déjà qu un tunisien voisin d’ un algérien ce n’ est pas toujours facile a discuter a l’ aise, alors un egyptien et un marocain……….

  2. N’importe quoi, tout à fait en accord avec l’article, et dire qu’il y en a qui vont croire ces imbécillités, l’arabe n’a rien à voir avec le Français.

    Déjà le mot « sucre » qu’ils citent :

    « Le mot sucre à une étymologie indienne. C’est en effet le terme sanskrit « SARKARA » (grain) qui a donné naissance à toutes les versions du mot sucre dans le monde : Sukkar en arabe, Saccharum en latin, Zucchero en italien, Seker en turc, Zucker en allemand, Sugar en anglais, Acùcar en portugais, Sucre en français »

    Ils osent tout jusqu’au plus grand mensonge éhonté pour satisfaire leur Idéologie, ce sont des malades.

  3. LIVRE : Élites françaises et construction du « problème musulman »
    Le cas du Haut Conseil à l’intégration (1989-2012)
    AUTEUR : Julien Beaugé et Abdellali Hajjat
    :::: https://journals.openedition.org/sociologie/2109

    RÉSUMÉ :
    Depuis le début des années 1980, l’espace public français est marqué par la construction d’un « problème musulman », qui est devenu une véritable évidence sociale parmi les « élites ». Cet article analyse la construction de cette évidence en faisant la sociologie du Haut Conseil à l’intégration (HCI), dont les membres appartiennent aux multiples fractions des « élites » (politiques, universitaires, hauts fonctionnaires, intellectuels, journalistes, militants, etc.) et qui constitue un « lieu neutre » ayant permis l’universalisation du « problème musulman ». Nous faisons l’hypothèse d’une hétéronomie généralisée, qui favorise l’action d’agents multipositionnés parvenant à transformer et à faire circuler l’idée d’un « problème musulman » dans plusieurs espaces sociaux. En analysant les étapes des problématisations de l’islam par le HCI entre 1989 et 2012, nous montrons que cette hétéronomie participe à une redéfinition du « problème musulman » en termes « médiatiques » et que le travail de mobilisation contre le « problème musulman » provoque la transformation de la norme laïque (émergence d’un « champ de la laïcité ») et de l’institution (de la « commission des sages » au « think tank gouvernemental »).

    :::L’islam pose problème, mais l’intégration est en marche (1989‑2002):::
    – La première affaire du foulard et la création du HCI : un problème public reconnu
    – L’islam et les musulmans en France : exclusion et intégration
    – Pour un « islam de France » : les conditions juridiques et culturelles de l’intégration
    – Le spectre de l’intégrisme : les contradictions de la posture du HCI et le retour de la question du hijab à l’école

    :::Naissance d’un « champ de la laïcité »:::
    – « Le pluriel d’anecdotes est preuve » : influence du témoignage édifiant et disqualification des sciences sociales
    – L’intégration comme injonction
    – Redéfinition de la norme laïque
    – Des « Sages » au « think tank gouvernemental » : émergence d’un « champ de la laïcité »
    – « Il n’existe pas de laïcité sans discipline » : extension du domaine de la lutte laïque

    TinfoEXTE INTÉGRAL sur cairn.
    :::: https://www.cairn.info/revue-sociologie-2014-1-page-31.htm

  4. Rien à foutre de la langue arabe ,c’est une langue qui m’ horripile ,que l’inéducation nationale leurs apprennent à lire et à écrire correctement la langue française , cela sera déjà un bon début , Peillon tu es un sale con ,et ça c’est français .

  5. Des centaines de mots d’arabe dans le français… Moi j’entends, des centaines de milliers d’arabes musulmans sur le sol Français… C' »est pas pareil !

  6. Je ne savais pas que je parlais l’arabe sans le savoir, maintenant je me sens enfin intégré !

  7. Sur la marché du vendredi à Béziers ( ville de Ménard ) ce vendredi l ‘on y parlait plus l ‘ arabe que le gaulois
    du plus jeune au plus vieux
    et il y a foule de poussettes ( bonjour les allocs & les F5 ) et les autres ….
    la Gaule ne se dépeuple pas !

  8. Y a pas besoin de parler arabe pour aller à Marrakech faire du tourisme sexuel.
    D’ailleurs, le sabir arabo-maghrébin contient pleins de mots amazigh, latin et même français.M’enfin on va pas demander aux chances pour li Fronce d’apprendre le français…

  9. Ces linguistes mentent.
    D’abord la langue française, est d’origine indo-européenne.
    Nous utilisons mille fois plus de mots anglais ( week end , shopping, etc… ) que de mots arabes.
    A ce propos, l’arabe, langue sémitique a « emprunté » énormément de mots à l’araméen , à l’hébreu, sans parler des mots d’origine indienne que la langue arabe a adopté lors de la conquète de l’inde par les barbares musulmans.
    La présence de 600 ou 700 mots arabes dans la langue française est un apport plus que minime.
    Tandis que la présence de mots d’origine anglo-saxone dans la langue française ( sans parler des mots d’origine italienne ) est très forte.
    Les anglophones utilisent des milliers de mots français. Cela ne fait d’eux des français ou des latins pour autant.
    L’anglais est et restera une langue anglo-saxone malgré le fait qu’elle utilise beaucoup de mots et d’expressions francophones.
    Il y a une vaste propagande pour nous faire croire que la langue française est d’origine arabe : FAUX.
    Nous sommes des gréco-romains culturellement et linguistiquement.

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