Qui est responsable du malheur des musulmans ? Personne d’autre qu’eux-mêmes.
Marre de ce multiculturalisme dont on nous vante les mérites, dont on nous rebat les oreilles en permanence. Il serait paraît-il le nec le plus ultra en matière de projet de société.
Pour ma part, il n’a pas fait ses preuves à ce jour, au contraire je trouve qu’il est source de sécession entre les groupes humains des différentes cultures présentes sur le territoire national. La rencontre a du mal à se faire, le respect mutuel a du mal à émerger, notamment quand les valeurs des uns et des autres sont en totale opposition. Cet état de fait est d’autant plus visible et mesurable avec la communauté qui se dit musulmane dans la mesure où son système de pensée la pousse à haïr tout ce qui n’est pas issu ou n’adhère pas à sa culture idéologique.
Seuls ceux qui ne veulent pas l’admettre, le reconnaître continuent à dire que tout va bien dans le meilleur des mondes et que la présence de l’islam en terre de France est source d’enrichissement. C’est ce que l’on a voulu me transmettre lors de mes études qui étaient orientées sur la prise en charge des personnes.
Comme par hasard -ou pas finalement-, nous avions des modules spécifiques traitant de la question des populations issues du monde musulman. Je me souviens d’un expert en islam venu nous expliquer pourquoi il fallait être tolérant envers les musulmans et leur difficulté à évoluer avec la société moderne. Il nous avait expliqué que les adeptes de Mahomet ne pouvaient pas ou si peu se raccrocher à la modernité car prisonniers d’un dogme moyenâgeux provenant de dieu lui-même donc irréformable, intouchable. En d’autres termes, c’était cette fameuse sacro sainte tradition qu’il ne fallait toucher sous aucun prétexte quand il s’agissait des mahométans.
Ainsi, pour nos professeurs, c’était à nous, étudiants, de nous adapter à la culture des musulmans car eux, par ce postulat, étaient complètement dédouanés de tout effort à produire pour s’intégrer, dans une société différente de la leur.
Nous avions d’ailleurs un travail à faire sur nos lieux de stage autour de la prise en compte de la différence culturelle des personnes dont nous avions la charge. J’avais trouvé, à l’époque déjà, cette injonction vraiment injuste, inadmissible, suicidaire. Comment et pourquoi respecter des individus qui n’ont pour vous que mépris, haine, envie de vous voir mourir dans d’atroces souffrances ? Mais quelle est la bêtise qui nous a menés à s’auto flageller de la sorte ?
Comment, moi apostate, j’allais m’en sortir avec cette demande irrecevable, moi qui avais rejeté cette société pourrie où l’individu n’existe pas, où la femme n’est rien, même pire pas plus importante qu’un étron, où le non musulman n’est bon qu’à alimenter les flammes éternelles de l’enfer ? Comment ?
Ne rien dire et faire comme votre conscience vous le dicte car parler, dire vos craintes, partager votre expérience vous exposerait à la critique acerbe des donneurs de leçon, vous mettrait en porte à faux avec le politiquement correct. Voilà en France où nous en sommes, ne rien dire, jouer un rôle, abonder dans un discours victimaire ou être considéré comme un salaud, un hystérique. Nous marchons finalement sur des œufs, sur un fil ténu qui s’affine de plus en plus. Nous sommes donc un peu plus chaque jour pieds et poings liés livrés à la vindicte ambiante des gauchistes de tout bord, des musulmans eux-mêmes. Soit, pour ma part, rien ne pourra m’empêcher d’incriminer la culture musulmane comme étant la seule source de tous les maux que rencontrent les mahométans et par extension tous ceux qui sont en lien avec eux. Vous l’aurez compris, il s’agit de la France en premier lieu puis du monde occidental en général, des non musulmans, des échappés du monde islamique enfin tout ce qui n’est pas associé à la musulmanie.
Je n’ai pas pu le dire au moment de mes études mais, aujourd’hui je l’affirme, le responsable des problèmes que rencontrent les musulmans ce n’est pas le manque de considération des non musulmans à leur égard mais bien cette culture, leur culture, que l’on nous demandait de respecter, de chercher à comprendre. Pour moi, le problème des musulmans commence au tout début de leur vie, à leur naissance bien plus qu’avec la connaissance ou la lecture de leur coran, livre indigeste, illisible, alambiqué au possible. Non ! Tout commence avec l’éducation dichotomique, entre celle donnée en islamie aux garçons et celle donnée aux filles. Voilà ! Le hic commence là et pas ailleurs. Bien sûr, les musulmans ne l’admettront jamais ou si peu d’entre eux. Il serait pourtant si simple de redresser la barre si la volonté était là. Seulement voilà ! Sûrement pas ! Il n’en est pas question, ils sont tellement fiers de leur bêtise mahométane qui a mis sur un piédestal le phallus, la suprématie de l’homme et a reléguée la femme au rang de petite merde insignifiante. C’est si beau n’est ce pas l’héritage du bédouin attardé, inculte, obsédé ?
Qu’est ce que ce phallus mis au rang de divinité ? Comment cela se manifeste t-il ? Comment cela va influer négativement sur la personnalité des jeunes musulmans ? Petit message que j’adresse à Madame Aïcha la pleurnicheuse que Christine a si bien décrite dans son article « Aïcha, t’as peur pour tes gosses, bien fait ! On ne lèvera pas le petit doigt ! ». Je m’y associe pour dire à mon tour bien fait ! Pour vous toutes, toutes ces dindes islamiques qui ont mis sur un piédestal leurs rejetons mâles d’une manière tellement injuste, suicidaire. Bien fait ! Il fallait y penser avant.
Un sentiment douloureux, une blessure que l’on a quand on est une femme libre dans ce p… de monde musulman, c’est de voir comment toutes ces mères adulent leurs fils et considèrent si peu leurs filles. Encore aujourd’hui à mon âge, j’en ai les larmes aux yeux quand j’y pense. Heureusement que j’ai pu mettre au monde une fille, fille que j’aime de toutes mes forces, fille à laquelle j’apprends à être fière d’elle, bien sûr de manière raisonnable et pas au détriment de son frère, il ne s’agit pas de reproduire ce que je reproche aux musulmanes.
Première étape du destin de petit péteux du mâle musulman : La naissance. Ah ! Cet évènement grandiose quand c’est un garçon et une calamité quand c’est une fille. La joie sur les visages pour un garçon et un visage résigné quand c’est une fille. Toutes les familles musulmanes, bien sûr, ne réagissent pas comme cela mais beaucoup d’entre elles le font. Cela dépend également du nombre de filles déjà présentes dans la famille, est-ce la première ou la énième quand pour le garçon quand bien même il y en aurait 100 c’est toujours une fierté, une joie. Tous les garçons dans toutes les familles ont droit aux youyous de joie à leur naissance, tous . Je ne pense pas me tromper, pour les filles, elles, tout dépend des familles, des situations, du contexte dans lesquels elles arrivent. Youyous parfois mais pas toujours !
Voilà comment la racine du mal s’installe dès le premier souffle de vie et la suite va être dans la même veine, dans chaque situation de la vie courante du petit garçon et de la fillette. Pour lui, c’est on répond au moindre de ses désirs quand la fille, elle, doit être raisonnable, pas trop exigeante. Le garçon a le droit d’être désagréable, violent avec sa sœur quand la fille, elle, doit s’effacer face à son frère. On lui dit invariablement : « Donne lui ton jouet ou autre chose c’est ton frère, il vaut mieux que ce soit lui qu’il l’ait, toi tu peux t’en passer, fais ceci ou cela ton frère est fatigué, pas bien, il t’a frappé ce n’est pas grave tu l’as sûrement cherché etc. » Et j’en passe, je pourrais en écrire des pages et des pages d’injonctions, d’injustices à l’égard des filles pour rendre la vie douce à leurs frères quand elles, que dalle, elles sont censées ne pas avoir de désir, ou tout du moins doivent les taire, les ignorer.
Voyez vous comment le garçon est préparé à être un tyran incapable d’empathie pour autrui, où l’on exacerbe son estime de soi à la limite du pathologique quand la fille, la sienne, elle frise le zéro ? Le peu de confiance en elle vient bien de cette situation où elle est quasi invisible, peu écoutée, peu considérée. Le garçon croit profondément, par la grâce de cette éducation, que tout lui est dû, qu’il est une petite merveille et que les personnes qui lui refusent quoi que ce soit ne se comportent pas normalement ou injustement avec lui. Elles méritent donc une punition de sa part car elles auraient osé lui opposer un refus ce qui équivaudrait à un affront terrible, ne pas répondre au moindre de ses désirs, ce que sa petite maman a toujours fait pour lui. Elle a lui souvent répété qu’il était le plus beau, le meilleur, que personne ne lui arrivait à la cheville.
Ah ! Ah ! N’avez-vous pas remarqué comment les jeunes musulmans se pavanent tels des coqs dans les rues de France et de Navarre quand bien même ils auraient un physique ingrat à la limite du repoussant ? C’est ainsi qu’ils ont du mal à accepter le refus d’une femme et que souvent ils réagissent avec violence quand certaines osent leur opposer un non ou qu’elles les quittent. Il y a un autre évènement majeur dans la vie du petit musulman qui inscrit dans son marbre cérébral ce sentiment de supériorité, de mégalomanie, c’est la circoncision. C’est un véritable culte de la personnalité dont il fait l’objet par toute la famille, à l’occasion de ce rite incontournable. Le moindre de ses désirs est exaucé, il est mis sur un piédestal rarement atteint dans une éducation lambda, même dans celle où l’on choie le plus les enfants.
La différence de traitement entre lui, porté aux nues, et sa sœur si peu considérée finit de le persuader qu’il est unique, que personne n’a le droit de le contrarier, de le rejeter. Pour moi, c’est cela qui pousse les musulmans à aller chercher femme à marier dans leur pays musulman d’origine, chercher en fait une bête de somme docile et malléable à souhait, peu importe si elle n’est pas vraiment désirable car au fond ils savent qu’aucune femme normalement constituée ne pourra accepter une telle outrecuidance.
Au Maghreb, c’est l’homme qui choisit son épouse et pas le contraire. La femme doit attendre qu’un homme veuille bien l’épouser. Elle est à la merci du désir masculin, de la toute puissance des coqs musulmans. Combien de jeunes filles ont été abandonnées par leur petit ami de longue date pour que ces derniers aillent finalement se marier avec des femmes choisies par leur mère ? Combien de vieilles filles qui ont attendu en vain d’être épousées ? Combien de femmes finissent comme bonniches de leurs frères parce qu’elles ne sont pas choisies par un « mâle » ? La femme, on lui demande tout, d’être humble, docile, assez belle, travailleuse, fertile, enfin finalement parfaite selon la morale islamique. Et l’homme que lui demande-t-on en dehors du fait d’être le détenteur d’un phallus ? Pas grand-chose, j’en ai fait le constat bien des fois. Combien de vies gâchées de femmes en terre d’islam, en territoire islamisé ? Combien ? Beaucoup ! Beaucoup trop à mon sens.
J’avais fait un commentaire dans ce sens lors d’un article sur résistance républicaine, loin de moi l’idée à ce moment là d’être dans une considération en dessous de la ceinture. L’article en question : « C’est l’islam qui les rend si moches les déséquilibrés et autres islamistes ?
Mon commentaire : « Les mecs en musulmanie, ils ont un avantage de taille même horribles ou plus que moches, c’est leur heu ziziiiiiiii. J’ai vu de très belles femmes avec des horreurs mêmes pas intelligents, ça aurait pu atténuer leur mocheté mais non. En islamie, une femme doit à tout prix se marier, l’essentiel étant que l’heureux élu soit détenteur d’un tuyau qui pend, pas grave d’un physique plus que repoussant. Pas grave non !!! ».
La réponse : « Au départ, je voulais savoir ce qui différenciait les islamistes « déséquilibrés » de leurs grands savants-manitous. En fait, ils sont quasi-identiques, sauf que les « déséquilibrés » mettent en pratique les « enseignements » de leurs maîtres confortablement réfugiés dans leurs mosquées…
Je ne voulais pas m’attaquer au physique mais force est de constater que lorsqu’on tape sur internet « salafisme », « Frères musulmans », « chefs religieux sunnites », on tombe sur des tronches dignes de films d’horreur (comme dirait Templier »). Mais je n’irai pas en-dessous de la ceinture ».
Voilà donc tous les ingrédients réunis pour faire de ces jeunes musulmans des êtres inadaptés à la vie en société, des voyous, des sociopathes très difficilement récupérables, le mal est fait tellement cela a été systématiquement inscrit dans leur cerveau. C’est bien cela que l’on voit tous les jours dans les rues de notre France meurtrie, dans les salles de classe terrorisées, les centres commerciaux ghettoïsés, des hordes de jeunes hommes conditionnés pour être des individus suffisants, peu soucieux de l’autre, prêts pour un oui ou pour un non à en découdre. Une petite étincelle et la bombe programmée par l’éducation musulmane est prête à exploser.
Que pouvons nous alors attendre d’individus qui misent tout sur la « bistouquette » de leurs fils et maudissent la féminité en retour ? A mon sens, RIEN !!! Ou plutôt si ! Le chaos, phénomène qui est loin d’être l’enrichissement promis, attendu vous en conviendrez.
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Merci Samia pour votre témoignage, rien ne vaut une plongée dans le réel, il faut que les gens sachent. .
Il est vrai cependant que vous prenez des risques et ceci est tout à votre honneur.
Merci c’est quand même dingue avec les adeptes de l’islam en plus d’adhérer à une idéologie complètement folle, on peut difficilement critiquer cette même folie à laquelle ils croient.
Ah ! j’ai bien rigolé, SUPER !!
l’article est plein d’humour, mais on y sent la colère de la personne qui a dû subir cette situation inique et écœurante,
Les néo-féministes écervelées, j’espère que vous lirez ce texte, et que vous ne nous emmerderez plus avec la fausse liberté des foulards,
enfin, je crois qu’elles sont bien trop stupides pour comprendre…
En tout cas, cela explique merveilleusement bien la frustration perpétuelle des racailles de banlieues et leur absolue certitude d’avoir le droit de tout faire,
Seule une personne directement impliquée pouvait le décrire aussi bien
Samia, vous êtes une excellente recrue dans le combat que nous menons,
je me demande comment vous avez fait la connaissance du site ?
J’ai connu RR par le biais de riposte laïque, je suis toujours sur le net à la recherche de personnes ayant apostasié ou combattant l’islam. C’est comme cela que je suis arrivée de fil en aiguille sur RL puis RR.
En surfant, j’ai fait connaissance avec Wafa Sultan, Ibn Warraq, Hamid Zanaz et d’autres aussi. Maintenant, je suis devenue une inconditionnelle de résistance républicaine qui mène le même combat que celui que je poursuis depuis toujours contre cette infamie que l’on nomme islam.
Eh oui, je suis en colère, tellement écœurée par tout cela car j’ai tellement vu d’horreur autour de moi.
Avec un prénom comme Samia et se déclarer ouvertement apostate, elle risque sa vie la petite dame.
Les fêlés, les tarés, manipulés, programmés depuis tout petits à la haine des autres, il n’en mamque pas.
Elle a beaucoup de courage. Partout où sévit cette SECTE les femmes subissent et aujourd’hui cette mentalité de merde déborde en Europe.
Merci Salvini et Orban de réveilleront marmottes; les ennemis sont nombreux…..
Grand merci, Samia, pour cet article véhément et charpenté. Ces histoires de frères et sœurs, d’homme et femme de mari et épouse… C’est exactement comme ça que ça se passe « chez ces gens là » !
Merci cher ami, eh oui ! Chez ces pourris moyenâgeux, c’est comme cela que ça continue à se passer alors que l’on est en 2018 !!!
Bonjour Samia !
Merci pour ce très courageux article, lequel est aussi très éclairant sur les pesanteurs insupportables d’une telle société, tout du moins pour tout être normalement constitué…
C’est aussi l’expression d’un vécu qui a du être assez pénible …
Certains « sachants » me disent : « t’inquiète donc pas Conan, l’islam s’effondrera de lui-même comme cela a été le cas pour l’union soviétique…Tu verras, le bon sens l’emportera »…
Je ne le crois pas.
Bien que je sois loin d’avoir l’esprit calotin, force est de constater que la soviétie a été « barrée » par Jean-Paul II et, d’autre part, que les grandes puissances occidentales n’ont pas collaboré à ce régime car il en allait de leur propre survie économique…
Aujourd’hui, par contre, face à l’islam, c’est la grande collaboration, depuis le pape jusqu’aux milliardaires…La meilleure preuve : malgré les attentats de Charly puis du Bataclan, des cies d’assurances comme Allianz, Swisslife etc… ont décidé de diffuser des contrats d’assurance vie-charia compatibles !!!!!….Trump lèche le c.l de ben salmane pour lui vendre des milliards de $ d’armement…
Ils vendront les cordes destinées à les pendre !
C’est pourquoi je reste très septique sur les raisons d’être optimiste, sauf si des millions de Samia et de Pascal Hilout nous rejoignent… Mais, il faut rester aussi combatifs qu’eux !
Merci mille fois Samia de l’avoir fait !
Je t’embrasse
Les sociétés musulmanes sont toutes, pour ma part, malades et ne peuvent apporter un équilibre à ses membres. C’est impossible à moins de rejeter en bloc ce qui en fait l’essence. Même comme cela on en sort pas facilement indemne, j’ai dû, je l’ai déjà dit, en passer par la case psy pour expurger toutes les vexations, l’injustice, la souffrance engrangées pendant des années. Je m’en suis sortie mais ça n’a pas été une sinécure, je suis devenue par la force des choses une combattante de tous les instants car sinon tu es bouffé par cette société pourrie liberticide, peu respectueuse de ce que tu es.
Tout cela a fini par me rendre malade car le psychisme peut emmagasiner mais seulement jusqu’à un certain point.
Merci Conan pour tes messages toujours plein de gentillesse
Je t’embrasse moi aussi
Bien que ce soit hors sujet, je ne peux pas laisser passer sans réagir à l’attribution de la chute de l’URSS à Jean-Paul II. Cet empire est tombé à cause du désastre économique qu’il a entraîné. Le dogmatisme et le copinage ont conduit à la faillite. La misère s’est installée partout. J.P.II a joué le rôle du papillon qui, en voletant près d’un fruit mûr, l’a fait tomber. Ce n’est pas le papillon qui a provoqué la maturité du fruit, elle était déjà là avant lui et il aurait suffi d’un léger passage de brise pour le détacher. Quelle que soit la cause, le fruit se serait détaché de l’arbre.
> Petit message que j’adresse à Madame Aïcha la pleurnicheuse que Christine a si bien décrite dans son article
> « Aïcha, t’as peur pour tes gosses, bien fait ! On ne lèvera pas le petit doigt ! ».
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Pour ceux qui veulent en faire PLUS : si vous n’avez pas participé à l’action postale proposée dans le commentaire donné en lien ci-dessus, c’est le moment !
Voilà, résister à l’invasion mahométane, ça commence en collant un (ou deux) timbre(s).