La Maison rouge à Strasbourg , ancien hôtel situé au 22 place Kléberà Strasbourg. Le bâtiment historique fut ravagé par un incendie en 1970 et détruit en 1973.
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Je ne suis pas historien mais… mais j’ai vécu déjà 88 ans… Ci-dessous un extrait de ce que j’ai écrit il y plus de 15 ans à propos de l’UE. Je suis toujours étonné que cette réunion des nazis à Strasbourg et l’histoire de l’UE ne soient pas plus connues des Français.
Les Européens n’ont toujours pas compris que nous sommes soumis au 4ème Reich qui fonctionne depuis des années comme le politbüreau soviétique. Qu’il faut se protéger contre le méchant cancer qu’est l’UE: ne pas vivre dans un logement loué, vivre dans une maison à soi et sans aucune hypothèque, fabriquer son électricité, ne pas utiliser de cartes de crédit, avoir de l’argent liquide chez soi, avoir des réserves de nourriture, avoir peu d’argent sur un compte épargne mais avoir plutôt de l’or physique donc pas de certificats de lingots précieux.
Dominique Schwander
L’UE aurait commencé à Cognac, dans le Cognac et la contrebande d’alcool aux USA avec ce fidèle pétainiste Jean Monnet (1888 à 1979) acheté par les USA et devrait se terminer avec Jean-Claude Juncker (1954- ) noyé dans le whisky avec ces pasteurs droit-de-l’hommistes de Bruxelles, tous persuadés que « La souveraineté nationale est à l’origine des maux les plus criants de notre époque et du perpétuel retour de l’Humanité au désastre tragique et à la barbarie »… « Le seul remède définitif au mal suprême catastrophique de notre temps est une union fédérale de peuples » comme l’avait affirmé à tort l’Ambassadeur anglais Lord Marquis de Lothian, lors de la conférence internationale du traité de Versailles de 1919, donc bien avant la deuxième guerre mondiale.
Pour les pétainistes Monnet et Schuman l’objectif fut la destruction des souverainetés nationales en Europe et leur transfert à des autorités supranationales technocrates, juridiques et financières. Pour eux et les Américains qui les ont financés et endoctrinés comme l’avaient déjà fait les nazis, l’Europe n’a jamais été leur objectif mais une étape hypocrite économico-politico-juridique supra-nationaliste et anti-souverainiste vers la globalisation joyeuse et la mondialisation. Cette mondialisation, qui pour Jimmy Goldsmith, « est un système de spoliation dans lequel ce sont les pauvres des pays riches qui subventionnent les riches des pays pauvres. » (J. Goldsmith: Le piège: Entretiens avec Yves Messarovitch sur quelques idées reçues. Pocket. 1995).
Bien entendu, Monnet, Schuman puis Walter Hallstein cachèrent soigneusement tant leur soumission à l’Allemagne du Troisième Reich que leur objectif final de projet mondialiste en utilisant l’Europe comme modèle prêt à être pris en main par la future gouvernance mondiale des USA. Le philosophe allemand Jürgen Habermas (1929- ) a bien dit que: « Le joli mot de gouvernance n’est qu’un euphémisme pour désigner une forme dure de domination politique » et que l’UE est un « parangon d’autocratie post-démocratique » (Le Monde. 17 novembre 2011).
En réalité, l’UE a commencé en 1944 dans un hôtel de la ville de Strasbourg occupée par les nazis. Les trois pages dactylographiées du rapport dit de la Maison Rouge, suite à la réunion du 10 août 1944 dans cet hôtel de Strasbourg, est le pont entre la funeste germanisation de l’Europe par les nazis et la création de l’UE par l’oligarchie financière germanisée et la gauche européenne.
The Red House Report (en français Le Rapport Maison Rouge) désigne le rapport nommé officiellement US Military Intelligence report EW-Pa 128, rédigé le et à présent déclassifié, détaillant les plans du Troisième Reich pour prospérer après sa perte certaine de la Seconde Guerre mondiale. Il fut rédigé par les services de renseignements des États-Unis à la suite d’une réunion d’industriels allemands censée s’être déroulée à l’hôtel Maison Rouge à Strasbourg le .
Ce rapport est mis en parallèle avec la création de l’Union européenne pour souligner un lien entre celle-ci et un éventuel quatrième Reich, planifié par certains décideurs nazis durant la guerre[2]. D’autres auteurs ont enrichi cette grille de lecture, sans pour autant faire référence au rapport maison rouge, soulignant par exemple un mémorandum rédigé par Herbert Martini, chef du service de crédit au ministère de l’Économie du Reich, prévoyant une confédération d’États européens, une union monétaire soutenue par l’instauration d’une Banque européenne à Vienne, une fixation des cours de change, une partie de ce mémorandum ayant servi de base aux statut de la Banque centrale européenne. Martini avait fait savoir qu’un avantage particulier résidait dans le fait qu’une union monétaire faisait sur le plan de la politique extérieure la démonstration de l’autonomie des pays bien qu’au sein de l’espace monétaire les pays seraient suffisamment liés à l’Allemagne pour rendre toute sortie de l’Union impossible[3]. Source Wikipedia
Le visionnaire Joseph Goebbels, chef de la propagande de Hitler, avait déclaré en anticipant l’UE supra-nationaliste: « Dans 50 ans, personne ne pensera aux États-nations ». L’UE est inexorablement enchevêtrée dans le plan Maison Rouge des industriels SS et allemands pour un futur empire désormais économique et non plus militaire. Pour l’instant, quelques États-nations européens luttent encore pour leur souveraineté alors que les autres se sont soumis dès le supra-nationaliste European Coal and Steel Community (ECSC) signé par six pays déjà en 1951, un traité précurseur de l’UE germanisée.
En août 44 eut lieu cette réunion secrète dans cet hôtel de Strasbourg, sous la Présidence du Dr. Scheid, un Obergruppenführer SS; lui même briefé par son supérieur SS, l’avocat et économiste très instruit, intelligent mais un affreux criminel sur le Front est Otto Ohlendorf dont le conseiller fut son protégé l’économiste Ludwig Erhard, celui qui succéda comme Chancelier à un autre ancien nazi le Chancelier Adenauer. Des responsables nazis ordonnèrent à un groupe d’élite d’industriels allemands de planifier la vie de l’Allemagne après la guerre et sa reprise économique pour préparer le retour au pouvoir de l’Allemagne et œuvrer pour un « puissant empire allemand », en d’autres termes: le quatrième Reich. Le rapport des Services de renseignements militaires américains, soit le EW-Pa 128 au sujet de ce Red House Report peut être consulté ici :
Son contenu reste aussi effrayant que le jour où ce US Military Intelligence report EW-Pa 128 fut rédigé en novembre 1944.
Le traité de Maastricht en 1992 instaura une monnaie unique et une politique étrangère commune puis en 2007, le traité de Lisbonne franchit un pas supplémentaire vers le mythe de l’Europe-puissance et de l’utopie de la paix perpétuelle par le commerce mondialisé et libre-échangiste, UE soi-disant émancipée de toute forme de dépendance russe ou américaine; ce dernier traité bannit les consultations populaires puis Schengen bannit les frontières nationales. Cette succession de traités impérialistes permirent à l’UE de créer des standards communs acceptés docilement par des gouvernants eurolâtres soumis et transposés par les gouvernements bruxellisés des pays européens pour prendre progressivement le contrôle puis la souveraineté de chaque pays. Sans risquer que ces pays soumis soient attaqués de front par l’UE ou envahis ouvertement.
Comme Suisse, ce qui me choque le plus c’est que finalement tous ces traités ne se réfèrent jamais à notre passé européen, à notre histoire nationale, à notre héritage judéo-chrétien, à notre culture, à nos valeurs et à notre civilisation européenne greco-romaine; bien au contraire ces traités ont la ferme intention de nous imposer des temps nouveaux sans frontières, sans histoire, sans culture, sans religion chrétienne mais avec le saint office de la Cour européenne chargée d’interpréter ces traités en les rendant de plus en plus contraignants et autoritaires, cela sans jamais consulter les peuples. Juncker puis Cohn Bendit n’ont pas caché que les engrenages juridiques de l’UE tuent la démocratie en Europe. «Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens. » a affirmé Juncker. Tout comme Hitler aurait dit selon Hermann Rauschning « La démocratie n’est plus un système politique qui puisse convenir aux grands règlements de comptes des années à venir. » « Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison » a affirmé Cohn Bendit à propos du Brexit. L’UE est un tueur en série de la démocratie en Europe et les habitants du continent européen caractérisé par la plus forte densité de population du monde sont les tueurs en série de notre milieu ambiant.
Les Pères fondateurs de l’UE ne furent pas des opposants au nazisme et à sa peste brune en Europe, tout au contraire. L’indigne Robert Schuman n’a jamais été résistant. Schuman, après avoir porté l’uniforme allemand en 1914-18, ce père de l’UE fut ministre de Pétain et participa à la fondation du régime de Vichy. Monnet fut un disciple de la pensée d’Uriage soit également de Vichy. Il n’a jamais résisté non plus puis s’est vendu à des Américains. Quant au troisième pilier de l’intégration européenne Walter Hallstein, c’est pire encore. Dans Das Personenlexikon zum Dritten Reich: Wer war was vor und nach 1945 compilé minutieusement par Ernst Klee on retrouve un bref curriculum vitae de Walter Hallstein (1901-1982), ce diplomate et homme politique chrétien-démocrate qui fut le premier président de la Commission de la Communauté économique européenne et est considéré comme l’un des Pères de l’Europe. En 1938, Walter Hallstein participa à la rédaction pour Hitler du plan nazi Das Neue Europa; les nouvelles autoroutes en Allemagne puis en Europe faisaient partie de ce plan. Ces autoroutes ne furent pas construites pour que les Allemands aillent en vacances au sud, mais, comme la nouvelle Route de la soie de la Chine communiste, pour faciliter le contrôle des populations. Hallstein fut non seulement un fervent nazi Professeur universitaire de droit mais aussi un officier du corps des Nationalsozialistischen Führungsoffiziere (NSFO). Ce corps d’officiers créé en 1943 par Hitler avait pour mission d’enseigner le socialisme national pur et dur aux militaires et accessoirement une mission de surveillance politique des troupes tout comme le faisaient « religieusement » les Commissaires de l’Armée rouge et tout comme le font aujourd’hui en Europe les imams salafistes et les disciples des Frères musulmans et de Hezbollah. C’est dans cette fonction d’officier NSFO que Schuman a pris connaissance de la grande Europe telle que pensée par Hitler. Ce sont ces hommes, tout particulièrement cet ancien Professeur de droit Hallstein, qui ont voulu une UE juridique, marchande, américaine et allemande. Quand un suiveur de ces Pères fondateurs utilise la diabolisation ad hitlérum pour nous salir et nous faire taire, n’oublions pas que leur passé nazi a causé 60 à 80 millions de morts dont quarante-cinq millions de civils et six millions de déportés exterminés dans les camps de concentration. Il n’en reste pas moins qu’avant Monnet, Schuman et Hallstein les vrais et premiers pères idéologiques de l’Europe supra-nationaliste du XX ème siècle furent Truman, Hitler et Staline, tous de gauche.
Pendant la guerre froide, les USA t leur hégémonie habituelle ont cherché, avec générosité, à constituer un bloc européen allié facilement influençable mais surtout à tenir en laisse toute l’Europe, à la dresser contre l’URSS, à tuer dans l’œuf des alliances que ne contrôleraient pas les États-Unis, à exporter leur modèle politique et économique, à coloniser idéologiquement et culturellement les pays européens avec l’American way of life, pour qu’un jour, l’Europe converge vers une gouvernance et un marché mondiaux. Les Américains ont voulu l’unification de l’Europe, ont infiltré les élus européens, ont choisi des fondateurs européens, les ont dirigés et les ont financés. Après la deuxième guerre mondiale les USA ont déradicalisé à l’école de Fort Getty aux USA, des officiers et des dirigeants nazis allemands faits prisonniers, en particulier l’officier nazi NSFO Walter Hallstein. C’est ainsi qu’ils formèrent une future élite qui aida les USA dans leur tâche d’occupant militaire de l’Allemagne et dans leurs futures ingérences hégémoniques en Europe et ailleurs. La dite construction européenne fut en réalité une opération de despotisme doux et éclairé menée et financée par des politiques, des industriels, des oligarques, la Fondation Ford qui est de gauche et des hauts fonctionnaires américains, regroupés en particulier dans l’American Committee on United Europe. John Foster Dulles, ce protestant américain Secrétaire d’État des États-Unis entre 1953 et 1959 dans le gouvernement du président Dwight D. Eisenhower, fait partie des Pères de l’UE, à l’égal de Schuman et des Chanceliers allemands Adenauer et Erhard, également des ex-nazis. C’est ainsi que, par exemple déjà le pool européen charbon-acier fut conçu, dès après la Deuxième guerre mondiale, à la Maison blanche par Roosevelt et non à Paris, Bruxelles ou Berlin. Ainsi l’Europe supranationale trahie par des Pères fondateurs puis des gouvernants prêts à renoncer à la souveraineté de leur patrie est devenue une Europe germanisée sous direction et défense militaire américains. Les Pères fondateurs pétainistes-nazis de l’UE Monnet, Schuman et Hallstein ont tellement bien travaillé avec l’argent reçu des USA pendant la guerre froide que les États unis au sein de l’UE sont les États-Unis en Europe.
De tant voir Henry Kissinger à Bruxelles je l’avais soupçonné de faire partie de ces Américains (American Committee on United Europe) qui ont voulu pour l’Europe l’unification soit une première étape vers la mondialisation, ont infiltré les élus européens, ont choisi des Fondateurs européens ex-nazis, les ont dirigés et les ont financés. Ce n’est pas le cas. Kissinger a souhaité des Etats nations souverains organisés sur le modèle du système westphalien modernisé et adapté au XXI ème siècle. Ce fut l’excellente diplomatie française qui créa le traité de Westphalie qui pacifia l’Europe en 1648 et apporta de longues période de paix après la guerre de Trente Ans. Kissinger estimait que les USA devraient prendre la place de l’Europe et de la diplomatie française en perdition pour reprendre et actualiser ce que fut la diplomatie à la recherche d’équilibres mondiaux avant l’UE. Kissinger a dénoncé la folie de l’UE qui « érode elle-même ses propres États ».
Pour lui comme comme pour tant d’autres élus et citoyens patriotiques la cause principale de la crise politico-économique de l’UE a été l’affaiblissement des Etats-nations européens et de leur souveraineté dont l’UE est elle-même responsable. Supra-nationalisme impérialiste, affaiblissement et marginalisation des démocraties européennes ayant perdu leur souveraineté, reniement de la culture, de la civilisation et des religions chrétiennes et des valeurs européennes, absence de combativité à l’égard des nos colonisateurs extra-européens, croyance en l’utopie mondialiste libre-échangiste ont mis en danger mortel l’UE et ses propres Etats-membres souverainistes et patriotiques comme le sont normalement tous les peuples libres du monde. C’est l’UE pas les peuples européens souverains qui a exposé toute l’Europe sans défense à la conquête chinoise, à la colonisation musulmane et extra-européenne, aux ingérences impérialistes des USA, à la concurrence déloyale de pays chouchoutant, financièrement et socialement beaucoup moins leurs travailleurs et l’environnement social, sanitaire, toxicologique et écologique.
La survie de l’Europe passe par la recherche d’équilibres entre des Etats-nations forts et souverains, non pas par la perte de la souveraineté de peuples soumis et par des prises de position « morales » individuelles que des juges étrangers exigent de tous.
Ce qu’un Etat-nation ne fait pas pour lui-même, personne ne le fera à sa place, surtout pas l’UE qui va à la dérive. L’UE actuelle est telle que le premier Président du Conseil européen, le Belge Herman Van Rompuy l’a résumé il y a peu: « On a l’impression d’une espèce de locomotive folle, mais il y a une différence entre les institutions européennes et les locomotives, c’est que, quand une machine déraille, elle s’arrête. L’Union, elle, continue. »
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