Le député LFI Aly Diouara, ce provocateur obsessionnel qui clame haut et fort que « la police tue » par racisme et « nostalgie coloniale » (propos qui lui ont valu une plainte du préfet de police (1)), lance son grotesque « Tour de France des violences policières » dès demain à Marseille.
Sous couvert de « documentation parlementaire », c’est une pure opération de haine anti-flics : amplifier des cas isolés en « violences systémiques racialisées » tout en crachant sur les milliers de policiers qui risquent leur vie face à la sauvagerie quotidienne dans des zones comme sa propre circonscription de Seine-Saint-Denis.
Ce même Diouara, impliqué dans des accrochages tendus avec les forces de l’ordre (menaces de taser lors d’interventions qu’il perturbe, vidéos contestées sorties de contexte), incarne le summum de l’hypocrisie insoumise : victimiser les délinquants, diaboliser les gardiens de l’ordre, et diviser les Français pour des voix communautaires.
Un élu qui préfère semer la discorde et attiser la violence contre la police plutôt que de lutter contre l’insécurité qui ravage son département mérite l’indignité nationale, et surtout un prison et la destitution de son mandat, pas un podium médiatique. Honteux, irresponsable et profondément anti-républicain.
Jeanne La Pucelle
(1) Apparemment les préfets ont moins de pouvoir – ou le bras moins long- que Jacubovitch, l’ex-président de la Licra, avocat à ses heures de directrice de l’office du tourisme de Moulins qui a à peine porté plainte contre Christine Tasin que la plainte est instruite et son procès casé début janvier !!!
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Son chef
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La police ne tue pas : il est encore vivant !