
►Bangladesh : un homme hindou lynché et brûlé pour blasphème…
Dipu Chandra Das n’était pas indien. Il était citoyen bangladais. Pourtant, il a été lynché et brûlé.
Parce qu’il était hindou.
L’État n’a pas su le protéger. Au contraire, une foule a applaudi cet acte brutal. Et cela n’a suscité pratiquement aucune indignation au Bangladesh. X
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Images choquantes, aux cris de « Allahu akbar », les barbares filmant avec leurs smartphones : 1 et 2
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Un homme hindou lynché et son corps brûlé à Mymensingh suite à une accusation de blasphème
Après l’avoir battu à mort, les agresseurs ont attaché le corps de la victime à un arbre et y ont mis le feu, a confirmé à BBC Bangla Ripon Mia, officier de service du commissariat de police de Bhaluka.
Un homme appartenant à la communauté hindoue a été battu à mort par une foule pour des allégations de blasphème dans le Bhaluka Upazila de Mymensingh le soir du 18 décembre, rapporte BBC Bangla, citant la police.
L’affaire s’est produite dans le quartier de Dubalia Para, à Square Master Bari, dans le district de Bhaluka, a indiqué la police.
Le jeune homme décédé a été identifié comme étant Dipu Chandra Das. Il travaillait dans une usine textile locale et vivait dans le quartier en tant que locataire, a indiqué la police.
« Jeudi vers 21 heures, une foule en colère l’a pris à partie suite à des allégations selon lesquelles il aurait tenu des propos désobligeants à l’égard du prophète Mahomet. Ils l’ont battu à mort puis ont incendié son corps », a déclaré Ripon à BBC Bangla.
Dès réception de l’information, la police s’est rendue sur les lieux et a maîtrisé la situation. Le corps de Dipu a été retrouvé et transporté à la morgue de l’hôpital universitaire de Mymensingh pour y être autopsié, ont indiqué les autorités.
Aucune plainte n’a été déposée concernant cet incident pour le moment.
« Nous essayons de retrouver ses proches. Des poursuites judiciaires seront engagées conformément à la loi une fois la plainte déposée », a déclaré Ripon.
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Cela restera longtemps une illustration frappante de la situation de la minorité hindoue dans un Bangladesh radicalisé.
Dipu Chandra Das, ouvrier d’usine du district de Mymensingh, a été déshabillé, battu puis brûlé vif alors qu’il était pendu à un arbre, tout cela devant sa famille. Il laisse derrière lui un fils âgé d’un an, et son père est paralysé.
Il avait eu une altercation avec des collègues qui l’ont immédiatement accusé d’avoir insulté l’islam, ce qui est le prétexte le plus courant au Bangladesh pour tuer, torturer et violer des hindous. Les 18 mois du mandat de Yunus ont été un véritable enfer pour les minorités et les laïques. Les islamistes radicaux font la loi. X
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►Boko Haram réduit en esclavage des femmes qui refusent de se convertir à l’islam…

Témoignage complet sur Sahara reporters
Fayina Akilawus, survivante de Boko Haram, témoigne d’un système de conversion brutal où le choix était simple et terrifiant : renier sa foi chrétienne ou devenir esclave.
Face à son refus de se convertir à l’islam, elle a enduré des années d’esclavage, contrainte aux travaux forcés les plus épuisants. Ses ravisseurs présentaient cyniquement cette coercition comme une « prédication », promettant une vie meilleure en échange de la soumission religieuse.
Pendant neuf mois, la pression fut incessante avant que les captives récalcitrantes ne soient dispersées dans différents foyers pour y être asservies. Malgré cinq tentatives d’évasion ponctuées de passages à tabac et d’enchaînements, Fayina n’a jamais cédé. Son témoignage révèle la perversité d’un système qui instrumentalise la religion pour justifier l’esclavage, transformant la foi en monnaie d’échange entre liberté relative et servitude totale. Seule sa détermination inébranlable et une rançon de 250 000 nairas lui ont finalement permis de recouvrer sa liberté.
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►Un médecin emprisonné au Soudan pour être chrétien…

Au Soudan, le simple fait d’être chrétien peut mener à l’emprisonnement.

Le médecin Yagoub Jibril Glademea (photo) en a fait l’amère expérience lorsqu’un officier de sécurité a découvert sa religion sur sa carte d’identité lors d’une démarche administrative banale.
Agacé par sa confession chrétienne, l’agent l’a immédiatement arrêté et incarcéré trois jours sans possibilité de visite familiale. Cette détention arbitraire illustre le climat de terreur instauré par les cellules de sécurité soudanaises, accusées de torture et de disparitions forcées.
Depuis la guerre civile d’avril 2023 entre forces islamistes rivales, les chrétiens – seulement 2,3% de la population – sont pris en étau, bombardés, pillés et accusés tour à tour par les deux camps belligérants. Le Soudan, classé 5ème pays le plus hostile aux chrétiens au monde, a vu ressurgir le spectre de la persécution d’État depuis le coup d’État militaire de 2021, effaçant les brefs progrès en liberté religieuse obtenus après la chute de la dictature islamiste en 2019.
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►Une mosquée au Brésil promet de poursuivre la mission du Hezbollah…

(Ci-dessus) Gloire éternelle à notre grand leader Nasrallah
Une mosquée de Sâo Paulo, au Brésil, rend hommage au secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, « martyr » : « Il était un maître de la résistance » ; nous poursuivrons son œuvre jusqu’à la victoire ; les martyrs morts pour Allah sont vivants et se tiennent devant Lui.

Hassan Nasrallah : une frappe israélienne a débarrassé l’humanité de cet assassin en septembre 2024. Rappel : Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, est responsable de la mort de milliers d’innocents en Syrie, en Israël, au Liban, en Europe et en Amérique.
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