
C’est un tournant historique, mais pas que pour le Chili. Les choses changent, les mondialistes et autres gauchistes/wokistes qui dépensent le fruit de notre labeur pour effacer notre identité et notre histoire -et nous appauvrissent pour nous réduire à quia et au silence – font de moins en moins recette.
José Antonio Kast en est le symbole, lui qui vient de remporter une grande victoire à l’élection présidentielle, marquant un rejet décisif des politiques de gauche qui ont dominé la scène mondiale ces dernières décennies. Avec plus de 58 % des voix, Kast, leader du Parti républicain, a surpassé son rival communiste, symbolisant un réveil conservateur face aux excès de la mondialisation et aux manipulations idéologiques des gauchistes. Et cela malgré la diabolisation de Pinochet pendant des décennies. Je signale au passage que je n’ai quant à moi aucune admiration pour Pinochet, préférant de très loin Allende. Mais hier n’est pas aujourd’hui.
Cette victoire n’est pas un hasard, mais le fruit d’une prise de conscience collective. Après des années de globalisation effrénée, qui a souvent favorisé les élites au détriment des nations souveraines, le Chili a choisi de reprendre le contrôle de son destin.
Enfin ! Les politicards, journalistes et autres influenceurs gauchistes, de plus en plus accusés d’avoir manipulé les discours sur l’immigration, l’économie et les valeurs traditionnelles à travers le monde ont enfin rencontré une résistance ferme. Au Chili, pays appauvri par des décennies d’instabilité – des réformes socialistes des années 1970 aux récentes crises sous des gouvernements « progressistes » – les électeurs ont opté pour la stabilité, la sécurité et la prospérité promise par Kast. On se souviendra qu’il n’y a pas de hasard, c’est aussi à partir des années 70 que, en Europe, naît mondialisation et Eurabia, le traité « immigration contre pétrole » qui nous a menés en grande partie à la catastrophe actuelle.
Félicitations à José Antonio Kast pour cette conquête électorale ! Elle incarne le sens de l’histoire : un retour aux racines, à l’ordre et à la fierté nationale. c’est le début du balancier que connaît l’histoire, toujours. Et il faut dire que, au Chili, ils ont payé très cher, passant du socialiste Allende au dictateur Pinochet avant de tomber dans les bras de la gauche dégénérée, tout ça parce que la peur de la gauche d’Allende qui n’avait rien d’extrémiste, au contraire, inquiétait les USA de Nixon, craignant qu’un succès d’Allende ne contamine trop de pays. Résultat des courses, on a quand même (eu) gauchistes et mondialistes anti-peuple partout dans le monde, et les pires…
Que ce mandat apporte au Chili la renaissance qu’il mérite, loin des illusions du passé. Vive le Chili libre et fort ! Puissions-nous, à notre tour, voir à l’Elysée et à Bruxelles un Kast, appelé d’extrême-droite pour faire peur au bon peuple… qui se fait de moins en moins avoir et tromper. Dans le monde entier.
Ça va être dur. Il y aura du sang et des larmes mais personne n’échappera au changement de paradigme.
Christine Tasin
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Merci pour cet article, qui donne un regain d’espoir pour les Français. Il faut chasser les traîtres au pouvoir, et surtout les empêcher de revenir. On a vu ce que ça donnait avec Hollande, Macron. Celui qui accédera à la présidence n’aura pas droit à l’erreur en ce qui concerne les orientations essentielles : souveraineté, indépendance vis-à-vis de l’UE, réindustrialisation, énergie , immigration, cessation de la gabegie financière, etc.