Le petit homme de Kiev ressemble à certains gloseurs de RL et des RS. Des microcéphales qui ânonnent leurs commentaires d’un post ou d’un texte sans l’avoir lu. En ignorant tout du sujet. Appliquant intuitivement l’aphorisme d’Audiard : Ce n’est parce qu’on n’a rien à dire qu’on doit fermer sa gueule !
L’homuncule turco-mongol est fuyant comme un Macron. Mi-lézard mi-serpent, mi-cloporte mi-scolopendre, sournois et venimeux, ce péteux agit dans l’ombre malodorante des poubelles. Il excelle dans les échappatoires, les faux-fuyants, les reculades et les pirouettes. Lâche et infatué de sa personne, il n’ose pas s’opposer de front aux grands hommes d’État, mais il ne rate jamais une occasion d’écraser une boule puante sous leur bureau.
Trump reproche au Zygomyr de n’avoir pas lu son memorandum, de répondre n’importe quoi à côté, et d’user de mille artifices dilatoires pour refuser une paix qui l’éloignerait du pouvoir et de ses avantages.
Interrogé dimanche soir lors d’une soirée de gala à Washington, le président des États-Unis, qui commence à s’impatienter du jeu de cache-cache du pantin ukrainien, lui a reproché de n’avoir pas lu son plan pour l’Ukraine. Ou peut-être ne l’a-t-il pas compris ? Quelqu’un se dévoue pour le lui expliquer ? On lui envoie le Delogu ?
Puis de façon plus directe, Donald a publiquement accusé le Zygomyr de tout faire pour bloquer les négociations au moment où la Russie, bien qu’en position de force, s’abstient de pousser plus loin ses exigences. Comme revendiquer toute la côte jusqu’à Odessa.
Dmitri Peskov, le porte-parole de Vladimir, a déclaré que le document stratégique mis à jour, qui énonce les principaux axes de l’administration américaine en matière de politique étrangère, pouvait s’accorder avec la vision de Moscou. Les confrontations inutiles doivent cesser. Et le rétablissement de bonnes relations entre les super grands serait le meilleur garant de la paix.
La Maison-Blanche a publié vendredi un document confirmant que les États-Unis souhaitent améliorer leurs échanges avec la Russie après des années pendant lesquelles Moscou a été traité comme un paria mondial. La fin de la guerre permettrait de rétablir un équilibre stratégique avec la Russie. À l’aune de cet objectif, le Zygomyr n’est qu’une chiure de mouche.
Le nabot de Kiev est un obstiné irréaliste et un capricieux pathologique qui ne reconnaît jamais ses erreurs ni ses défaites, tout comme son chéri l’immature de Paris.
Les questions de garantie de sécurité de l’Ukraine, en dehors de l’OTAN après la paix, font l’objet d’un accord à 98 % entre le Kremlin et les Américains. Une surveillance réciproque et un canal de concertation ouvert en permanence conviendraient parfaitement. Il ne manque que deux ou trois ajustements cosmétiques.
Les Russes tiennent à récupérer leurs terres confisquées et leurs peuples martyrisés. Rien de plus, rien de moins. Et les Américains veulent un protocole pérennisant les exploitations minières destinées à les dédommager des milliards dilapidés par le grabataire Biden et pour lesquels le Congrès demande des comptes. À la différence des trouducs Eurotocrates qui ne reverront pas un centime du pognon dérobé à leurs concitoyens.
Russes et Américains sont les seuls dont l’opinion compte vraiment pour le futur, avec la Chine qui attend son heure pour faire son beurre. L’obstacle à un accord finalisé dépend des marottes d’un clown sanguinolant qui maintient deux questions en suspens, les territoires contestés, principalement le Donbass, et la centrale nucléaire de Zaporijjia. Où le Zygomyr s’entête dans un déni de réalité, chauffé aux fesses par Pustula et Fripounette.
La Russie contrôle la majeure partie du Donbass, regroupant les régions de Donetsk et de Louhansk ainsi que partiellement les deux régions méridionales de Novorossia où passe la ligne de front qui pourrait servir de frontière. Avec un no man’s land comme entre les deux Corées.
La centrale nucléaire de Zaporijjia se trouve dans une zone qui est sous contrôle russe depuis 2022 et n’est plus en service. Elle a besoin d’une alimentation électrique fiable pour refroidir ses six réacteurs à l’arrêt et son combustible usé, afin d’éviter toute catastrophe nucléaire en remake de Tcherno débile.
Mais pour le pygmée ploutocrate, c’est niet macache bono sans le dire tout en le disant. Cet homuncule chafouin laisse entendre à Trump que, peut-être, on pourrait s’entendre, mais il faut encore en discuter. Comme des énarques. On ne prend aucun engagement, aucune décision, on note la liste des divergences, et on se revoit dans un mois pour se faire un rail de coke, une bouffe, et en reparler. À croire que Fripounette lui a soufflé le mode d’emploi de la divagation diplomatique.
Le Zygomyr aurait tort de se priver. Avec ses potes les oligarques corrompus, il peut continuer à s’en mettre plein les fouilles jusqu’à s’en faire péter le nombril.
L’Eurocrature continue à raquer, et la lente avancée de l’armée russe lui donne des délais pour temporiser. Avant de fuir vers le paradis fiscal où il a planqué son blé. Et tant pis si des centaines de milliers d’Ukrainiens enrôlés de force perdent la vie ou rentrent chez eux avec un bras ou une jambe en moins. Le nain hargneux planqué dans son bunker n’en a rien à cirer.
L’envoyé de Trump pour l’Ukraine, Keith Kellogg, a déclaré que malgré les efforts pour mettre fin à la guerre, la partie ukrainienne reste bloquée sur la question territoriale, après avoir semblé évoluer lorsque le POTUS a commencé à couper les vivres au court sur pattes. Un pas en avant, deux pas en arrière. Quand j’avance tu recules, comment veux-tu que je… La chanson favorite du Zygomyr et de Fripounette.
La redéfinition des frontières, dans un contexte où les Russes occupent le terrain et continuent d’avancer, est la pierre angulaire du système qui pourrait devenir la pierre tombale du nabot après une défaite encore plus catastrophique vu que la situation actuelle empire pour lui.
Les Américains pragmatiques comprennent très bien que Poutine refusera de conclure un accord sans que l’Ukraine cède des territoires dont le Donbass et le sud du pays. Et ils ont mis en garde le petit clown contre le risque que la Russie finisse par s’emparer de la moitié de l’Ukraine s’il s’enferre dans ses esquives pitoyables et ses subterfuges lamentables. Tandis que son armée fond comme neige au soleil malgré l’appoint de mercenaires colombiens, anglais, français et boches.
Les Américains mettent la pression pour accélérer la prise de décision, mais le Zygomyr a trouvé une dernière astuce vaseuse. Il ne veut rien accepter sans réexaminer tous les détails, alors que le dossier est sur sa table depuis plus de trois mois.
Le président ukrainien qui ne l’est plus depuis deux ans puisqu’il a refusé de se représenter, donnant des idées à Macrounette, évoque maintenant des arguments juridiques et moraux pour refuser de faire la paix. Manque pas de culot, le bouffon !
Ce dictateur en barboteuse qui a supprimé toutes les élections, municipales, régionales, législatives et présidentielle, allègue que ce serait illégal et immoral de céder une partie de l’Ukraine sans l’accord de ses concitoyens. Lesquels, lorsqu’ils expriment un avis qui lui déplaît, peuvent finir dans un charnier aux bons soins du SBU, la Gestapo locale.
Bien entendu les fauteurs de guerre qui ont tout à gagner à une prolongation des tueries, appuient le gnome boudeur pour qu’il s’enferre dans ses positions. Sans rien céder ni proposer la moindre ouverture en faveur de la paix. Je plains les cathos qui doivent souffrir de voir Léon le couillon du Vatikon entraîné par l’histrion dans ses tours de con.
Il faudra un Nuremberg 2 pour juger le Zygomyr s’il survit à la défaite, avec sur les bancs d’infamie le converti Kahir Starmer, les Boches Adolf Hitmerz et Pustula von der la Hyène, et le mondialiste apatride Fripounette. Ainsi que les seconds couteaux comme le secrétaire général de l’OTAN Mark Putte, et le président du Conseil européen, António Costa del sol y Mierda Fresca del Gato.
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
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