Ah ! Ah ! Frontières venge les patriotes victimes de Street press !

Connaissez-vous Street Press, ce torchon islamophilogauchiste qui tape à bras raccourcis sur les patriotes depuis des années ? 

Les voilà au tribunal traînés par Frontières ! La peur change de camp ! Bravo à Erik Tegner et son équipe !

Marcher sur des oeufs avait fait un petit bilan sur Street Press et avait repris un article au vitriol de l’OJIM. Les voici ci-dessous. Edifiant.  C’était en 2017.

Les Bons, la Brute et les Truands, le monde selon Street Press : l’islam c’est l’Europe !

Et aujourd’hui retour de bâton, la peur change de camp, c’est Frontières qui traîne le torchon au tribunal. Les autres n’en reviennent pas ! 

L’OJIM a évoqué street press à deux reprises. En 2014, en montrant combien ce média est une « entreprise de formatage idéologique » proche de Soros. En 2016, en étudiant sa rhétorique. L’idéologie à l’œuvre dans street press  diffusant dans d’autres lieux, y compris à l’école, nous avons décidé d’infiltrer de nouveau l’un de nos limiers dans ce bas-fonds du journalisme. Street press ? Un média militant obéissant à l’ordre cul-turel libéral libertaire dont la « ligne éditoriale » passe par tous les trous.

L’islam c’est l’Europe. 

Le formatage idéologique fait partie de l’ADN de Street Press. Sa rubrique « collector » en est une sorte de best of. Ainsi, ce reportage consacré à Sarajevo. L’Islam et l’Europe sont de très vieux potes. La preuve par la Bosnie, « berceau de l’Islam européen ». L’Islam ? « Un pont entre l’Orient et l’Occident ». Rassurant. La preuve ? Les musulmanes de Sarajevo sont diplômées, boivent de l’alcool, et dévorent des pizzas au chorizo. Elles portent peu le voile, « à peine plus qu’en France »et arborent de jolis décolletés. Des femmes « bien plus dévêtues que la traditionnelle parisienne ».L’Europe de Street Press est musulmane et heureuse. L’anomalie ce n’est pas le minaret, c’est l’islamophobie : « Les européens ont toujours cherché un ennemi commun : pendant la seconde guerre mondiale, c’étaient les juifs, et maintenant c’est l’Islam ». En Bosnie, on trouve « Un Islam plus européen que les européens ».

REPASSE-MOI DONC LA BEURETTE JE TE PRIE

D’ailleurs, Street Press angoisse pour les « beurettes ». On n’a de cesse d’« emmerder » la « beurette ». Pourtant, elle demande juste qu’on « lui lâche la grappe une bonne fois pour toute et qu’on la laisse profiter de la vie comme elle l’entend, comme n’importe quelle femme ». Analyser ce mot permettrait de « décortiquer l’ensemble des préjugés qui stigmatisent » les « femmes arabes ». « Beurette », le terme « désigne de la façon la plus dégradante qui soit les jeunes femmes issues de l’immigration maghrébine ». SOS Racisme doit se retourner dans sa tombe. Les « beurs », avant, c’étaient les potes. La « beurette », c’est un « stéréotype » tournant au « fantasme sexuel ». Elle n’est pas l’équivalent féminin du « beur » mais une « putain » qui a « le monde entier sur le dos ». Beurette rime ici avec levrette. Son crime ? Être une féministe de choc. Arabo-musulmane, la « beurette » peut être croyante ou non, porter le voile ou non, faire la fête, fumer, boire de l’alcool… Être une femme comme à Sarajevo en somme. En France, elle est victime de toutes les discriminations. La nouvelle victime féminine. Pauvre « beurette ». Elle en a pourtant, « du clito ». Le pire ? « Les commentaires des petits pouilleux frustrés et sans éducation ». Difficile de saisir de qui l’auteur de l’article parle mais la référence à la vermine sent bon le racisme à l’envers qui s’ignore racisme.

TOUTES ACTRICES PORNOS ET ON SERA LIBRES LES MEUFS !

Pas de panique cependant : avec ou sans burqa je baise, donc je suis. « Les chattes dans mes films, c’est du bio », affirme Lucie Blush. La liberté est dans le cul des femmes. Facile : « Le porno du futur se fait avec des gens normaux » d’après la réalisatrice et actrice de « pornos alternatifs »féministes, le femporn. Ce qui pèche avec le porno industriel, selon elle, c’est que le « plaisir n’est jamais de la partie » et que, pour les acteurs, « ce n’est pas bandant du tout ». Une injustice ! « On retrouve toujours les mêmes scénarios super sexistes où la fille est uniquement un objet sexuel soumis et l’homme une sorte de bite perpétuellement en érection. Dans le porno « mainstream », les femmes se font retourner sans arrêt et pour créer l’excitation il faut des scénarios de plus en plus extrêmes. Surtout, jamais la fille ne va se lever et dire « j’ai envie que de ci ou de ça maintenant » ». L’heure est grave car « cela rend les gens névrosés et personne ne sait plus comment prendre du plaisir ». Lucie Blush affirme que ses films sont « politiques » : « aujourd’hui, on rêve de normalité ». Le lecteur se reconnaît-il dans ce « personne ne sait plus » ou dans cette « normalité » passant par les caméras du porno ? Pas sûr.

AVEC CHARLOTTE, C’EST DU SÉRIEUX

Du coup, Street Press voit des « fachos » à tous les étages. À commencer par les jolies filles n’ayant pas goût pour le porno alternatif ou la propagande sur l’ancienneté bosniaque de l’islamisation de l’Europe. La vraie grande menace prend le doux visage de Charlotte d’Ornellas, « la journaliste préférée de la fachosphère ». Elle serait passée de « Gollnisch à Ménard » et pige dans Présent, Boulevard Voltaire, Valeurs Actuelles tout en passant sur TV Libertés. Charlotte, c’est la nouvelle rock star des médias de la « ré-information ». Le péril guette, l’ancienne Jeanne d’Arc est partout. En janvier, en Syrie, elle a trouvé Bachar el-Assad « doux », « le genre de discours qui réveille » Street Press. Charlotte est catholique pratiquante, de « droite extrême », provinciale, blanche, engagée politiquement, intelligente, écrivant bien, autant d’incongruités en 2017. Elle a un joli minois, la madone de SOS Chrétiens d’orient mais elle travaille pour des « sites en rouge sur le Décodex du Monde », ce dernier « outil » semblant fiable aux yeux de l’auteur de l’article. Ce qui n’est assurément pas le cas des organes pour lesquels la jolie Charlotte œuvre. Et « s’il y a bien une sensibilité à laquelle Charlotte d’Ornellas offre un mégaphone, c’est celle des identitaires ». Pas ceux qui font Street Press chaque jour évidemment. Les autres, les pas gentils. Elle bosse avec le « monsieur médias de Marion Maréchal Le Pen », c’est dire. Ils ont fait le magazine France, dont le premier numéro « aurait été téléchargé plus de 60 000 fois ».

Dans Street Press le monde est simple. Il y a les bons (eux), la brute (Charlotte d’Ornellas) et les truands (les « fachos »). Comme tout média, Street Press doit choisir un axe de pensée et des thèmes de prédilection. Multiculturalisme, si possible non européen, rôles pornos pour toutes, librairies lesbiennes et/ou afros, dénonciation de la police, lutte contre le « fascisme », éloge du rap nique la France, des soirées non mixtes et des camps décoloniaux. La politique du PIR en somme

http://www.ojim.fr/les-bons-la-brute-et-les-truands-le-monde-selon-street-press/

Marcher sur des oeufs  16 avril 2017

 

Chers amis,

L’heure est à la riposte : le 10 décembre, les médias d’extrême gauche Streetpress et L’Insoumission (le média de LFI) seront devant le tribunal pour nous avoir diffamés ! 

Depuis hier, c’est l’alerte générale sur leurs réseaux sociaux : ils parlent de procédure bâillon, d’atteinte à la liberté de la presse et sont très largement soutenus – sans étonnement – par les députés LFI comme Mathilde Panot, Thomas Portes et Manon Aubry !

Je soutiens Frontières
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Ça doit leur faire mal de prendre ce que nous nous prenons depuis des mois n’est-ce pas ? 

Car c’est désormais la nouvelle politique de Frontières : contre attaquer. Face aux 30 plaintes reçues contre nous pour nos enquêtes, avec déjà 4 victoires judiciaires à notre actif, nous ripostons avec des plaintes multiples contre nos adversaires. 

Streetpress avait osé me traiter d’antisémite pour avoir cité le livre « L’Homme nomade » de Jacques Attali, entraînant une saisine de l’Arcom sur Cnews ! L’Insoumission était allé jusqu’à demander en début d’article combien de livres « Mein Kempf » d’Adolf Hitler nous avions dans nos bureaux ! 

L’outrance, toujours l’outrance et la folie pour cacher leurs propres compromissions avec les islamistes, les antisémites et les fachistes. 

Alors chers amis, il faut nous aider non seulement à résister aux attaques mais également à riposter en finançant tous ces procès et de nouvelles enquêtes. Eux-mêmes ont lancé une campagne de dons pour les soutenir. Nous devons remporter cette campagne.

Grâce à vous.

Vous pouvez faire un don défiscalisé à 66% qui vous permettra d’éviter de verser par vos impôts cet argent durement gagné à SOS Racisme et consorts. 

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Je soutiens Frontières
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Merci d’avance, on continue le combat !

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