Quelqu’un peut m’expliquer pourquoi la France et donc le contribuable français qui n’en peut mais et a du mal à nourrir ses propres enfants devrait prendre en charge toute la misère du monde ?
Les MNA sont mineurs ils doivent donc être à la charge de leurs parents, dans leur pays d’origine. Aucune raison pour qu’on les gère, on n’en a pas les moyens, on n’en a plus les moyens.
Alors à présent la cerise sur le gâteau : non seulement on les nourrit, habille, soigne, éduque, instruit, héberge, transporte… il faudrait en plus leur permettre de jouer au foot contre les équipes constituées au sein de clubs officiels ? Et puis quoi encore ?
Mais on voit bien dans l’article du Télégramme (extraits ci-dessous) que le droidelhommisme permet tout, donne droit à tout… sauf pour les petits Français qui voudraient bien mais ne peuvent pas toujours faire du foot près de chez eux, parce que pas assez bons, parce qu’il n’y a pas assez de place, parce qu’ils se sentent mal dans un milieu de plus en plus islamisé où ils sont obligés d’être encore plus musulmans que les musulmans pour être acceptés…
Monique B
Ils s’entraînent avec leurs coéquipiers, parfois plusieurs fois par semaine. Et le week-end, ils restent sur la touche. En tribune, même. En Bretagne, les demandes de licence d’une centaine de mineurs non accompagnés (93 au dernier décompte, début novembre) sont actuellement bloquées. Ces jeunes footballeurs, arrivés en France sans leurs parents et pris en charge par les services de l’État et du département n’ont pas le droit de disputer de matchs car leurs dossiers sont bloqués au niveau de la Fifa.
Jusqu’à la saison dernière, la Fédération française de football (FFF) bénéficiait d’une dérogation auprès de la Fifa qui lui permettait de traiter directement des licences des mineurs non accompagnés pour les clubs amateurs. Mais cette dérogation a été révoquée. Désormais, la Fifa exige la copie de la décision qui accorde au joueur le statut de réfugié ou de personne protégée et une attestation précisant les motifs du déplacement vers la France.
« Ce sont des pièces confidentielles, que les services ne peuvent pas donner. Donc la situation est complètement bloquée », résume Luc Tréguer, président de la commission de l’engagement du district du Finistère. « Il y a une confusion, de la part de la Fifa, entre le statut de réfugié et celui de mineur non accompagné, ajoute Pierre Bodénez, président de la Ligue des droits de l’homme à Brest, qui s’exprimait à ses côtés, jeudi. En France, le mineur non accompagné relève de la protection de l’enfance, pas du droit des réfugiés. »
Luc Tréguer et Pierre Bodénez voient dans ce blocage « une discrimination évidente faite aux mineurs non accompagnés dans leur quête de pratiquer le football, moyen pour eux d’oublier leurs soucis l’espace d’un moment. » La Ligue des droits de l’homme va, au niveau national, intervenir auprès de la Défenseuse des droits, du ministère des Sports et de la FFF. « La discrimination, c’est du pénal, rappelle Pierre Bodénez. Donc si ça ne bouge pas, on se demande si on n’ira pas au pénal. »
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