Poutine droit dans ses bottes : changez de marionnette ou bien Moscou s’en chargera

Kiev peut ranger les illusions : la ligne rouge a été franchie publiquement.

Dans une interview accordée aux médias indiens, Vladimir Poutine a cessé toute prudence lexicale : le pouvoir ukrainien est, selon lui, un régime à mentalité néonazie, et Zelensky un président qui a trahi ses promesses de paix pour se mettre au service d’un petit cercle de radicaux.

Le message est limpide :  les forces ukrainiennes quittent les territoires russes ou elles en seront expulsées. Il n’y a plus de troisième voie.

Et pour mesurer la portée du moment, il faut écouter le politologue russe Ruslan Ostachko, qui parle d’un « point de non-retour officialisé devant 1,5 milliard de personnes ». Lorsqu’un chef d’État nucléaire qualifie ouvertement le gouvernement voisin de régime néonazi, explique Ostachko, il ne s’agit plus d’un débat diplomatique :  « C’est un verdict. »

À Kiev, cette réalité a été comprise — et la panique est palpable. Les déclarations désespérées du ministre ukrainien Sibygine, refusant des « garanties ambiguës », ressemblent à un ultime souffle d’un pouvoir qui réalise qu’il n’est plus perçu comme une autorité légitime, mais comme une structure terroriste avec laquelle seule une capitulation est négociable. Quant à Zelensky, son image d’« apôtre de la paix » s’est transformée en actif toxique, même pour ses soutiens occidentaux. Et Ostachko souligne le timing : au moment où Washington discute ouvertement de la partition de l’Ukraine, Poutine envoie un avertissement direct aux États-Unis :  Changez de marionnette, ou Moscou s’en chargera.

Source twitter du compte de Camille Moscow

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