Il faut supprimer définitivement le droit pénal des mineurs

Les terroristes djihadistes de demain seront des mineurs, biberonnés à la haine d’Israël et issus des portées de l’immigration galopante qu’on n’a pas voulu arrêter malgré les massacres s’accumulant sur notre sol au fil des ans.

Cette information est notamment fournie par le journal auvergnat « La Montagne ».

On s’inquiétait, il y a quelques années, du retour des djihadistes syriens avec leurs enfants. La gauche les voulait sur notre sol, ces gentils bambins…

On connaissait déjà des enfants élevés dans des roulottes venant faire en toute impunité des larcins dans nos demeures, arrivés de Roumanie grâce à l’Union européenne…

Un mineur qui commet un délit ou un crime a prouvé qu’il a autant si ce n’est plus de force mentale qu’un majeur. Le réflexe défensif de la société doit prendre le dessus, c’est une question de survie !

Il nous faut donc d’urgence abroger le droit pénal des mineurs, une invention du XXème siècle, tout comme l’est l’abolition de la peine de mort. Ce droit pénal est un adoucissement très marqué du droit pénal général.

Il faut que les mineurs ayant commis des crimes ou délits soient punis comme les majeurs !

Toutes ces inventions du XXème siècle sont des stupidités quand on considère l’histoire de la France et de l’humanité qui, pendant des siècles, des millénaires, avaient toujours privilégié le réflexe défensif de la société. L’individu ayant rompu l’équilibre de la cité en était éradiqué.

Nous crevons d’être trop focalisés sur la personne de l’auteur de l’infraction : avait-il bu, était-il drogué ? Il sera censé avoir aboli son discernement et ne sera pas puni.

Etait-il un élu de la République ? Il aura un bracelet électronique et sera libéré au bout de 20 jours de prison en quartier privilégié et fera paraître un livre pour s’enrichir davantage encore…

Etait-il malade, selon tel psychiatre ? Il n’aura aucune peine.

Etait-il mineur ? Il bénéficiera du régime des mineurs et sera faiblement sanctionné.

Stop, stop, stop, stop !

Il faut que la loi permette l’élimination physique définitive de tous ces dangers publics qui auront fait des massacres, qu’ils aient 14, 30 ou 50 ans…

Le chemin à parcourir est long, dans la caboche de ce qui nous sert de concitoyens. Mais il est rapide en réalité : une révision de la Constitution, une nouvelle loi, ne supposent qu’assez d’hommes et de femmes courageux pour se mettre d’accord pour protéger leur peuple.

 

« Désormais, le terroriste peut être un gamin de 14 ans » : pourquoi il y a de plus en plus de mineurs radicalisés

La mise en examen, ce 30 novembre, de deux ados suspectés de fomenter un projet d’attaque antisémite, vient confirmer une tendance de fond : les mineurs radicalisés sont de plus en plus nombreux. Voici pourquoi.

« Ce qui est nouveau, c’est la proportion que représentent aujourd’hui les mineurs dans les projets terroristes déjoués et les actions commises sur le territoire national, ainsi que l’extrême jeunesse de certains profils », alerte le ministère de l’Intérieur. Photo d’illustration. © Richard BRUNEL

Ils sont âgés de 16 et 17 ans. Le cadet, originaire de Tchétchénie et domicilié dans le Bas-Rhin, avait posté sur WhatsApp une photo de lui couteau à la main, accompagnée d’un message promettant de « tuer des juifs dans cinq jours ». Le second, avec lequel il était en contact étroit, aurait publié en ligne plusieurs messages ouvertement antisémites. Ce jeune Francilien semblait y cautionner un passage des menaces à l’action criminelle.

Selon Le Parisien, qui a révélé l’affaire, les deux suspects ont un profil similaire : isolés socialement, ultra-connectés et consommateurs compulsifs de contenus “gores” (exécutions, scènes de torture, etc.). L’un et l’autre ont été interpellés par la DGSI, puis mis en examen par un juge antiterroriste et écroués le 30 novembre.

Ce dossier porte à vingt le nombre de mineurs mis en cause, depuis le 1er janvier, dans des procédures suivies par le Pnat (*). Ils étaient déjà 15 en 2023 et 19 en 2024. Autre chiffre signifiant, livré cette fois par le ministère de l’Intérieur : parmi les individus faisant l’objet d’un suivi actif au Fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation, la part de ces mêmes mineurs « a triplé en cinq ans, passant de 1,7 % en 2020 à 5,7 % » en juin 2025.

Les réseaux sociaux comme « accélérateur »

« Ces données ne me surprennent pas du tout. On observe la même dynamique dans tout l’espace occidental, pas seulement en France », affirme Mathieu Colin. D’après ce professeur associé à l’université canadienne de Sherbrooke, directeur scientifique de la chaire Unesco en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violents, l’augmentation du contingent des jeunes – voire des très jeunes – postulants à des attentats est la résultante d’une combinaison d’éléments.

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